Archives : Cas 2008 à 2011

  ARCHIVES 2011

Une écolière Niçoise emportée par la méningite

Source : Métro
21/11/11

La fillette scolarisée en CE1 à l'école Rancher de Nice est décédée ce lundi matin. Ses camarades vont bénéficier d'un traitement préventif et d'une aide psychologique. Ce lundi à "l'heure des parents", l'inquiétude se lisait sur les visages devant l'école élémentaire Rosalinde Rancher 2 de Nice Nord. Sur le portail de l'établissement on venait d'afficher la lettre de l'Agence régionale de santé (ARS) confirmant le décès d'une élève de 7 ans. La fillette a été emportée ce lundi matin par une méningite à méningocoque.
Ses petits camarades de CE1 ont été mis au courant par l'équipe pédagogique en début d'après-midi. "Il y avait des rumeurs, nous avons préféré expliquer aux enfants ce qui s'était passé, confiait le directeur de l'établissement, Grégori de Swarte. La situation se gère de manière très sereine." Certains enfants ont fait un dessin pour dire au revoir à la fillette.

"Mon fils est dans la même classe, ce soir j'amène toute la famille à l'hôpital", s'inquiétait une maman en touchant le front de son garçon pour vérifier s'il avait de la fièvre. Un geste répété par la plupart des parents. La température est un des symptômes de la méningite avec la raideur de la nuque. "Mais c'est une maladie très peu contagieuse, elle se transmet uniquement par la salive", rassure l'ARS.
Par précaution, les vingt-cinq élèves de la classe de CE1 que fréquentait la victime se verront proposer un traitement antibiotique préventif, de même que l'institutrice et l'assistante de vie scolaire, précise l'inspectrice d'académie, Martine Floc'h.
Selon l'ARS, l'antibiotique permet de stopper la maladie si d'aventure certains enfants avaient été contaminés. La méningite à méningocoque touche sept à neuf cent personnes par an en France. L'issue est fatale dans 10% des cas.

EURE, une fillette de 22 mois meurt de la méningite

Source : France Soir
10/11/11

La méningite a encore frappé. Une fillette âgée de 22 mois est décédée samedi des suites d'une infection invasive à méningocoques (Iim) dans le canton de Beuzeville dans l'Eure. C'est l'Agence régionale de santé (ARS) de Haute-Normandie qui l'indique dans un communiqué. Le méningocoque en cause appartient au groupe B, selon l'étude biologique qui se poursuit pour en déterminer précisément la souche. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit aux personnes de l'entourage de l'enfant qui ne fréquentait pas de collectivité.

Le mode de transmission du méningocoque B, par la salive, permet donc d'éliminer le risque de contamination aux personnes ayant été « en contact direct, étroit et répété » avec le malade comme c'est le cas avec d'autres souches de la maladie. « Il n'y a donc jamais lieu de prendre de mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux », ajoute l'ARS.

Hausse inquiétante des méningites à pneumocoques

Source : Carte Blanche
Par Isabelle Eustache

Malgré un taux de couverture vaccinale élevé, la méningite à pneumocoque progresse en France. Les experts surveillent cette montée épidémique et explorent différentes hypothèses…

La rougeole n'est pas la seule maladie à faire une progression inquiétante en France malgré l'existence d'un vaccin. La méningite à pneumocoques revient sur le devant de la scène, alors que paradoxalement 85% des nourrissons ont été vaccinés en 2008 par le vaccin Prevenar. Intégré dans le calendrier vaccinal, celui-ci est recommandé à tous les nourrissons de moins de 2 ans et il protège actuellement contre 13 types différents de pneumocoques (sérotypes). Alors que la vaccination contre la rougeole est clairement insuffisante, expliquant la recrudescence de la maladie, ce n'est pas le cas avec la méningite car la couverture vaccinale est plutôt élevée. Pourtant, alors qu'« il y avait en France en 2002-2003, un peu moins de 600 méningites à pneumocoques chaque année, ce chiffre est passé à un peu plus de 800 par an en 2008-2009 ».

Pour expliquer ce phénomène, plusieurs hypothèses sont évoquées, dont les campagnes pour limiter l'usage des antibiotiques en cas de rhinite par exemple, ou encore, sachant qu'il existe plus d'une trentaine de pneumocoques, la vaccination qui protège actuellement contre 13 souches, aurait pu contribuer à sélectionner de nouvelles souches de pneumocoques pathogènes. Enfin, les souches non vaccinales (et plus sensibles) auraient pu évoluer, devenant plus épidémiques.
Rappelons que les pneumocoques se transmettent facilement, surtout chez les enfants, par les gouttelettes de salive, la toux, les éternuements. Les personnes âgées aussi peuvent facilement se contaminer au contact de leurs petits-enfants
Certains pneumocoques réussissent à passer dans le sang, provoquant des pneumonies, et dans quelques cas des méningites redoutables, avec un risque de séquelles non négligeable, voire de décès dans 10% des cas.
Les causes de cette montée des méningites sont explorées par les experts afin de pouvoir la contrer. En attendant, seule la vaccination peut nous apporter une protection…

Méningite chez une enfant de 4 ans

Source : Paris Normandie
21/08/11

Une infection invasive à méningocoque de groupe B a été diagnostiquée jeudi 18 août chez une enfant de 4 ans, domiciliée dans le canton de Duclair, près de Rouen, et ne fréquentant pas de collectivité. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit aux personnes de l'entourage proche. L'étude biologique du germe se poursuit pour identifier le type du méningocoque.
" Le mode de transmission méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation", rappelle l'Agence régionale de santé de Haute-Normandie (ARS). Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère ; il n'y a donc jamais lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux.
Par ailleurs, la vaccination contre les méningocoques de groupe C est recommandée en France pour toutes les personnes âgées de 1 an à 24 ans et est remboursée par l'assurance maladie.

Une ado de 16 ans mortellement frappée par une méningite

Source : Santé de A à Z
05/08/11

Alors que la jeune vacancière séjournait en famille dans le camping « La grande Métairie » de Carnac (Bretagne Sud), une méningite foudroyante l'a emportée dans la nuit de dimanche à lundi.
Malgré son arrivée au Centre Hospitalier de Vannes, l'infection à Méningocoque C s'est avérée rapidement fatale.
Toutes les conditions ont été mises en place par l'agence territoriale de santé pour supprimer le risque de diffusion de la bactérie. A cet effet, les proches de la victime seront vaccinés, et les personnes l'ayant fréquenté de près se verront imposer un traitement antibiotique.
Le méningocoque est une bactérie fragile mais contagieuse. Si elle ne survit pas à l'extérieur ou sur les objets, elle peut se transmette d'individu à individu par les sécrétions salivaires et respiratoires (en toussant par exemple).
Le risque de contagion concerne donc seulement les personnes en contact rapproché (répété ou prolongé) avec la victime, dans les 10 jours précédents les symptômes. Les individus ne se situant pas dans ce cas ne nécessitent donc pas de mesures de prévention particulières. De la même manière, aucun argument ne justifie la fermeture du camping.
Parallèlement à ce cas très malheureux, deux autres personnes victimes de méningite ont été détectées en Bretagne : une femme de 78 ans, et un enfant fréquentant le centre de loisirs de Concarneau. Cependant, aucun lien n'a été mis en évidence entre ces 3 personnes. Et, bien heureusement, leurs jours ne sont pas en danger.

Nouveau cas de méningite près de CLERES

Source : Tendance Ouest (Rouen)
29/05/11

L'Agence régionale de santé indique que ce nouveau cas a été rapporté jeudi 26 mai. C'est chez une femme de 20 ans, domiciliée dans le canton de Clères, qui la bactérie a été détectée. "Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à son entourage familial et à des personnes qui ont été en contact très proche avec elle", indique l'ARS de Haute-Normandie.

"Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc jamais lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux", conclut l'Agence.

Cas de méningite à DINANT, l'enfant est dans un état stable

Source : 7/7
06/05/11

L'état du petit Dinantais de 3 ans et demi atteint d'une forme agressive de méningite est stable, a indiqué mercredi après-midi le bourgmestre de Dinant, Richard Fournaux.
Une septantaine de personnes, enfants et enseignants ayant été en contact avec le malade, ont reçu mercredi un traitement antibiotique sous forme d'une dose unique de sirop.
Un cas de méningite a été décelé mardi en fin d'après-midi à l'école maternelle communale d'Anseremme (Dinant). L'enfant a présenté une forte fièvre juste après avoir fait la sieste. Il a été vu par son médecin traitant puis a été transféré vers le centre hospitalier dinantais. Il a ensuite été dirigé vers les cliniques universitaires Saint-Luc à Woluwe-Saint-Lambert pour recevoir les soins adéquats et passer des examens.
Mercredi, des inspecteurs des services d'hygiène se sont rendus sur le site de l'école maternelle d'Anseremme, tout comme un médecin du centre provincial de santé.

Un jeune Havrais frappé par la méningite

Source : Paris Normandie.fr
05/05/11

Un cas d'infection invasive à méningocoque du groupe B, concernant un enfant de 10 ans de l'agglomération du Havre (Seine-Maritime) a été signalé à l'Agence régionale de santé (ARS) le vendredi 29 avril.
Un traitement antibiotique préventif a été prescrit aux personnes de son entourage proche. L'étude biologique du germe responsable se poursuit et des informations complémentaires seront transmises aux personnes concernées au cas où une vaccination serait nécessaire.
Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade. Le méningocoque est un germe très fragile qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc jamais lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux.
L'incidence des infections invasives à méningocoque en Haute-Normandie est actuellement équivalente à celle observée au plan national.
La vaccination contre les méningocoques du groupe C est recommandée en France pour tous les jeunes de 1 à 24 ans.

DINANT, un cas potentiel de méningite dans une école maternelle

Source : Le Vif.be
04/05/11

Un cas potentiel de méningite a été décelé mardi en fin d'après-midi à l'école maternelle communale d'Anseremme (Dinant). L'enfant concerné passe des examens aux cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles ce mercredi. Les résultats sont attendus dans le courant de la journée. Une quarantaine d'élèves de sa classe ayant été en contact avec lui ont reçu des traitements préventifs.

Les symptômes de la méningite sont apparus mardi en fin d'après-midi. L'enfant a été vu par son médecin traitant puis a été transféré vers le centre hospitalier dinantais. Il a ensuite été dirigé vers Saint-Luc à Woluwe-Saint-Lambert pour recevoir les soins adéquats et passer des examens. Mercredi, des inspecteurs des services d'hygiène se sont rendus sur le site de l'école maternelle d'Anseremme, tout comme un médecin du centre provincial de santé.

Deux cas de méningite dans une école à LESSAY

Source : Ouest France
11/04/11

Deux sœurs en maternelle ont été évacuées au CHU de Caen.
Le premier cas de méningite a été détecté mardi et concerne une fillette scolarisée en petite section de maternelle, à Lessay (Manche).
Mercredi, sa sœur, qui est, elle, en grande section, a été à son tour évacuée en hélicoptère au CHU de Caen, où les analyses sont en cours.
L'école n'est pas fermée. Aucune information n'a filtré du côté des autorités compétentes.

Méningocoque, mort d'un homme de 24 ans à EVREUX

Source : AFP
02/04/11

ROUEN — Un homme de 24 ans est mort mercredi des suites d'une infection invasive à méningocoques à Evreux (Eure), a annoncé vendredi l'Agence régionale de santé (ARS) de Haute-Normandie.
Les investigations bactériologiques se poursuivent pour déterminer le type de méningocoques en cause. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à sa famille, ses proches et ses collègues de travail qui pourront également se faire vacciner, selon le résultat des analyses.
Un bébé de six mois est mort lundi dans la banlieue de Rouen d'une infection invasive à méningocoques de type C. "Il n'existe aucun lien épidémiologique entre ces cas, nous sommes face à une malheureuse coïncidence", a précisé le directeur général de l'ARS, Benoît C.

ROUEN, un bébé de 6 mois succombe à une méningite

Source : Le Parisien.fr
01/04/11

Un bébé de six mois est mort lundi des suites d'une infection invasive à méningocoques de type C, dans la banlieue de Rouen, en Seine-Maritime. Selon l'Agence régionale de santé de Haute-Normandie, le département est particulièrement touché par ce type de méningite : depuis le début de l'année, sept cas ont déjà été constatés.

PERPIGNAN, une petite fille de 2 ans succombe à une méningite

Source : L'indépendant.com
27/03/11

Une petite fille âgée de 2 ans, qui était domiciliée à Pia avec sa famille, a succombé mercredi d'une méningite.
Immédiatement, les trois frères et sœurs de la petite victime, qui sont scolarisés à l'école maternelle Marie-Curie de Pia ont été placés en observation après avoir été évacués en urgence vers le CHU de Montpellier. Et ce, au vu des soupçons qu'ils soient également affectés de pathologies infectieuses.
Dans un même temps, un courrier a été adressé par l'agence régionale de santé du Languedoc-Roussillon, basée à Montpellier, aux parents des élèves de l'école, qui après avoir eu connaissance de cette terrible nouvelle ont rapidement été gagnés par l'inquiétude, ainsi qu'à l'ensemble des personnels.
Toutefois, cette lettre a plutôt tendu à les rassurer, les informant que l'état de santé des enfants est « satisfaisant à ce jour » et que la situation ne nécessite pas la mise en œuvre d'un traitement préventif pour les autres enfants et les membres du personnel fréquentant l'établissement qui auraient pu être en contact avec les frères et sœurs de la petite fille.
Par ailleurs, l'équipe médicale de veille sanitaire de l'ARS affirme qu'elle suit attentivement cette situation. Toute évolution qui nécessiterait d'informer les parents serait transmise par l'agence régionale de santé à la direction de l'école maternelle.
Hier un médecin avait été mandaté pour se rendre à Pia, au domicile de la famille de la petite fille, plongée dans la douleur.
Rappelons que le 5 janvier dernier, un adolescent de 15 ans, qui résidait à Tresserre et était en classe de troisième au collège Pierre-Moreto de Thuir, est décédé à l'hôpital Saint-Jean de Perpignan d'une méningite foudroyante.
En octobre 2010, un jeune homme de 18 ans, originaire de Saint-Estève, avait également succombé à une infection à méningocoque de type C.

Méningocoque, un étudiant Bisontin dans un état grave

Source : Le Progrès.fr
20/03/11

Un étudiant de BTS du lycée Jules -Haag de Besançon âgé de 20 ans, a été hospitalisé d'urgence cette semaine au centre hospitalier universitaire (CHU). Les médecins ont diagnostiqué une « infection invasive à méningocoque » et l'ARS (agence régionale de santé) évoque dans un communiqué « un état clinique actuellement préoccupant » L'ARS précise avoir identifié toutes les personnes ayant eu des contacts proches et répétés avec le jeune homme dans son entourage amical, familial et scolaire. Tous ont pu être contactés et informés afin « de se rendre chez leur médecin traitant qui leur prescrira un traitement antibiotique préventif, de courte durée ».
L'agence souligne que l'extension de ces mesures à une population plus large « n'est pas recommandée ».
Très fragile et ne survivant pas « dans l'atmosphère », le germe du méningocoque se transmet de personne à personne par les gouttelettes de salive et le risque de transmission est considéré comme « faible ». Il n'y a donc « pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture des locaux » indique l'ARS qui ajoute que le traitement antibiotique préventif « doit être réservé aux personnes ayant été en contact étroit, rapproché et prolongé dans les dix jours ayant précédé l'apparition des signes cliniques. »
La méningite est la forme la plus fréquente des infections invasives à méningocoque qui restent rares en France (environ sept cents cas par an). Elle se traduit par des maux de tête, des raideurs de nuque accompagnée souvent de vomissements et d'une gêne à la lumière. Devant ces signes, il faut rapidement contacter un médecin.

CARCASSONNE, un enfant de 2 ans décède d'une méningite

Source : L'indépendant.com
09/03/11

NARBONNE. Un nourrisson âgé de 2 ans et demi est mort dans la nuit de vendredi à samedi, des suites d'une méningite à méningocoque. L'enfant vivait à Oupia, mais était aussi accueilli régulièrement au sein de la crèche municipale d'Olonzac.
Comme l'exige systématiquement la procédure suivant la découverte de cas de méningite, les personnes ayant eu des contacts proches et répétés avec cet enfant (autres enfants fréquentant la crèche les mêmes jours, personnels de l'établissement, membres de la famille…) sont invitées à suivre un traitement antibiotique de courte durée. Elles ont été directement informées par des responsables de l'Agence régionale de santé (ARS). En revanche, la fermeture de la crèche n'est pas à l'ordre du jour et aucune vaccination n'est recommandée, la nature du méningocoque restant pour l'heure inconnue.

MONTPELLIER un enfant de 3 succombe à une méningite

Source : Le Parisien.fr
05/03/11

Un garçon de trois ans est mort samedi matin d'une méningite à ménincogoque dans un hôpital de Montpellier.
L'enfant, accueilli à la crèche municipale d'Olonzac (Hérault), avait été hospitalisé vendredi dans un état préoccupant, selon la préfecture de l'Hérault.
Quatorze enfants fréquentant la crêche, ainsi que leurs familles, et dix employés de l'établissement font l'objet d'un traitement antibiotique de courte durée, a ajouté la préfecture, qui a précisé que le type de méningocoque en cause n'était pas encore connu.
«Etant donné la fragilité du méningocoque, il n'y a pas d'autre mesure à prendre et aucune raison d'étendre ces mesures préventives à une population plus large», estiment les services du préfet qui précisent que désinfecter ou fermer l'établissement n'aurait «aucune utilité».

TAIZE (71) : Un cas de méningite à méningocoque

Source : France 3 Bourgogne
02/03/11

Une adolescente, qui souffre d'une méningite à méningocoque, est hospitalisée à Mâcon.
Une adolescente est toujours en observation à l'hôpital de Mâcon lundi 28 février 2011.
Une jeune fille de 14 ans, qui était en séjour en Saône-et-Loire, souffre d'une méningite à méningocoque. La malade est hospitalisée depuis samedi 26 février au centre hospitalier de Mâcon. Son état de santé est en voie d'amélioration.
L'adolescente séjournait avec un groupe dans une communauté à Taizé. Toutes les personnes ayant été en contact rapproché avec elle ont été identifiées par l'Agence Régionale de Santé de Bourgogne, indique la préfecture de Saône-et-Loire. Il s'agit des personnes qui ont eu un contact rapproché (moins d'un mètre) pendant au moins une heure avec la malade dans les 10 jours précédents la maladie.
"Toutes les modalités de mise en œuvre du traitement antibiotique préventif pour ces personnes ont été entreprises", précise la préfecture. Une opération de vaccination pourrait être réalisée dans les prochains jours en fonction des résultats biologiques obtenus. Ces personnes peuvent obtenir des éléments d'information complémentaires en appelant le 03-80-41-99-99.
La préfecture de Saône-et-Loire rappelle que "le méningocoque est un germe fragile qui se transmet par la salive, de personne à personne, lors de contacts rapprochés à moins d'un mètre, pendant au moins une heure. Il ne nécessite pas de désinfection des locaux. Il ne survit pas dans l'atmosphère, le risque de transmission est donc très limité.

Un cas de méningite bactérienne à l'école maternelle de NOAILLY

Source : Le Progrès.fr
27/02/11

L'écolière de 6 ans a été admise au CHU de Saint-Etienne. Des traitements antibiotiques ont été prescrits à ses camarades de classe.
Hier après-midi, ce devait être la fête à la petite école publique de Noailly, située à une dizaine de kilomètres au nord de Roanne, avec le carnaval, le défilé dans les rues du village, la vente des bugnes confectionnées la veille à l'école avec les enseignants et quelques mamans…
Mais la fête a été brutalement annulée en milieu de journée lorsque le directeur de l'école a appris qu'un cas de méningite bactérienne à méningocoques venait d'être décelé sur une des élèves de sa classe, qui réunit enfants de grande section et de cours préparatoire. Âgée de six ans, la fillette a été admise en urgence au centre hospitalier de Saint-Etienne.
La méningite bactérienne est le type le plus grave de cette maladie, le plus rare aussi, alors que la méningite virale est plus courante et bénigne. Les symptômes qui apparaissent en général sont de forts maux de tête, raideur de la nuque, difficulté à supporter la lumière.
Tandis que la fillette était prise en charge, les familles ont été informées des précautions à prendre. Dans une note adressée aux parents, le médecin inspecteur de l'Agence régionale de santé (ARS) estimait qu'« il n'y a pas lieu de fermer l'école, ni de procéder à sa désinfection », au motif que « le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur. Il est transmis directement dans les sécrétions rhino-pharyngées (toux, postillons, gouttelettes).
La transmission interhumaine ne peut donc se faire qu'en cas de contact direct, rapproché, prolongé et/ou répété avec le malade, dans les dix jours qui ont précédé le diagnostic. » Le médecin inspecteur a donc recommandé à tous les enfants et personnels présents dans la classe en contact direct et prolongé avec l'enfant malade de consulter un médecin afin de recevoir un traitement antibiotique de protection.
D'autres enfants d'écoles voisines qui avaient participé à une rencontre sportive regroupant plusieurs établissements ont été alertés. Si les familles peuvent consulter leur médecin traitant, l'ARS précise que les médecins Joseph Baud à Briennon (04 77 69 93 63) et Pascal Philibert à Ambierle (04 77 65 62 24) ont été prévenus et se tenaient prêts depuis hier à 18 heures à recevoir les familles. L'autorité de santé ajoutait que la pharmacie Coissard devait être approvisionnée en médicaments entre hier et aujourd'hui.
Outre ces traitements préventifs, une vaccination pourrait être prescrite en fonction du type de méningocoque dont le groupe est en cours d'analyse. En fonction, les parents et personnels seront recontactés dans les jours à venir.
À peine débutées, les vacances n'ont d'ores et déjà plus le même parfum pour ces enfants et leurs familles, probablement partagés entre l'inquiétude pour leur camarade et la crainte d'une transmission.

NORD, un enfant de 4 décède d'une méningite de type C

Source : Romandie News
25/02/11

LILLE - Un garçon de 4 ans est décédé dans la nuit de vendredi à samedi d'une méningite foudroyante de type C à Beauvois-en-Cambrésis (Nord), a-t-on appris mardi auprès de l'Agence régionale de santé (ARS).
L'enfant était scolarisé à l'école maternelle de Beauvois-en-Cambrésis.
Près de 130 personnes - 100 à l'école et une trentaine dans l'entourage familial - ayant été en contact avec l'enfant ont été pris en charge afin de bénéficier d'un traitement antibiotique et d'une vaccination.
A l'automne 2010, plusieurs cas de méningite de type C avaient été constatés chez des étudiants de l'Université catholique de Lille. Une campagne de vaccination et de prévention a été lancée depuis pour sensibiliser la communauté étudiante à cette maladie.
Selon les autorités sanitaires, on recense environ 600 cas de méningites (de type B ou C) chaque année en France, dont une cinquantaine mortels.

Méningite C un nouveau cas décelé à LILLE 1

Source : Nord Eclair
20/02/11

Un étudiant de l'université Lille 1 est hospitalisé mais hors de danger après avoir déclaré hier une méningite C. L'agence régionale de santé (ARS) lance une campagne de sensibilisation à la vaccination parmi la population étudiante de la métropole lilloise.

Avis de vigilance à destination des étudiants de la métropole lilloise. Alors que depuis la rentrée de septembre, cinq cas de méningite C se sont déjà déclarés, un sixième a été découvert hier à l'université Lille 1. Il s'agit d'un étudiant d'une vingtaine d'année, qui a été hospitalisé mais dont les jours ne sont pas en danger.
Son entourage - soit une vingtaine de personnes - ont été contactés pour recevoir des antibiotiques par mesure de précaution. Après l'épisode de cet automne à la Catho, et le précédent cas survenu à Lille 1 fin janvier, L'agence régionale de santé a décidé de lancer de nouveau une campagne de sensibilisation à la vaccination contre la méningite C, à destination de l'ensemble des étudiants de la métropole lilloise.
Des vaccins seront administrés gratuitement dans les points santé étudiants. Les médecins généralistes peuvent également prescrire et délivrer le vaccin.

ENVERMEU (76): un cas de méningite

Source : France 3 Normandie
19/02/11

C'est le troisième cas en Seine-Maritime depuis le début de l'année.
Un cas de méningite est survenue chez une fillette de 6 ans résidant dans le canton d'Envermeu. L'information est révélée par L'Agence régionale de santé (ARS) de Haute-Normandie.
L'étude biologique du germe se poursuit, et des informations complémentaires seront transmises aux personnes concernées au cas où une vaccination serait indiquée.
Un traitement antibiotique préventif a été prescrit dans l'entourage familial de l'enfant. Une équipe de la santé scolaire s'est rendue ce jeudi matin à l'école fréquentée par la fillette pour une délivrer une information et la prescription du traitement aux personnes concernées.

GRENOBLE, elle meurt d'une méningite

Source : Le Figaro.fr
14/02/11

Une étudiante italienne de 21 ans découverte morte mardi sur le campus universitaire de Saint-Martin-d'Hères (Isère) est décédée des suites d'une méningite, indique aujourd'hui une source policière, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
L'entourage immédiat de la victime a été pris en charge par les autorités sanitaires pour des analyses médicales de précaution.
Le corps sans vie de la jeune femme, originaire de Lombardie (Italie du nord), a été découvert mardi à la mi-journée dans la chambre universitaire qu'elle occupait pour ses études par le gardien de sa résidence. Constatant que de l'eau s'écoulait sous la porte "verrouillée de l'intérieur" de la jeune étudiante, ce dernier a fait procéder à l'ouverture de la chambre par les sapeurs pompiers.
L'autopsie pratiquée jeudi sur le corps de la victime, qui ne présentait "pas de traces de coups visibles" selon la police, a permis de constater une fracture de l'os hyoïde, un os situé au niveau du cou. Une information qui a poussé la police judiciaire à ouvrir une enquête.
Vendredi, les résultats de nouvelles analyses ont finalement révélé que la jeune étudiante a succombé à un "type particulier de méningite". "Selon les derniers éléments médicaux, elle traînait une maladie qui se serait transformé en méningite. Fragilisée, elle aurait pu faire une chute et se fracturer l'os en question, provoquant l'étouffement", a ajouté une source policière

Un cas de méningite à l'école maternelle de COMPS

Source :
11/02/11

Selon le site internet de la ville de Comps, « à ce jour, l'enfant va bien et son état est tout à fait rassurant ». Un élève de maternelle de l'école de Comps a été touché par la méningite lundi.
Par mesure de précaution, les parents sont invités à amener leurs enfants chez le médecin, afin qu'ils reçoivent un traitement préventif.
La situation est donc désormais sous contrôle et les parents ont pu poser hier leurs questions au médecin scolaire rattaché à l'école, qui s'est rendu sur place en fin d'après-midi. « Tous les protocoles habituels ont été mis en place : suivi de l'élève, de la classe, de l'école. Toutes les familles ont été prévenues », rassure Pascal Dijon, inspecteur d'académie adjoint, chargé du premier degré.
Les médecins et pharmacies des alentours ont également été mis au courant. Aucun autre cas n'est à ce jour suspecté.

La fin de la méningite en AFRIQUE

Source : Revue Médicale Suisse
05/02/11

Premier pays à administrer le nouveau vaccin contre la méningite (MenAfriVac), le Burkina Faso annonçait déjà plus de douze millions de personnes vaccinées fin 2010.
Lancé en 2001 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et PATH (Program for appropriate technology in health),[1] avec un financement central de la Fondation Bill et Melinda Gates, le Projet Vaccins Méningite[2] vise à élaborer un vaccin efficace et durable contre les souches de méningocoque du sérogroupe A à un prix minime (0.50 dollars la dose). Aucun laboratoire pharmaceutique n'ayant accepté de développer un vaccin à ce prix, c'est un consortium de scientifiques des Etats-Unis, des Pays-Bas, du Canada, d'Afrique et d'Inde (où le vaccin a été fabriqué) qui a permis de disposer d'un tel vaccin moins de dix ans plus tard. Protégeant les enfants de moins de deux ans (ce qui n'était pas le cas des vaccins conventionnels), ce nouveau vaccin confère une immunité pouvant persister jusqu'à dix ans.
L'OMS estime qu'il pourrait sauver 150 000 vies d'ici à 2015. Plus de 450 millions de personnes sont à risque de développer la maladie dans «la ceinture de la méningite», qui s'étend du Sénégal à l'Ethiopie et comprend 25 pays. Depuis plus d'un siècle, ces pays sont régulièrement touchés par des épidémies.
Ce projet, dont le but est l'éradication de la maladie, est novateur par son approche non lucrative et centrée sur les besoins des pays concernés. Il s'oppose à l'approche traditionnelle, où des vaccins développés pour les pays occidentaux sont adaptés dans un second temps pour les pays du Sud, avec un retard de distribution et des coûts supplémentaires importants. Grâce au soutien financier de MSF, de l'UNICEF et de la Fondation Michael et Susan Dell, l'introduction du vaccin est prévue prochainement au Mali et au Niger, autres pays d'hyperendémicité de méningite, puis à l'ensemble des pays appartenant à la ceinture de la méningite.

Un enfant meurt de la méningite

Source : L'Union Champagne Ardennes Picardie
02/02/11

CHALONS-EN-CHAMPAGNE (Marne). Un élève pris en charge pour une méningite à l'école élémentaire Lapie-Verbeau est décédé, a annoncé hier après-midi le maire de Châlons, qui a adressé ses condoléances à la famille de l'enfant. Il ne s'agissait pas d'un cas de méningite à méningocoque et n'était donc pas considéré comme contagieux. Ce type de cas, a expliqué l'Agence régionale de santé (ARS), ne fait pas l'objet d'une déclaration obligatoire auprès de ses services.
En conséquence, aucune mesure particulière n'avait été prise pour les autres enfants fréquentant l'école et les adultes y travaillant.
L'établissement, situé à l'entrée du quartier du Verbeau, était resté ouvert, comme l'avait précisé la mairie dans un communiqué rédigé mercredi. Le médecin de l'Éducation nationale s'est toutefois tenu à la disposition des parents. Ni l'ARS, qui est pourtant la plus haute autorité de santé dans la région, ni la mairie de Châlons n'ont pu apporter hier soir d'autres précisions sur ce drame.
Le décès serait survenu en fin de semaine dernière.

Un lycéen ligérien hospitalisé pour une méningite à LYON

Source : Lyon Mag
30/01/11

Ce jeune de 18 ans est dans un état grave.
Cet interne du lycée agricole de Sury-le-Comptal, est placé en réanimation depuis mercredi soir pour une infection invasive à méningocoque. 6 de ses camarades ont été brièvement hospitalisés, mais tous ont pu sortir dans la journée. Des antibiotiques ont été prescrits à l'ensemble des internes de ce lycée de la Loire, par mesure de précaution.

Méningite dans un lycée de la LOIRE : 90 élèves sous antibiotiques

Source : Le Progrés.fr
29/01/11

Hier matin, l'omertà régnait encore aux abords du lycée Saint-André, de Sury-le-Comtal

« Je l'ai appris par Le Progrès ce matin. C'est pour ça que j'amène mon fils au lycée, afin de savoir si les cours sont maintenus. »

Ce père de famille a eu connaissance, par voie de presse, du cas de méningite qui s'est déclaré au lycée agricole privé Saint-André de Sury-le-Comtal (Loire).
Les parents, tout comme les externes et professeurs qui ont passé, hier aux aurores, la porte d'entrée du lycée, n'étaient, pour la plupart, pas au courant de la pathologie qui frappe un jeune garçon de dix-huit ans de la classe de première année de bac en conseil de vente en animalerie.
L'élève, qui présentait des signes de fatigue, a quitté l'établissement mardi soir. Son état, jugé fort préoccupant, a nécessité son admission dans un hôpital de Lyon.
Les services de soins lyonnais ont très vite diagnostiqué un cas de méningite à méningocoque B. Ce sont eux qui ont alerté, jeudi, l'ARS (Agence régionale de santé), afin d'établir un protocole de soins à l'encontre des personnes qui ont côtoyé le jeune malade.
Les services départementaux ont, d'ailleurs, dressé la liste nominative de toutes les personnes ayant été en contact proche avec l'élève. Toutes ont été jointes par téléphone, par les médecins et infirmières de l'ARS.
L'annonce de la pathologie, jeudi soir, a suscité la panique des lycéens de l'internat. Hypocondrie aidant sans doute, plusieurs élèves ont fait état de maux de tête importants.
La direction de l'établissement scolaire, craignant une propagation de la maladie au sein du lycée, a sollicité l'intervention des pompiers.
Les quatre-vingt-dix élèves de l'internat ont été auscultés par les médecins. Au total, ce sont dix jeunes qui ont été admis aux urgences de l'Hôpital Nord de Saint-Étienne. Six d'entre eux présentaient des signes pouvant laisser craindre une méningite. Les quatre autres personnes, qui évoquaient davantage des symptômes grippaux, ont tout de même été hospitalisées par précaution.
Dans le même temps, une prophylaxie par traitement antibiotique a été mise en place. Elle concerne les quatre-vingt-dix élèves du foyer.
Hier matin, les dix pensionnaires étaient tous sortis de l'hôpital, et soit rendus à leur famille, soit reconduits au lycée pour y suivre les cours.
L'ARS, en collaboration avec la direction de l'enseignement catholique, a adressé, hier, un courrier à tous les parents d'élèves. Dans celui-ci, le docteur Bruno Morel, y explique le traitement médicamenteux qui a été administré aux étudiants ayant été en contact avec le malade. Il invite aussi les parents à se tourner vers leur médecin traitant, au cas où les enfants viendraient à déclarer fièvre et maux de tête dans les jours prochains.
Précisons, enfin, que le lycée Saint-André n'est pas soumis à une fermeture sanitaire préfectorale.

Marie-Anne Leca

Un cas de méningite au HAVRE

Source : Paris Normandie.fr
27/01/11

Un cas de méningite vient d'être signalé par l'Agence régionale de santé de Haute-Normandie. Il concerne un homme de 57 ans résidant en région havraise. Selon l'ARS, "la confirmation biologique a permis d'identifier un méningocoque de groupe B". C'est le premier cas d'infection invasive à méningocoque déclaré dans le département de Seine-Maritime depuis le 1er janvier dernier.

Un cas de méningite dans un centre de loisirs de BRUZ

Source : Ouest France
26/01/11

Une animatrice du centre de loisirs municipal de Bruz a été hospitalisée d'urgence ce week-end, dans un état sérieux, pour cause de méningite. La jeune femme s'était occupée d'enfants mercredi dernier, au centre de loisirs, et à l'école Jacques-Prévert de Bruz, dans le cadre de la garde d'enfants hors temps scolaire.

Le maire de Bruz, Philippe Caffin, a annoncé la nouvelle aux élus et au public hier soir, en fin de conseil municipal. Il a précisé que l'état de santé de l'animatrice s'était amélioré et ne présentait plus d'inquiétude. Il a également précisé que tous les parents d'enfants s'étant trouvés en relation avec la jeune femme dans le courant de la semaine ont été contactés, hier, lundi, pour leur demander de se rendre en urgence chez leur médecin. Les enfants devront suivre un traitement préventif. Le personnel municipal et les proches de l'animatrice malade ont été invités à faire de même.

Une cellule de crise a été mise en place à la mairie de Bruz. Le maire a par ailleurs bien rappelé que les risques de propagation de cette maladie, potentiellement mortelle, sont très faibles. Pour contracter une méningite de type B, il faut avoir été en contact à moins d'un mètre pendant plus d'une heure avec une personne porteuse de la maladie.

Un cas de méningite C à LILLE 1

Source : La Voix du Nord
21/01/11

Un cas de méningite C a été diagnostiqué chez un étudiant de l'Université de Lille 1 sur le campus de Villeneuve d'Ascq. Cet étudiant a été hospitalisé. Il est actuellement dans un état stable selon l'Agence Régionale de Santé Nord -Pas-de-Calais. L'agence a pris les mesures de prévention, traitement antibiotique et vaccination des personnes qui ont été en contact avec cet étudiant.
Pour l'instant aucun lien n'a pu être établi avec les cas groupés de méningite C survenus en fin d'année 2010 à l'université Catholique de Lille.
Du côté de de la direction de Lille 1 on se montre plutôt confiant en souhaitant que l'étudiant se remette rapidement.

Un seul cas de méningite en HAUTE CORSE

Source : Radio di a Corsica
15/01/11

Il n'y a pour l'heure qu'un seul cas avéré de méningite en Haute-Corse, celui de cet enfant de 5 ans scolarisé à l'école maternelle de Porette à Corte et qui a été transféré vers l'hôpital Lenval à Nice. Les deux enfants qui avaient été placés en observation à l'hôpital de Bastia hier, à cause de symptômes voisins, ont pu sortir ce matin. Il s'agissait d'autres pathologies. Par ailleurs, après la découverte de ce cas hier (vendredi), des mesures ont été mise en place par les services de l'agence régionale de Santé ARS) ainsi que de la Protection Maternelle et Infantile (PMI) du conseil général de la Haute-Corse. L'entourage proche de l'enfant, sa famille, ses camarades de classe bénéficient d'un traitement préventif. Et si les parents, qui n'ont pas été en contact direct à risque le souhaitent , ils peuvent consulter leur médecin traitant en vue d'un traitement antibiotique prophylactique. Pas de panique donc d'autant plus que cette maladie se soigne très bien si elle est rapidement diagnostiquée.

Un collégien décède d'une méningite

Source : La Dépêche du Midi
09/01/11

Baptiste na pas survécu à la méningite foudroyante. Ce jeune collégien de 14 ans du village de Tresserre est mort mercredi soir. Toutes les mesures de protection sanitaire et de dépistage médical ont été prises dans son entourage familial et aussi au collège de Thuir près de Perpignan (Pyrénées-Orientales) où il était scolarisé, depuis son arrivée dans le secondaire. L'annonce de sa disparition brutale a suscité chez ses amis une vive émotion. Immédiatement, les réseaux sociaux se sont activés. Ils ont permis d'organiser de façon spontanée une minute de silence à la mémoire du jeune Baptiste, aimé, estimé de tous. L'hommage au copain a été fixé hier à la récréation de 10 heures. Il a duré plus de quinze minutes, pendant tout le temps de la pose. Près de mille élèves ont ainsi rendu un hommage silencieux à leur copain.

PICARDIE, un cas dans l'OISE, une suspicion dans la SOMME

Source : Courrier Picard
05/01/11

Le village situé au sud du canton de Formerie (dans l'Oise) est sous le choc. Geoffrey Maillard, fils de Pascal Maillard, maire de Saint-Samson-la-Poterie, est décédé dimanche matin des suites d'une méningite foudroyante. Il avait 17 ans. Le jeune apprenti à l'Iream, à Amiens, travaillait chez Renault Trucks, à Beauvais, sur la zone industrielle de l'Avelon. « On est tous très choqués. C'était un bon élément. Il travaillait vendredi et ne présentait aucun symptôme », explique-t-on au sein de l'entreprise. Par mesure de précaution, quatre salariés reçoivent actuellement un traitement préventif durant 48 heures.

Le jeune homme avait deux sœurs. Ses obsèques auront lieu mercredi.

Le spectre de la méningite plane également à Quesnoy-Sur-Airaines (à l'ouest de la Somme). Les analyses effectuées par l'Agence régionale de santé (ARS) devront le confirmer, mais il semblerait qu'une fillette de 4 ans, Djoudite, soit décédée dimanche soir, d'une méningite de type viral. « Une méningite de type viral est différente d'une méningite bactérienne à méningocoque, beaucoup plus dangereuse. Si les parents constatent que leur enfant vomit ou a de la fièvre, il faut simplement appeler le médecin traitant. Les enfants sortent de quinze jours de vacances, ce qui limite les modes de transmission », insistait hier un élu municipal.

Un cas de méningite dans l'Ouest AVEYRON

Source : L"info de l'Aveyron
04/01/11

Un enfant de Montbazens a été évacué samedi après-midi par hélicoptère sur le CHU de Purpan, à Toulouse. « Tous les éléments laissent à penser qu'il s'agit bien d'une méningite », a confirmé lundi soir la directrice de cabinet de la préfète de l'Aveyron, rapporte La Dépêche du Midi. Un antibiotique a été administré à la famille et aux soignants qui ont été en contact avec l'enfant, âgé de 2 ans. Ce dernier aurait bien réagi aux soins qui lui ont été prodigués, même si la prudence reste de mise conclut La Dépêche.

ARCHIVES 2017
  ARCHIVES 2010

NORD, une ado succombe à une méningite

Source : Le Figaro.fr
16/12/10

Une collégienne de 13 ans est décédée d'une méningite de type B à Fourmies (Nord), a-t-on appris auprès de la préfecture. L'adolescente était scolarisée au collège Joliot Curie de Fourmies.
"Il s'agit d'un cas isolé. Des mesures de prévention ont été mises en oeuvre pour les personnes qui ont été en contact direct et prolongé avec cet enfant", a souligné la préfecture. Une vingtaine de personnes ayant été en contact avec la jeune fille ont été prises en charge dès mercredi afin de bénéficier d'un traitement antibiotique préventif.
Un médecin et une infirmière se sont par ailleurs rendus dans l'établissement scolaire pour informer les élèves et leurs parents, ainsi que les enseignants. Selon les autorités sanitaires, on recense environ 600 cas de méningites (de type B ou C) en France, dont une cinquantaine mortels.

Suspicion de méningite dans les YVELINES

Source : Le Figaro.fr
16/12/10

Un garçon de 3 ans est décédé mardi 14 Décembre 2010 à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), les enquêteurs suspectant un cas de méningite.
Une autopsie doit être pratiquée jeudi pour déterminer la cause du décès, a-t-on appris auprès d'une de ces sources.
Le garçonnet avait été examiné une première fois à l'hôpital le 9 décembre puis avait subi un nouvel examen par un médecin lundi, selon cette même source.

CHAMONIX, un cas de méningite à l'école d''ARGENTIERE

Source : Le Dauphiné.com
10/12/10

Une fillette de sept ans, en classe de CE1 à l'école Jean Constantin d'Argentière, a été hospitalisée d'urgence dans la nuit de mercredi à jeudi, à l'hôpital de Sallanches puis à l'hôpital cantonal de Genève.
Elle aurait contracté une méningite. Aujourd'hui, selon les médecins, ses jours ne seraient plus en danger.

Un cas de méningite dans l'agglomération de ROUEN

Source : Paris Normandie.fr
10/12/10

Un cas d'infection invasive à méningocoque de groupe C a été confirmé le 9 décembre chez une jeune fille habitant l'agglomération de Rouen. Les personnes de son entourage ont été contactées pour recommandation d'un traitement
antibiotique court et d'une vaccination.
Il est rappelé que la vaccination contre les méningocoques du groupe C est recommandée pour toutes les personnes de 1 à 24 ans. Le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc jamais lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux.
L'Institut de veille sanitaire, et sa cellule régionale, la Direction générale de la santé (département des urgences sanitaires), ainsi que le maire de la commune concernée ont été informés de la survenue de ce cas. Quatorze cas d'infection invasive à méningocoque ont été signalés en Seine-Maritime depuis le 1er janvier.

Méningite de type B à BOURSEVILLE (80)

Source : FR3.fr
30/11/10

Dans la nuit de vendredi 26 au samedi 27 novembre, la méningite a encore frappé. Cette fois, au village de Bourseville, c'est un bébé de seize mois qui a été frappé par une méningite foudroyante. Malgré une intervention rapide des secours, le petit garçon n'a pu être sauvé. Pour le drame de Bourseville, l'ARS a déclenché dès samedi matin l'ensemble du protocole de prévention d'urgence. 29 personnes ayant été en contact avec l'enfant ont été identifiées, avant d'être dirigées vers leur médecin traitant pour la prescription d'un traitement préventif composé d'antibiotiques. Le premier magistrat René Dentin a annoncé “que l'école restera fermée ce lundi 29 toute la journée. Par ailleurs, j'ai avisé l'Académie pour qu'une cellule psychologique soit mise en place dans notre école, dans les plus brefs délais. Les écoliers, camarades de classe de l'aîné, sont bouleversés ! ”.
Selon les analyses du centre hospitalier d'Abbeville rendues ce matin, il s'agit d'une méningite de type B.

AILLAC, La méningite touche un enfant

Source : La Dépêche.fr
28/11/10

Un cas de méningite à méningocoque B était décelé en début de semaine chez un enfant scolarisé à l'école Eugénie-de-Guérin. Hospitalisé à Albi avant son transfert sur l'hôpital pour enfant de Purpan à Toulouse, le petit garçon âgé de 7ans va bien, selon le communiqué de presse transmis hier par l'agence régionale de santé Midi-Pyrénées. Les mesures préventives nécessaires ont été prises à l'école et dans l'entourage familial. Cette forme du méningocoque (méningocoque B), ne nécessite pas la mise en place de vaccination pour les personnes proches de l'enfant. Le risque de contamination est faible. Ce germe est très fragile dans l'air ambiant. « Tous les contacts de l'enfant ont été identifiés et ont bénéficié des mesures de chimio prophylactiques », indique l'ARS.
Lundi, le petit garçon ne s'est pas senti bien. Le personnel de l'école a avisé les parents qui ont récupéré l'enfant. C'est le lendemain, mardi, que la suspicion de méningite à méningocoque était signalée à l'établissement.

Une quarantaine d'enfants traités
Toute la chaîne de prévention et d'intervention se mettait en place sous la houlette de la direction territoriale de l'ARS et avec l'aide de la médecine scolaire. « Le médecin scolaire s'est rendu à l'école pour définir qui devait bénéficier des mesures de prophylaxie, précise l'infirmière de l'unité départementale. Nous avons évité tout sentiment de panique avec une information en direction des parents. »
Les médecins généralistes de la commune comme les pharmaciens ont été avisés afin de délivrer le traitement adapté. Hier matin, la mairie de Gaillac ignorait, par contre, ce cas de méningite qui est arrivé dans une école privée.
Une quarantaine d'enfants ont reçu ce traitement antibiotique. « Il s'agit de sa classe de CE 1 et d'élèves de cours préparatoire qui étaient avec lui dans des ateliers décloisonnés, précise le personnel éducatif de l'école. Le retour en classe des enfants, le jeudi matin, s'est déroulé tout à fait normalement en présence du médecin scolaire présent pour répondre aux interrogations des familles. »

PEAULE (56), l'enfant atteint d'une méningite hors de danger

Source : Le Télégramme.com
25/11/10

L'enfant de l'école maternelle de Péaule (56) touché par une infection à méningocoque de type B, le 12 novembre dernier est sorti de l'hôpital, le vendredi dernier. Il est en parfaite santé. 51 sujets entrés en contact avec l'enfant, recensés par l'inspection académique et les services de l'agence régionale de santé, ont reçu un traitement prophylactique

DOUARNENEZ (29), une fillette agées de 8 ans décède d'une méningite

Source : Télégramme.com
19/11/10

Une fillette âgée de 8 ans, scolarisée à l'école élémentaire Marie-Curie, à Douarnenez est décédée, mercredi, des suites d'une infection à méningocoque de type C.L'enfant souffrant mardi de violents maux de tête avait été examinée par un médecin et dirigée vers le centre hospitalier de Quimper avant d'être transférée au CHU de Brest, où elle est décédée.
Soutien psychologique
Dès la reprise de l'école hier matin, les enfants et les familles ont été avertis. Les services de la médecine scolaire ont immédiatement mis en place un dispositif de soutien psychologique pour les 23 élèves de la classe de CE2 que fréquentait la fillette. «Les élèves de la classe ainsi que les amis intimes de la petite fille sont invités à consulter leur médecin en vue d'un traitement antibiotique», indiquait hier Dominique Le Goff, médecin au pôle veille et sécurité sanitaires de l'Agence régionale de santé en précisant «qu'un vaccin sera également recommandé aux contacts». Si aucune mesure supplémentaire n'est recommandée, les services de la mairie de Douarnenez prévoyait de procéder à une désinfection des locaux, hier soir.

Un cas de méningite détecté à l'Ecole de PEAULE

Source : Ouest France
12/11/10

Un cas de méningite d'origine bactérienne a été détecté chez un enfant d'une classe de maternelle de l'école Jules-Verne de Péaule. Il a été rendu public par la délégation territoriale de l'agence régionale de Santé (ARS) ce vendredi.

Réouverture de l'école lundi

L'enfant est actuellement hospitalisé et son état est satisfaisant. Les services de l'ARS ont informé l'ensemble des personnes entrées en contact avec l'enfant et un médicament leur sera administré dans les meilleurs délais par leur médecin traitant ou les services hospitaliers. L'école maternelle de Péaule rouvrira ses portes normalement lundi 15 novembre.

PYRENEES-ORIENTALES un jeune homme de 18 ans décède d'une méningite

Source : Le Midilibre
01/11/10

Un jeune homme de 18 ans, originaire de Saint-Estève, est décédé il y a quelques jours à l'hôpital de Perpignan d'une méningite. Admis aux urgences dans la nuit de mardi à mercredi dernier, il aura malheureusement succombé à une infection à méningocoque de type C.
Contactée ce samedi, l'Agence régionale de Santé (ARS) à Montpellier a expliqué qu'il s'agissait d'un cas primitif de méningocoque, sans corrélation avec d'autres cas récents dans la région. « Toutes les personnes ayant été en contact avec la victime ont été prises en compte, traitées et vaccinées. Cette recherche des contacts permet de briser la chaîne de contamination secondaire », ajoute l'ARS, en expliquant qu'aucune épidémie n'avait été relevée dans les P.-O.
« Il y a eu récemment d'autres cas dans la région, ce qui n'est pas inhabituel en cette période de l'année. Mais il s'agissait de germes différents. Tous ont été soignés ».

Des cas de méningite à l'Université Catholique de LILLE

Source : La Voix du Nord
28/10/10

La méningite C* s'invite à l'université catholique de Lille. L'institution a lancé, ce RISQUE D'ÉPIDÉMIE
Le seuil d'épidémie est dépassé à la Catho de Lille. Après que des cas de méningite se sont déclarés depuis un mois chez quatre étudiants, dont trois de l'université, l'Agence régionale de santé a lancé hier une opération massive de vaccination des effectifs de l'Institut catholique. Avec l'objectif de vacciner, en un mois, 20 000 étudiants.

26 septembre. Premier cas. Un médecin prend son téléphone et compose le numéro de l'Agence régionale de santé (ARS). Il vient de diagnostiquer une infection invasive à méningocoque. Une maladie à déclaration obligatoire. Le patient face à lui est un élève de l'Université catholique de Lille. L'ARS se met à la recherche des « personnes contact » ayant fréquenté le malade avant l'apparition des symptômes. Ces contacts recevront un traitement préventif antibiotique, voire une vaccination.

11 octobre. Deuxième cas. Cette fois, l'étudiant souffrant vit à Vauban mais n'est pas inscrit à la Catho. La souche bactérienne de son infection est envoyée au Centre national des méningocoques pour analyses. Verdict : la souche est identique à celle du premier cas. Méningite C. La même que pour le troisième malade, signalé le 12.

21 octobre. Quatrième cas. « C'est là qu'on a dépassé le seuil épidémique », indique Daniel Lenoir, directeur de l'ARS Nord - Pas-de-Calais.

« Quatre cas sur une population de 22 000 étudiants, cela revient à une incidence de 14 pour 100 000, on est devant un risque d'épidémie », renchérit Pascal Forcioli, le directeur adjoint.

Stocks suffisants

Hier a donc débuté, sous la houlette de l'ARS, une campagne massive de vaccination. « Il ne s'agit pas d'affoler inutilement, mais de prévenir », insiste Daniel Lenoir. Une opération dite de « rattrapage », puisque la vaccination contre la méningite C est recommandée jusqu'à 24 ans. En dessous de cet âge limite, les étudiants peuvent recevoir, sur la note de l'État, une injection au Centre polyvalent de santé universitaire (CPSU) de la Catho, mobilisé pour l'occasion. Leurs aînés doivent s'adresser à un médecin, la dose étant remboursée par la Sécu.

Objectif : piquer l'épaule de 20 000 étudiants en un mois. Rien moins. Les stocks de vaccin, dûment vérifiés, sont suffisants. « Pour la Catho, c'est une première », confirme Thérèse Lebrun. La rectrice entend « ne pas paniquer mais être dans les starting-blocks ». L'Institut catholique n'a pas lésiné pour rameuter ses ouailles, parfois en stage ou à l'étranger. Enseignants, doyens, fédérations d'étudiants sont mobilisés, tandis que le Web est utilisé à plein (via le campus numérique i-campus ou les mails).

« On ne s'étonne pas d'avoir eu déjà des retours », confiait hier matin Thérèse Lebrun. Des coups de fil de parents inquiets, d'abord, puis des files d'étudiants guère affolés l'après-midi (lire ci-contre). La maladie n'est cependant pas à prendre à la légère. « Se faire vacciner, c'est important pour soi, mais aussi pour la collectivité », avance Daniel Lenoir. Chaque année, la méningite C tue. L'un des quatre infectés du mois écoulé a été admis en réanimation. Aujourd'hui, ils sont tous tirés d'affaire.

Un enfant de BINIC atteint d'une méningite

Source : Ouest France.fr
23/10/10

Un cas d'infection à méningocoque a été signalé à l'agence régionale de santé vendredi en fin d'après midi, indique la préfecture des Côtes-d'Armor dans un communiqué. Il s'agit d'un enfant de cinq ans hospitalisé aux urgences pédiatriques du centre hospitalier de Saint-Brieuc. Cet enfant est scolarisé à l'école Notre-Dame de Binic, en classe unique de grande et moyenne section. Cette classe a par ailleurs partagé une activité piscine avec la classe de CP. L'Agence régionale de santé identifie les personnes qui ont été récemment en contact proche et prolongé avec cet enfant, et pour lesquelles un traitement préventif est recommandé. Elles sont jointes directement. Il s'agit d'un cas isolé. Bien que la survenue de cas secondaires reste exceptionnelle, en cas de doute, consultez son médecin traitant.

Un cas de méningite sur le campus de l'EDHEC à ROUBAIX

Source : La Voix du Nord
16/10/10

Une étudiante de première année de l'EDHEC a été hospitalisée mardi au CHR de Lille alors qu'elle présentait les symptômes d'une méningite.
La jeune fille avait passé le week-end en compagnie de membres d'une association étudiante à laquelle elle est affiliée. La direction de l'EDHEC s'est soumise aux prescriptions sanitaires dans ce genre de cas : une quinzaine d'étudiants de cette association ont été vaccinés de manière préventive contre la méningite dès que le diagnostic a été confirmé. La jeune malade se trouve dans un état sérieux.

Méningite dans le pays de CAUX

Source : Paris Normandie.fr
15/10/10

Un cas d'infection invasive à méningocoque, le onzième depuis le début de l'année dans le département de la Seine-Maritime, a été déclaré aujourd'hui. Il a touché une jeune fille âgée de 13 ans résidant dans le canton de Doudeville.
Un traitement antibiotique préventif a été prescrit dans sa famille, parmi ses amis et dans l'établissement scolaire fréquenté par la jeune fille.
L'étude biologique du germe se poursuit, seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant. Selon le germe identifié, des informations complémentaires seront transmises aux familles au cas où une vaccination serait nécessaire.
Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère.

Une méningite frappe un bébé de 18 mois

Source : Paris Normandie
13/10/10

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été déclaré hier soir à l'Agence régionale de santé chez un petit garçon de 18 mois résidant dans le canton de Tôtes.
L'étude biologique des germes se poursuit, seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant. Selon le germe identifié, des informations complémentaires seront transmises aux familles au cas où une vaccination serait nécessaire.

Un traitement antibiotique préventif a été prescrit aux contacts proches du cas.

Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation.
Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc jamais lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux.
Au total, dix cas d'infections invasives à méningocoque ont été déclarés dans le département de Seine-Maritime depuis le 1er janvier 2010. L'incidence des infections invasives à méningocoque déclarées en Seine-Maritime est comparable à celle observée au niveau national.

Le petit MATHIAS tiré d'affaire

Source : Union Champagne Ardennes Picardie
25/09/10

Le petit Mathias, 3 ans, dont les parents demeurent à Chooz, devrait sortir de l'hôpital de Dinant (Belgique) dès cette fin de semaine. Il est, en effet, totalement sorti d'affaire.
Le Dr Annie Meuran, qui avait accueilli l'enfant, nous a confirmé qu'il avait « très vite répondu au traitement » et qu'il n'y avait donc plus rien à craindre. Pas plus pour lui que pour tous ses proches (une dizaine de personnes) qui, ayant été en contact avec lui durant la période d'incubation, avaient également été placés en observation.
Rappelons que le garçonnet (voir nos éditions des 17 et 18 septembre) avait été victime d'une méningite d'origine bactérienne de type B, une infection à méningocoque rare, potentiellement grave. Comme il fréquentait la maternelle de la commune, toutes les mesures avaient aussitôt été prises, avec l'Éducation nationale, pour éviter une épidémie.
Ainsi, tous les parents d'élèves et leurs enfants, susceptibles d'avoir fréquenté le petit Mathias - la méningite se transmettant par contact direct - avaient-ils été invités à consulter leur médecin traitant.
Les informations communiquées hier par l'hôpital de Dinant devraient rassurer totalement la population de Chooz, néanmoins invitée à demeurer attentive, en cas de fortes fièvres, de maux de tête importants, de raideurs au cou, voire de vomissements anormaux chez leur progéniture.

Un cas de méningite détecté à MULHOUSE

Source : L'Alsace.fr
25/09/10

On a appris ce mercredi qu'un adolescent de 14 ans, résidant avec ses parents dans le quartier mulhousien des Coteaux, a été hospitalisé mardi matin au centre hospitalier de la ville, après avoir commencé à présenter les divers symptômes d'une méningite durant la nuit de lundi à mardi.

« Toutes les précautions ont été prises »

Dès mardi matin, ses parents ont averti la direction de l'Institut médico-pédagogique (IMP) Jules-Verne, où l'ado en question est scolarisé de façon régulière. L'établissement, aidé du docteur Francis Lévy, directeur du Service communal d'hygiène et de santé de la Ville de Mulhouse, a ainsi pu prendre immédiatement les mesures prophylactiques nécessaires : les parents du jeune malade, onze de ses camarades de classe et plusieurs éducateurs de l'IMP ont en particulier été placés sous traitement préventif par antibiotiques et il n'est pas exclu que certains d'entre eux soient par la suite vaccinés. En revanche, aucune désinfection n'est nécessaire, les germes porteurs de la méningite ne se transmettant que par contact direct.
Commentaire, ce matin, de la chef de service de l'IMP Françoise Martinez : « Nous avons eu beaucoup de travail au cours de la journée d'hier [Ndlr : mardi], mais toutes les précautions ont été prises et il n'y a aucune crainte de contamination à avoir. Aujourd'hui, ce qui nous préoccupe, c'est la guérison de ce garçon.»
De fait, le jeune malade, placé en réanimation médicale, est toujours considéré comme étant dans un état grave.

MATHIAS, 3 ANS, victime de la plus grave des méningites

Source : Union Champagne Ardennes Picardie
18/09/10

Le petit Mathias est hospitalisé à Dinant et reçoit un traitement antibiothérapie de prévention.

CHOOZ (Ardennes). Le garçonnet domicilié à Chooz et admis mercredi au centre hospitalier de Dinant pour une méningite d'origine bactérienne de type B, est dans un état stationnaire.

UN garçonnet de 3 ans domicilié à Chooz a été victime d'une méningite d'origine bactérienne de type B. La plus grave des méningites pour laquelle il n'y a pas de vaccin.
« Son état de santé s'est stabilisé. Il reçoit un traitement antibiothérapie de prévention », confiait hier matin l'un des médecins responsables du service de pédiatrie du centre hospitalier de Dinant (Belgique) où le petit Mathias avait été admis mercredi dans un état jugé grave.
Mais le docteur Annie Meuran qui s'est occupée de l'enfant depuis son arrivée à l'hôpital belge, se veut rassurante : « Dans le cadre de cette maladie, il y a un protocole bien établi. L'enfant sera hospitalisé pendant dix jours dans une chambre stérile où un traitement chimio-prophylaxis lui sera administré. L'enfant nous a été adressé par le médecin de la famille de Givet dans le cadre d'un accord qui existe entre le centre hospitalier de Dinan et les praticiens du Nord de la France. Cliniquement, nous gérons bien les cas de méningite, nous avons plusieurs malades par an. »
Une dizaine de personnes de la famille proche de l'enfant ont été prises en charge à l'hôpital de Dinant.
D'autres personnes, dont les enfants scolarisés à la maternelle de Chooz, ont été auscultés par des médecins de Givet qui leur ont prescrit sur ordonnance de l'agence régionale de santé (ARS), des doses de sirop à prendre sur 48 heures.

« La faute à pas de chance »

Pourquoi le jeune Mathias ? « Il est parfois difficile d'apporter une réponse aux parents mais c'est la faute à pas de chance, répond la pédiatre du centre hospitalier de Dinant.
On peut porter le microbe sans être malade. La méningite d'origine bactérienne de type B est une maladie relativement rare. Elle peut évoluer extrêmement rapidement et parfois mener à la mort si elle n'est pas diagnostiquée et soignée à temps. Elle touche surtout les enfants. La méningite bactérienne dont a été infecté le petit Mathias, est habituellement beaucoup plus grave que la méningite virale ».
La méningite est une infection des méninges - les enveloppes de la moelle épinière et du cerveau - dans lesquelles circule le liquide céphalorachidien.
Elle est causée par une bactérie ou un virus. Selon la nature de l'agent infectieux, le déroulement de la maladie et son traitement diffèrent.
La méningite à Hib (Haemophilus influenzae de type B) : avant les années 1990, c'était la principale forme de méningite bactérienne chez les enfants de moins de 5 ans.
La méningite bactérienne peut se transmettre par un contact étroit ou prolongé avec une personne infectée. La bactérie est véhiculée par la salive et les sécrétions provenant du nez et de la gorge.
On peut la contracter par des baisers sur la bouche, en partageant des ustensiles, un verre, une bouteille d'eau, des cigarettes, du rouge à lèvres...
Lorsqu'une infection bactérienne touche le système nerveux central, elle peut causer la mort en quelques jours et même, parfois, en moins de 24 heures.
Chez les bébés, les cas peuvent être difficiles à déceler, puisqu'ils ne présentent pas les symptômes classiques de la méningite bactérienne.
Leurs symptômes : ils peuvent pleurer sans arrêt, être plus irritables ou somnolents qu'à l'habitude, manquer d'appétit ou avoir des vomissements.
Chez les enfants âgés de 2 ans et plus, les adolescents et les adultes, une forte fièvre qui empêche de boire ou de manger, des maux de tête importants, une raideur au cou, des nausées et des vomissements, de la confusion, une léthargie, de la somnolence, une hypersensibilité à la lumière, parfois, une éruption cutanée de plusieurs petits boutons violacés, signe d'une méningococcémie.

Un enfant de 3 ans hospitalisé

Source : Union Champagne Ardennes
17/09/10

L'info est tombée hier soir, peu après 20 heures, via la préfecture : un petit garçon de 3 ans, domicilié à Chooz, dans la pointe des Ardennes, a été transporté mercredi 15 septembre au centre hospitalier de Dinant, en Belgique, pour un cas de méningite. « Son état de santé est stationnaire », ajoute le communiqué sans apporter plus de précision sur la gravité de l'infection.
Jointe au téléphone, Michèle Marquet, la maire de Chooz, actuellement en déplacement, ajoute que « toutes les mesures ont été prises, avec l'Education nationale, pour éviter une éventuelle épidémie : tous les parents des enfants ayant pu se trouver en contact avec le petit malade ont été prévenus dans les plus brefs délais et invités à les présenter au plus vite à leur médecin. »
L'enfant hospitalisé fréquente, en effet, la maternelle de la commune. « La délégation territoriale des Ardennes de l'Agence régionale de santé a pu joindre les personnes de la famille ou de l'entourage ayant eu des contacts directs avec le malade ces dix derniers jours », confirme la préfecture qui rappelle en outre que « l'infection à méningocoque est une infection rare mais potentiellement grave. Elle se transmet uniquement de personne à personne lors de contacts directs, rapprochés, prolongés et répétés. La méningite se manifeste par une fièvre élevée, des céphalées, des vomissements, une raideur de la nuque, signes cliniques justifiant en urgence une consultation médicale. »
Faut-il y voir plus qu'une coïncidence ? Le 9 août, un homme d'une cinquantaine d'années, demeurant cette fois à Charleville, avait été hospitalisé au centre hospitalier de Manchester, également pour un cas de méningite. Il en était sorti quelques jours plus tard, heureusement tiré d'affaire.

Un cas de méningite à COGNAC

Source : Sud Ouest
04/09/10

La patiente a été traitée avec succès à l'hôpital.
Une jeune Cognaçaise âgée de 21 ans, atteinte de méningite à méningocoque, a été suivie pendant deux jours par l'hôpital de Cognac. Les symptômes, maux de tête, vomissements et incapacité à supporter la lumière, ont été rapidement identifiés, dimanche.

Il y a environ 600 cas en France par an de cette méningite bactérienne de type B, dangereuse mais moins toxique que celle de type C, mortelle dans 90 % des cas.
Pour l'hôpital de Cognac, ce genre de situation reste rarissime, au contraire des méningites virales, plus courantes. « Pour l'instant, tout s'est bien passé. Le service a été isolé, le personnel et toutes les personnes ayant pu avoir des contacts prolongés avec la patiente sont traités par antibiotiques. Le résultat a été heureux car la maladie a été prise à temps », indique le docteur Jean-Dominique Dana, l'un des responsables du service de soins continus au centre hospitalier de Cognac.
La Ddass se charge de retrouver et traiter les personnes qui ont pu rencontrer depuis une semaine l'intéressée, secrétaire médicale dans un cabinet de Cognac. La patiente a été transférée hier à l'unité des maladies infectieuses au Tripod de Bordeaux, pour poursuivre son traitement.

Un cas de méningite dans les ARDENNES

Source : Info Champagne Ardenne
11/08/10

Suite à un accident de la circulation, consécutif à un malaise, qui s'est produit lundi à Charleville-Mézières, les services d'urgence de l'hôpital auraient décelé, chez la victime, les symptômes d'une méningite foudroyante. Le malade présumé travaillant au centre de réadaptation fonctionnelle pour adultes de la ville chef-lieu, un dispositif sanitaire a aussitôt été mis en place pour prévenir toute propagation. Les sapeurs-pompiers qui avaient transporté le blessé, ainsi que toutes les personnes ayant travaillé avec lui ces derniers jours, auraient ainsi été placés en quarantaine et soumis à des examens approfondis. L'agence régionale de santé (ARS) contactée, à ce sujet, devrait communiquer dans le courant de la journée de ce mardi.
L'état de cet homme âgé d'une cinquantaine d'année est jugé stationnaire. Des recherches ont été entreprises auprès de toutes les personnes avec lesquelles le malade aurait été en contact depuis 10 jours.
Même si cet homme vit seul, le critère de reconnaissance du "cas-contact" correspond au fait de s'être entretenu avec la victime pendant plus d'une heure et à moins d'un mètre.

Cas de méningite à SAINT LO

Source : Tendance Ouest
25/07/10

A Saint Lô, deux cas d'infection de méningite ont été hospitalisés au centre hospitalier Mémorial : une jeune saint loise de 17 ans et un homme de 20 ans ont été contaminés. C'est l'agence régionale de la santé qui a transmis cette information jeudi 22 juillet. Elle précise bien que toutes les personnes qui ont été en contact proche avec ces deux malades ont été identifiées et contactées. Ces proches recevront un traitement antibiotique préventif.

Cas de méningite, tout va bien

Source : La Voix du Nord
13/07/10

L'enfant de 3 ans chez qui un cas de méningite avait été détecté va bien. ...

Comme nous l'avons relaté dans notre édition d'hier, un cas de méningite a été déclaré vendredi chez un enfant de 3 ans. Le garçon a quitté le centre hospitalier d'Helfaut où il avait été admis.

Par mesure de sécurité, la direction des affaires sanitaires et sociales, qui avait été informée par les médecins, avait préconisé de remonter dix jours avant les premiers symptômes, c'est-à-dire en période scolaire. L'enfant fréquentait l'école Pauline-Kergomard, à Arques. Les familles de ses camarades de classe avaient été prévenues et invitées à faire suivre un traitement d'antibiotiques à leurs enfants. La même préconisation avait été faite pour l'enseignante et deux assistantes de la classe de cet enfant.

Il s'agit surtout d'une mesure pour rassurer car la plupart des personnes atteintes d'une méningite l'ont contractée auprès d'un porteur sain, note un médecin.

Un cas de méningite à l'école KERGOMARD à ARQUES

Source : La Voix du Nord
12/07/10

Les parents ont été prévenus vendredi, par la direction régionale des affaires sanitaires et sociales (DRASS) d'Arras. ...

Le matin même, le service d'urgences du centre hospitalier d'Helfaut diagnostiquait, sur un garçon âgé de trois ans, une méningite.

Par mesure de prévention, et pour éviter tout risque de contagion, les médecins sont remontés dix jours avant les premiers symptômes, soit les derniers jours d'école avant les vacances. Et les services de la DRASS, en lien avec la directrice de l'école Pauline-Kergomard, à Arques, où le petit garçon est scolarisé, ont alerté les parents des enfants qui suivent les cours dans la même classe que lui.
Ces enfants ont été placés sous antibiotiques. La professeur de la classe des moyens de l'école ainsi que les dames de service, soit toutes les personnes qui ont pu entrer en contact avec le petit garçon malade, ont été placées sous le même régime.
Le cas de méningite n'aurait pas été diagnostiqué tout de suite. Mercredi, le médecin qui a ausculté le garçon aurait pensé à un coup de chaud.
D'après la maman d'une petite fille scolarisée dans la même classe que le jeune garçon, ce dernier irait mieux. Pas de soucis non plus, a priori, pour ses camarades de classe. Les services de la DRASS ont surtout alerté les parents par mesure de précaution.

Il développe une méningite après une piqure de moucheron dangereux

Source : La Provence
08/07/10

Il porte bien son nom : "phlébotomus pernicosus". C'est un petit insecte, un moucheron, à peine le tiers de la taille d'un moustique. On l'appelle plus communément "la mouche des sables". On s'en méfie peu mais il peut être redoutable. Car en piquant, la femelle peut transmettre le virus Toscana à l'origine de méningites. Un premier cas a été diagnostiqué cet été à Marseille. Un jeune homme de 17 ans, habitant le quartier de L'Estaque, souffrant d'un syndrome méningé, a dû être hospitalisé, la semaine dernière. Son état de santé n'inspire plus d'inquiétude, mais chaque année une dizaine de cas similaires sont diagnostiqués.

La méningite fait reparler d'elle

Source : France Bleue Haute Normandie
06/07/10

Nouveau cas de méningite au Havre sur un bébé de 3 mois. Cela porte à 7 le nombre de cas depuis le début de l'année.

MANCHE, évacuation sanitaire à bord d'un ferry

Source : Le Télégramme
27/06/10

Durant la nuit de vendredi à samedi, un hélicoptère Dauphin médicalisé de la Marine nationale, basé à Lanvéoc-Poulmic (29), a procédé à l'évacuation d'une passagère d'un ferry. Le Cap Finistère, appartenant à la Brittany Ferries, effectuait la traversée Plymouth-Santander. Peu avant 21h, alors que le bateau naviguait dans le nord d'Ouessant, le médecin de bord a signalé au centre de consultation médicale maritime de Toulouse qu'une passagère britannique de42ans était malade. Soupçonnant un début de méningite, ce dernier a décidé une évacuation. Elle a été orchestrée par le Cross Corsen. La malade a été prise en charge à l'hôpital de La CavaleBlanche à Brest.

La méningite C frappe aussi

Source : Paris Normandie
25/06/10

Lorenzo, ici avec sa maman, est tétraplégique suite à une méningite.

La méningite de type B sévit en Seine-Maritime. Une maman met en garde contre la C tout aussi dangereuse.
Au mur, des posters de l'Olympique de Marseille, des gants ayant appartenu au gardien de but Steve Mandanda, un maillot du HAC… Nul doute, Lorenzo est un passionné de football. Pourtant, depuis un an, il ne peut plus fréquenter les terrains de sport. Tout a basculé le 8 mars 2009. « Lorenzo s'est réveillé en pleine nuit, se souvient Magali Magali Ferro, sa maman:
Il avait des maux de tête, des vomissements de couleur jaune et verte et la lumière le faisait souffrir. J'ai tout de suite eu peur car, étant assistante maternelle, je suis informée de certaines maladies. »
Magali pense immédiatement à une méningite. Elle appelle le Samu mais l'adolescent, alors âgé de 15 ans, n'a pas la nuque raide, l'un des symptômes de la maladie. Finalement, avec son mari, elle se rend aux urgences enfants de l'hôpital Flaubert. « Il a été vu aussitôt. Une ponction lombaire a confirmé qu'il s'agissait d'une méningite mais on ne savait pas de quelle souche. » Les analyses révéleront qu'il s'agit de la souche C.

De graves séquelles
Transporté à Rouen, l'état de Lorenzo s'aggrave. « Il a fait un œdème cérébral avec épanchement du cerveau. Plongé dix jours dans le coma pour qu'il ne souffre pas, il s'est réveillé tétraplégique », confie la maman, qui a cessé de travailler pour s'occuper de son fils hospitalisé pendant neuf mois. Aujourd'hui, la famille Ferro cherche un appartement adapté au handicap de Lorenzo car, sans ascenseur, il ne peut plus sortir. « J'aimerais que mon fils se reconstruise », souffle Magali.
Cet après-midi, Micheline Hornung, présidente de l'association Méningite Régis 76, remettra un chèque de 1 800 euros à la famille Ferro. « Un petit coup de pouce », admet la présidente. De quoi, en tout cas, mettre du beurre dans les épinards. « Nous vivons à quatre sur un salaire. » Or, les coussins de confort, les couches, les alèses… coûtent cher et ne sont pas pris en charge par l'Assurance maladie… Et en septembre, l'adolescent de 16 ans suivra une rééducation à Caudebec-lès-Elbeuf, occasionnant des frais d'hébergement pour la maman.
La remise de ce chèque est aussi, pour Magali et l'association, l'occasion de sensibiliser l'opinion publique à la méningite. « Dans la tête des gens, soit on en meurt, soit on s'en sort. Il faut savoir qu'il y a aussi un entre-deux avec des grosses séquelles comme le purpura qui peut entraîner une amputation et la tétraplégie. Il faut faire vacciner ses enfants, les écouter et ne pas hésiter à appeler le Samu dès le premier symptôme. »

Méningite à PLUMELEC

Source : Le Télégramme
17/06/10

Un des deux enfants souffrant de méningite est décédé, hier, en cours de journée (voir Le Télégramme de mercredi). Il était scolarisé dans la classe de CP-CE1 de l'école primaire publique de Plumelec. Il s'agirait d'un garçon de huit ans chez qui les symptômes s'étaient manifestés en premier, dans la nuit de mardi à mercredi, alors qu'il était au domicile familial.

Le second enfant dans un état stable

Le deuxième cas s'est déclaré mardi, en fin d'après-midi, pendant le temps de classe. Les deux enfants ont été hospitalisés en réanimation en service pédiatrique, l'un au CHU de Rennes, l'autre au CHU de Nantes. Selon un communiqué de la préfecture, le second enfant serait «dans un état stable et satisfaisant». La quarantaine de personnes - élèves, enseignants, personnels de l'école, parents - qui ont eu des contacts rapprochés avec les deux malades sont sous antibiotiques depuis avant-hier. Le maire de la commune, LéonGuyot, a reçu la directrice de l'école primaire, hier soir. Une cellule psychologique pourrait être mise en place ce matin, jour de réouverture de la classe.

Une jeune fille décède d'une méningite foudroyante

Source : Le Populaire du Centre
03/06/10

Une jeune fille admise au CHU le jeudi 27 mai dans le service de réanimation du CHU est décédée ce week-end d'une méningite foudroyante.
« Il s'agit d'une méningite à méningocoque B qui nécessite des précautions pour l'entourage, indiquait hier Michel Laforcade, directeur de l'Agence régionale de Santé du Limousin. Nous avons donc pris les mesures sanitaires qui s'imposent en pareil cas, en prévenant l'entourage en contact avec cette jeune fille. »
Parents, camarades de classe et proches ont été contactés, afin qu'ils se rapprochent de leur médecin traitant, et accèdent au plus tôt à un traitement antibiotique. « Il s'agit d'un cas évidemment dramatique, mais semble-t-il totalement isolé poursuivait le directeur de l'ARS. »
La jeune fille de 19 ans décédée dimanche, était élève à l'IESF (Institut d'économie sociale et familiale) à Limoges où elle préparait un BEP Carrières sanitaires et sociales.
Une cellule de soutien psychologique était en place hier matin pour accueillir les élèves forcément choqués à l'annonce du décès de leur camarade.
Un moment d'autant plus délicat pour ces élèves que les épreuves du BEP débutaient hier matin. S'agissant d'une épreuve nationale, le rectorat de Limoges ne pouvait prendre la décision de repousser ces épreuves.
Même si ce cas de méningite bactérienne semble bien, à l'heure actuelle, être un cas isolé, la vigilance s'impose. L'entourage de la jeune fille demeurera sous surveillance dans les jours et semaines à venir, afin de s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une épidémie débutante.

Décès du chanteur d'opéra de la cérémonie d'ouverture du mondial

Source : Le point.fr
29/05/10

JOHANNESBURG (Reuters) - Le chanteur d'opéra sud-africain qui devait se produire lors de la cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde de football est décédé cette semaine, à un peu plus de 15 jours du début de la compétition.
Siphiwo Ntshebe, 34 ans, a succombé mardi à l'hôpital à une méningite contractée lors des répétitions du concert qu'il devait donner le 11 juin avant le match d'ouverture entre l'Afrique du Sud et l'Uruguay.
Surnommé le "nouveau Pavarotti", Ntshebe avait été choisi par Nelson Mandela en personne. Il devait interpréter sa chanson "Hope" (Espoir) dans laquelle sont repris des mots prononcés par l'ancien président sud-africain.
Le président de la Fifa, Sepp Blatter, a adressé ses condoléances à la famille du chanteur. "Qu'il disparaisse aussi soudainement, et aussi près de l'ouverture de la première Coupe du monde organisée sur le sol africain est très douloureux mais nous ne sommes pas maîtres de notre destin", a-t-il déclaré.
D'origine modeste, Ntshebe chantait depuis l'âge de cinq ans. Passé par le Royal College of Music de Londres, il s'était produit dans toute l'Europe.

Xola Potelwa, Clément Dossin pour le service français, édité par Gilles Trequesser

Un lycéen succombe à une méningite

Source : 20 Minutes.fr
27/05/10

Un lycéen nantais est mort dans la nuit de lundi à mardi des suites d'une méningite foudroyante, a-t-on appris hier. Le garçon, âgé de 16 ans, était scolarisé en seconde professionnelle au lycée Michelet. Il est décédé quelques heures à peine après son hospitalisation au CHU. « C'est une bactérie qui circule et est portée le plus souvent sans qu'on se rende compte. Mais elle peut entraîner, rarement, une infection qui se dégrade en choc sceptique », commente Christophe Devaux, directeur adjoint de l'Agence régionale de santé (ARS). Les 21 élèves de la classe de la victime, ainsi qu'une dizaine de proches, se sont vu proposer un traitement préventif antibiotique. « Le risque contagieux est très faible », précise l'ARS. La fréquence des infections à méningocoque est d'environ 2 cas pour 100?000 habitants, les adolescents étant davantage exposés. Vingt cas ont été recensés l'an passé en Loire-­Atlantique, dont un a conduit à la mort d'un jeune de 28 ans vivant dans la région nazairienne.

Il meurt au CHU de NANCY

Source : Blog Actu Lorraine
25/05/10

Un jeune homme de 18 ans est décédé hier à l'hôpital de Brabois, suite à une infection invasive à méningocoque. C'est ce qu'ont fait savoir les autorités sanitaires de l'Agence régionale de santé. Le jeune homme était domicilié à Thionville.

MESNIL-SAINT-NICAISE (02) la méningite de nouveau

Source : Le Courrier Picard
14/05/10

Le 27 février dernier, une marche silencieuse avait été menée à Péronne pour Antony Méglinky, 18 ans, de Licourt, décédé le 26 novembre 2009.

Un nouveau cas vient de toucher Lilou, une fillette de 4 ans et demi domiciliée dans le village, mais scolarisée depuis peu à Nesle. Son état est jugé préoccupant.
Les symptômes d'une infection invasive à méningocoque (autrement dit une méningite dont le type reste à identifier) ont été diagnostiqués hier matin sur une enfant de 4 ans et demi, domiciliée dans la commune de Mesnil-Saint--Nicaise, et admise dans le service pédiatrie du CHU d'Amiens.
Hier soir, l'état de la fillette était toujours préoccupant, ce qui a incité les autorités sanitaires à mettre en place des mesures préventives. « Dans ces conditions, une cinquantaine de personnes de l'entourage proche de l'enfant (famille, école, personnel de santé et pompiers) ont été identifiées comme sujets en contact et un traitement préventif leur a été prescrit par leur médecin traitant », précise un communiqué de presse émanant de la préfecture de région.
L'enfant, dont les parents sont domiciliés à Mesnil-Saint-Nicaise est scolarisée en moyenne section à l'école maternelle de Nesle. Aussi les autorités sanitaires préconisent-elles aux personnes ayant pu être en « contact rapproché et prolongé » avec cette petite fille de consulter leur médecin traitant, afin qu'il décide de l'opportunité d'un traitement préventif.
Bien que la fillette soit depuis un mois, scolarisée à Nesle, cette situation inquiète le maire de Mesnil-Saint-Nicaise, Jacques Merlier. « La période d'incubation de cette maladie est de dix jours, mais la petite Lilou est revenue à l'école maternelle du village il y a seulement quatre jours pour revoir ses copines et copains de classe, j'attends donc du médecin de la DDASS de savoir si nous devons adopter des mesures préventives », confie le maire.
Deux cas de méningite foudroyante
Du côté de Nesle, on se veut un peu moins alarmiste. « Pas de panique. Pour l'instant aucune fermeture de classe n'a été envisagée, ni même de désinfection des locaux. Seul leur aération nous a été conseillée par la médecine scolaire. Il est simplement conseillé aux parents dont l'enfant aurait de la fièvre de consulter sans attendre leur médecin traitant », nous répond le secrétaire général de la mairie, Gilles Savary.
« Il faut attendre maintenant 24 à 48 heures pour connaître à partir des prélèvements effectués, le type de méningite dont la petite Lilou est atteinte » nous explique-t-on au service de veille sanitaire de la DDAAS.
Mais difficile de rassurer dans le Pays neslois où deux cas de méningite foudroyante ont causé la mort de deux jeunes gens âgés d'une vingtaine d'années, le 26 novembre 2009 à Licourt et le 5 mars 2010 à Curchy à seulement de 15 km de là.

BOLBEC, une fillette frappée par une méningite

Source : Paris Normandie
15/04/10

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué dimanche 11 avril chez une petite fille de trois ans résidant dans le canton de Bolbec. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à son entourage familial.
Les services de la protection maternelle et infantile se chargent de la prescription de la prophylaxie au sein de la collectivité fréquentée par l'enfant. L'étude biologique du germe responsable est en cours, seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant.
Selon le germe identifié, des informations complémentaires seront transmises aux personnes ayant été à son contact, au cas où une vaccination serait nécessaire. Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation.
Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux. L'Institut de Veille Sanitaire, et sa cellule régionale, la Direction Générale de la Santé (Département des Urgences Sanitaires), ainsi que le maire de la commune concernée ont été informés de la survenue de ce cas.

Ceci porte à 5 le nombre d'infection invasive à méningocoque en Seine- Maritime depuis le 1er janvier 2010.

Un nouveau cas de méningite en SEINE MARITIME

Source : infocéane.com
12/04/10

Un cas d'infection invasive à méningocoque de groupe B a été confirmé chez un garçon de 2 ans résidant dans le canton d'Elbeuf.
Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à son entourage familial. L'identification et l'information des contacts en collectivité est en cours. L'étude biologique du germe responsable se poursuit, seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant.
La DDASS rappelle que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. "Il n'y a donc pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux" pour le Docteur Bohic, de la DDASS de Seine Maritime.
L'institut de veille sanitaire, la direction générale de la santé et la cellule d'intervention régionale en épidémiologie de Haute-Normandie et le maire de la commune concernée ont été informés de la survenue de ce cas.
Il s'agit du quatrième cas d'infection invasive à méningocoque en Seine-Maritime depuis le 1er janvier 2010.

WALINCOURT-SELVIGNY : Un cas de méningite au collège

Source : La Voix du Nord
01/04/10

« Oui bonjour, je vous appelle concernant une élève qui aurait contracté... ...

  • Ah oui, ne quittez pas, je vous passe tout de suite le chef d'établissement. » À peine le temps de finir la phrase, ni même de présenter le sujet. Visiblement, la secrétaire du collège François-Villon, à Walincourt-Selvigny, lit dans les pensées ou suppute le dossier suggéré. Au cours de la semaine dernière, un cas de méningite à méningocoque aurait été décelé auprès d'une élève de quatrième, âgée de 13 à 14 ans. L'adolescente, qui n'habite pas la commune de Walincourt mais un village voisin, a été hospitalisée et son état serait aujourd'hui stationnaire.

Mesures prophylaxiques
Au-delà de la maladie elle-même, hautement contagieuse, les modalités d'information et de prévention interpellent. Qui était informé de ce cas lève la main et le dise au maire. Daniel Fiévet. Quant à la sous-préfecture, elle attendait toujours hier soir la confirmation de ce cas. Info éronée ?
Canular ? Non. Dans cette « affaire », l'établissement scolaire explique avoir bien pris des gants. « On nous a appelés vendredi matin pour nous prévenir de ce cas, explique le chef d'établissement Alain Venart.
D'abord l'inspection académique, puis la direction des affaires familiales et sociales. L'établissement a donné des informations aux services afin que soit alerté l'entourage de la jeune-fille et que des mesures de prophylaxie soient prises. » Au cours de la journée de vendredi et ce week-end, l'entourage de la jeune souffrante a été averti et conseillé par un médecin, voire par l'hôpital, afin qu'un traitement préventif soit administré. Hier, l'établissement scolaire a rouvert ses portes. Une cellule a été mise en place avec un médecin scolaire afin de transmettre des informations précises aux élèves. « Par contre, il n'a pas encore été décidé de transmettre une information particulière aux parents d'élèves. » Il n'y aurait aucune raison d'inquiéter outre mesure la population.
« Fusille les neurones »
C'est en tout cas ce qu'interprète le maire de Walincourt-Selvigny, à présent au parfum : « S'il y avait eu danger, il y aurait eu des répercussions. J'aurais été averti », suppose-t-il. De son côté, le chef d'établissement précise à juste titre que ce n'est pas à lui d'alerter les autorités administratives. « Peut-être d'ailleurs que cela n'a pas été fait car il n'y avait qu'un seul cas », suggère ce dernier. Certaines sources laissent également entendre qu'à partir d'un certain âge, seul l'entourage proche nécessite d'être soigné à titre préventif, et qu'il n'est nul besoin de fermer l'établissement, comme le protocole l'impose en cas de malade en bas âge.
Mais d'aucuns spécialistes regardent avec inquiétude ce qu'ils considèrent comme « un flou artistique » en terme de communication. « Une méningite, ça vous fusille les neurones, explique un médecin. Un cas déclaré implique un point de départ quelque part. »

Un cas de méningite au « PETITS MOMES »

Source : La Dépêche.fr
15/03/10

La halte-garderie des « Petits mômes » est installée dans la maison de la petite enfance sur le boulevard Danton, à Villeneuve. Elle reçoit une vingtaine d'enfants tous les jours depuis son ouverture, il y a bientôt 10 ans. C'est une fillette de 14 mois fréquentant cette halte-garderie qui a été victime, en fin de journée de vendredi d'une hospitalisation d'urgence au centre hospitalier Saint-Cyr, parce qu'elle présentait des symptômes d'une méningite à méningocoque. Son état de santé s'étant aggravé, la fillette a été évacuée vers le CHU de Bordeaux, samedi matin.
Hier soir, l'état de santé de l'enfant était stable. L'entourage familial de l'enfant a bénéficié du traitement antibiotique adapté dès le diagnostic posé. Les 25 personnes, 20 enfants et 5 adultes ayant été en contact direct avec la fillette malade dans la journée de mercredi ont été informés directement par les services sanitaires de l'Etat afin de bénéficier d'un traitement antibiotique prophylactique.
Ce traitement est administré dans les locaux du centre hospitalier Saint-Cyr. Pour ce qui concerne les locaux de la halte-garderie, aucune mesure de désinfection n'a été nécessaire et la halte-garderie « Les petits mômes » continue de fonctionner selon les horaires habituels.

Un jeune lycéen Blésois décède d'une méningite

Source : Maville.com Blois
11/03/10

Un jeune homme de 19 ans, présentant un cas de méningite à méningocoque est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi au centre hospitalier de Blois. Il était scolarisé au lycée Dessaignes à Blois. « Il s'agit d'un cas isolé. Bien que la survenue de cas secondaires reste exceptionnelle, des mesures de prévention sont recommandées par les autorités sanitaires », souligne la préfecture. Lire demain dans La Nouvelle République.

Picardie, la méningite frappe encore

Source : L'Aisne Nouvelle
09/03/10

Jean-Louis Leroy, un adolescent de 15 ans est décédé jeudi matin d'une méningite foudroyante. Il avait participé samedi dernier à la marche pour Anthony, mort lui-aussi d'une méningite en novembre dernier. C'est le sixième décès dû à cette maladie depuis un an en Picardie.
Jean-Louis habitait Curchy dans l'est de la Somme. A une dizaine de kilomètres seulement de Licourt, près de Nesle, où Anthony Meglinky résidait. Les deux garçons se connaissaient et Jean-Louis avait tenu à être présent samedi matin dans les rues des Péronne.
Une cinquantaine de personnes s'était donné rendez-vous pour honorer la mémoire d'Anthony mort à 18 ans en novembre dernier et pour tenter d'avoir des explications sur sa mort. En effet, l'hôpital de Péronne avait décelé une simple grippe lors de son admission.
Aucun lien entre les deux
C'est dans ce même hôpital que Jean-Louis s'est retrouvé mercredi soir après avoir consulté son généraliste. Les douleurs intenses et les tâches sur le corps ont poussé les médecins à héliporter le jeune homme vers le CHU d'Amiens. Mais il s'est éteint dans la nuit. Le diagnostic parle « d'infection invasive à méningocoque. », autrement dit une méningite.
Dans l'est de la Somme, ce nouveau cas mortel crée un début de psychose mais les autorités sont affirmatives : les deux décès n'ont aucun lien. « Les événements ne sont pas liés, souligne un responsable de la DDASS, il faut un délai de moins de 10 jours pour parler de cas groupés, or le précédent date de plus de trois mois. »
Depuis un an, six personnes ont succombé à cette maladie dans la région. En mai 2009, un nourrisson de Laon en avait été victime au même moment qu'un étudiant amiénois.

Un cas de méningite à ST BOMER

Source : Ouest France
06/03/10

Un cas de méningite bactérienne à méningocoque B a été diagnostiqué ce vendredi matin chez un enfant scolarisé à l'école de Saint-Bômer-les-Forges, indique la préfecture de l'Orne dans un communiqué. L'enfant va bien, aucune inquiétude n'étant à craindre pour sa santé ni pour celle de ses proches qui ont été pris en charge. Les sujets ayant eu des contacts proches et répétés avec lui ont été mis sous traitement préventif. Les parents des élèves des deux sites scolaires du RPI Saint-Bômer-les-Forges et Lonlay-l'Abbaye ont été informés de la situation et peuvent prendre contact avec leur médecin traitant en cas de doute.

SOMME, mort d'un adolescent de 15 ans

Source : L'Union l'Ardennais
05/03/10

Un adolescent de 15 ans et demi, résidant à Curchy (Somme) a été admis hier en service de réanimation pédiatrique au centre hospitalier universitaire d'Amiens avec des symptômes d'une infection invasive à méningocoque. Malgré les soins prodigués rapidement, le jeune homme est décédé hier matin.
Les autorités sanitaires rappellent que la transmission de ce germe n'est possible qu'en cas de contact rapproché et prolongé.
Appel
« Dans ces conditions, les personnes de l'entourage proche de l'adolescent (famille, camarades de classe et de stage) ont été identifiées comme sujets contacts et un traitement préventif leur a été prescrit », apprenait-on hier de source médicale.
Le jeune garçon avait participé à la marche silencieuse qui a eu lieu à Péronne le samedi 27 février, en mémoire d'un jeune homme décédé d'une méningite, en novembre 2009.
D'un point de vue épidémiologique, ces deux événements ne sont pas liés, ne rentrant pas dans la définition de cas groupés. Par ailleurs, il avait, ce même 27 février, participé à une soirée amicale à la salle des fêtes de Mesnil-Saint-Nicaise.
Un appel est lancé a destination des personnes pensant avoir été en contact rapproché et prolongé avec la victime pendant la marche silencieuse ou lors de la soirée. Elles doivent consulter leur médecin traitant afin qu'il décide de l'opportunité d'un traitement préventif.
Les médecins généralistes de Nesle et de Péronne ont été avisés de la situation.

Il s'agirait d'une méningite

Source : Presse Océan
28/02/10

C'est son voisin, inquiet de ne plus la voir depuis quelques jours, qui a donné l'alerte. Il a retrouvé mardi soir le corps sans vie d'une hôtesse de l'air demeurant au Pouliguen. Cette femme de 48 ans vivait seule allée des Fusains, il lui rendait souvent service et possédait la clé de chez elle. Dans sa chambre, il est tombé sur son corps inerte allongé au sol. L'autopsie pratiquée hier révélait qu'elle était décédée d'une forme de méningite. Des analyses plus approfondies devraient révéler aujourd'hui s'il s'agissait ou non d'une méningite à méningocoque foudroyante, la forme la plus contagieuse. Pour autant, le centre hospitalier universitaire de Nantes, qui a pratiqué l'autopsie, se montre déjà rassurant. Compte tenu du court délai d'incubation de cette méningite, les risques de transmission restent faibles puisque le décès remonterait déjà à deux ou trois jours avant la découverte du corps. Air France, son employeur, explique qu'elle était en arrêt maladie depuis longtemps. Il reste encore aux policiers à terminer l'enquête auprès de ses amis et de sa famille.

DISON, un cas de méningite à COURT'ECHELLE

Source : Sud Presse
13/02/10

L'école de la Court'Échelle, à Andrimont, a été prévenue qu'un de ses élèves avait dû être hospitalisé lundi pour une méningite. Les autres élèves et le personnel ont reçu un antibiotique, destiné à empêcher une propagation éventuelle de la bactérie.

Hier, la sortie des classes n'a pas eu lieu à 15 h 10, comme c'est traditionnellement le cas, à la Court'Échelle, l'école d'enseignement spécial située à Andrimont.
Et pour cause: la direction a été prévenue dans le courant de la journée que Thomas, 6 ans, scolarisé en maternelles, avait dû être hospitalisé lundi au Centre Hospitalier Peltzer La Tourelle pour une méningite à méningocoques. Selon les informations que nous avons pu récolter, son état de santé serait bon.
Mais par mesure de sécurité, la médecine scolaire est intervenue pour administrer un comprimé d'antibiotique aux enfants ainsi qu'aux membres du personnel de l'école, qui auraient pu être en contact avec le garçon.
Le médicament est finalement arrivé vers 14 h 30 et les classes ont été prises en charge une à une.
Inutile toutefois de paniquer, comme l'explique le docteur Sophie Lokietek, coordinatrice de la cellule inspection-hygiène au sein de la direction générale de la santé de la Communauté française. “Ce comprimé ne guérit pas, mais tue les microbes dans la gorge pour éviter une propagation éventuelle. Concrètement, on a coutume de dire que la transmission peut s'opérer quand on est resté durant plus de quatre heures à moins d'un mètre d'une personne qui a la méningite.” Cela permet en effet de relativiser les risques de propagation...
En l'absence du directeur, en formation, c'est l'assistante sociale, qui a endossé les responsabilités. “Il y a 176 enfants au total dans l'école et on a pris le soin de contacter tous ceux qui étaient absents hier pour qu'ils prennent également leur comprimé.”
Comme la majorité des enfants repartaient en car, ceux-ci n'ont pas pu démarrer avant que tout ne soit terminé. C'est finalement vers 17 h 45 que les derniers élèves ont reçu leur comprimé.

Méningite à BETHUNE

Source : Ma ville.com Lille
12/02/10

Un enfant de Béthune âgé de 4 ans a été hospitalisé mercredi dernier au CHU de Lille pour un cas de méningite. Sa famille recevait des nouvelles encourageantes. Les services de la DDAS ont contacté les familles des élèves fréquentant la même classe, à la maternelle Jules-Ferry, pour leur demander de consulter leur médecin traitant

RENNES : Deux cas de méninigites dans un lycée à CESSON

Source : Le Télégramme
30/01/10

Deux cas de méningite à méningocoque ont été déclarés à la DDASS par le CHU de Pontchaillou au début de la semaine. Il s'agit d'un enseignant et d'un élève du lycée technique et professionnel Saint-Etienne de Cesson-Sévigné, souligne un communiqué de la préfecture. Ils sont tous les deux pris en charge dans le service de réanimation, et leur état est stationnaire à ce jour.
Une enquête menée par les médecins du CHU, les services de santé scolaire, en lien avec le service d'inspection de la santé de la DDASS, a permis de déterminer les élèves, leurs proches et les enseignants ayant été en contact étroit et répété avec les deux malades. Ils ont été prévenus directement par le service de médecine scolaire et le service d'inspection de la santé afin qu'ils consultent leur médecin pour un traitement antibiotique préventif.
Dans les deux cas, il s'agit d'un méningocoque de type B, qui est le plus fréquent en France, et pour lequel il n'existe pas de vaccin. A ce jour, l'enquête n'a pas permis d'établir de lien de contamination entre ces deux cas et leur survenue à quelques jours d'intervalle dans le même établissement peut être fortuite. Des analyses complémentaires ont été demandées pour vérifier un lien éventuel.
A ce jour, en accord avec la Direction générale de la Santé et l'Institut de veille sanitaire, une prévention antibiotique systématique de l'ensemble des élèves et du personnel de l'établissement n'est pas justifiée médicalement.
Seuls les «sujets contacts» retenus dans le cadre de l'enquête ont bénéficié d'un traitement préventif par antibiotique. Il est important de ne pas multiplier la prise d'antibiotiques qui peuvent entraîner des résistances pour d'autres germes. Il est important de ne pas consulter inutilement les services d'urgence des hôpitaux.
Il n'y a pas de risque épidémique dans le département d'Ille-et-Vilaine à ce jour, mais la vigilance reste de mise.
Pour tout doute ou questions, on peut consulter son médecin ou contacter le service Inspection de la Santé au 02 99 02 18 78 ou 02 99 02 18 61.

Un ado décède d'une infection à méningocoque en SAVOIE

Source : Lyon FM
29/01/10

Un adolescent de 17 ans originaire du Val-de-Marne, en vacances en Savoie, est décédé vendredi à l'hôpital de Chambéry d'une infection à méningocoques.
Le jeune homme, qui faisait partie d'un groupe séjournant à Lanslebourg, avait été transporté jeudi soir au centre hospitalier de Chambéry, où il est décédé "malgré le traitement entrepris". La préfecture précise qu'il s'agit "d'un cas isolé".
Les personnes ayant été en contact proche, de façon prolongée et répétée avec lui dans les 10 jours qui ont précédé le début de la maladie ont été jointes directement et un traitement préventif leur a été prescrit.

Un nouveau cas de méningite

Source : Paris Normandie
28/01/10

Une méningite a été diagnostiquée chez un homme à Caudebec-lès-Elbeuf. Il s'agit du 3e cas depuis le 1er janvier.
Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué ce lundi chez un homme de 19 ans résidant dans le canton de Caudebec-Les Elbeuf. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à son entourage le plus proche.
Le germe responsable est un méningocoque du groupe B, et seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant par les médecins. L'analyse du germe se poursuit, et des informations complémentaires seront transmises aux sujets ayant été à son contact, au cas où une vaccination serait nécessaire.
La direction départementale des affaires sanitaires et sociales de Seine-Maritime (Ddass) tient à rappeler que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact « direct, étroit et répété avec la personne malade » (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. « Il n'y a donc pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux », considère la Ddass.
Ceci porte à trois le nombre de cas d'infections invasives à méningocoque en Seine-Maritime depuis le 1er janvier.

Cas mortel de méningite à TOURNAI

Source : Mondial Info
23/01/10

Selon une information relayée par RTL Info, un adolescent fréquentant le collège Notre-Dame de Tournai est décédé ce vendredi 22 janvier 2010 des suites d'une méningite à méningocoque.
Cet élève de 4ème secondaire, Maxime, avait été admis en urgence dans la nuit de mardi à mercredi et son état s'est agravé malgré les soins médicaux.
Le directeur de l'école a assuré que toutes les personnes qui avaient été en contact avec le jeune homme ont reçu un traitement préventif sous forme d'antibiotique par voie orale.

Un collégien foudroyé par une méningite

Source : l'Union Champagne Ardennes Picardie
19/01/10

Mardi, Julien Burluraux, 14 ans, est décédé des suites d'une méningite foudroyante. Ce jeune garçon, domicilié à Juvincourt-et-Damary, était scolarisé au collège de Guignicourt.
Le jeune axonais devrait être inhumé vendredi matin, à 10 heures, à l'église Saint-Thomas de Reims.

Cas d'infection invasive à méningocoque dans le canton de GRAND COURONNE

Source :
16/01/10

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué le week end dernier chez un homme de 21 ans résidant dans le canton de Grand-Couronne.
Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à son entourage proche.
L'étude biologique du germe responsable est en cours, seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant. Selon le germe identifié, des informations complémentaires seront transmises aux personnes ayant été à son contact, au cas où une vaccination complémentaire serait nécessaire.
Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque, par la salive, limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture de locaux.
L'institut de veille sanitaire, la direction générale de la santé et la cellule d'intervention régionale en épidémiologie de Haute-Normandie et le maire de la commune concernée ont été informés de la survenue de ce cas.
Il s'agit du premier cas d'infection invasive à méningocoque en Seine-Maritime depuis le 1er janvier 2010.

Cas de méningite à BOIS BERNARD

Source : La Voix du Nord
11/01/10

Hier vers 17 h, les parents d'élèves de l'école Condorcet, maternelle et primaire, de Bois-Bernard ont été appelés au téléphone par les services de la DDASS car un cas de méningite y a été détecté. Ainsi, le médecin de la DDASS a invité les parents à aller chercher l'antibiotique nécessaire à la pharmacie de la commune, qui a été livrée en urgence.
Mais l'inquiétude des parents ne provient pas de ce cas précis mais « il y a déjà eu un cas de méningite il y a deux mois. Deux en deux mois, ça fait beaucoup », indiquait une maman dont les trois enfants fréquentent l'école.
Jointe par téléphone, le sous-préfet Isabelle Pétonnet avoue ne pas être au courant du cas précédent mais confirme celui actuel. Elle affirme qu'« il n'y a pas d'inquiétudes à avoir. Si c'est le deuxième cas, il ne peut avoir de rapport avec le premier car la période d'incubation de la méningite n'est pas de deux mois. » Et elle assure que « tous les parents dont les enfants ont été en contact direct avec le malade ont été alertés par la DDASS. L'école sera ouverte normalement lundi. »

La méningite fait une nouvelle victime

Source : Maxiscience
06/01/10

Landes, France – Une jeune fille âgée de 17 ans est décédée d'une méningite foudroyante la nuit dernière, après que la maladie a été déclarée dans une discothèque lors du réveillon du Nouvel an.
La jeune fille s'est éteinte à 2 heures du matin au service de réanimation de l'hôpital de Dax. Elle y avait été admise le 1er janvier suite à l'apparition de symptômes alors qu'elle fêtait le Nouvel an dans la discothèque "L'Oyat", à Contis.
Il s'agissait d'une méningite à méningocoques de type B, le type le plus fréquent en France. Cette maladie particulièrement grave est une inflammation d'origine infectieuse des méninges, c'est-à-dire des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Par mesure de prévention, les personnes entrées en contact avec la défunte lors de la soirée ont reçu un traitement par antibiotiques puisqu'il n'existe toujours pas de vaccin pour éviter de contracter le type B de la maladie.

LANDES, grave cas de méningite

Source : AFP
04/01/10

L'état d'une jeune fille de 17 ans, qui a déclaré une méningite à méningocoques après le réveillon de la Saint-Sylvestre dans une discothèque des Landes, est jugé aujourd'hui "très grave", a indiqué la direction de l'hôpital de Dax, qui a émis un pronostic vital "réservé".
La jeune fille, originaire de Castets (Landes), a ressenti les premiers symptômes d'une méningite foudroyante dans la nuit du Nouvel An, alors qu'elle réveillonnait dans la discothèque "L'Oyat" à Contis.
Plongée dans un coma artificiel, l'adolescente se trouve dans "un état très grave", a déclaré le directeur adjoint de l'hôpital, Simpon Beaudra. "L'état général de la jeune fille ne s'améliore pas" au fil des heures et "le pronostic vital est réservé", a-t-il déploré. La jeune fille souffre d'une méningite à méningocoques de type B mais l'infection s'est généralisée à toutes les fonctions vitales.
Une centaine de personnes au total ayant été en contact avec la malade ont reçu un traitement préventif par antibiotiques, après avoir été avertis par les autorités, mais aussi via le réseau de socialisation Faceb.

ARCHIVES 2017
  ARCHIVES 2009

Une jeune fille décède d'une méningite à LYON

Source : Préfecture du Rhône
31/12/09

LYON — Une jeune fille de 18 ans est morte lundi à Lyon d'une infection invasive à méningocoque, a-t-on appris mercredi auprès de la préfecture du Rhône.
« Le traitement par antibiotique à visée préventive a été prescrit aux personnes qui ont été en contact très proche et prolongé avec cette personne dans les jours qui ont précédé l'apparition de la maladie », précise la préfecture dans un communiqué.
Entre dix et trente cas d'infections à méningocoques sont déclarés chaque année dans le Rhône, sur les quelque 800 qui surviennent en France. « Ces cas surviennent principalement en hiver et au début du printemps », ajoute la préfecture.

Méningite, l'entourage de la victime vacciné

Source : La Dépêche de Toulouse
30/12/09

Ce matin ont lieu en l'église de Saint-Simon les obsèques de Jean-Jacques Brossard, un officier de police de 49 ans emporté en 72 heures par une méningite foudroyante. Cette maladie aux conséquences terribles est également très contagieuse. Immédiatement après que la maladie a été identifiée, les proches de la victime ont été placés à l'isolement avant de subir un premier traitement. Les analyses pratiquées sur le malade ont ensuite révélé qu'il s'agissait d'une méningite de type « C », provoquée par un méningocoque qui peut-être vacciné, précise en substance la préfecture de la Haute-Garonne. Le vaccin a donc été administré à huit personnes de la famille et de l'entourage professionnel direct de la victime.
La mise en œuvre immédiate de ce traitement préventif a été rendue possible par la rapidité avec laquelle s'est développée la maladie. Jean-Jacques Brossard qui occupait les fonctions de commandant de la brigade aéronautique de la police aux frontières sur l'aéroport de Toulouse-Blagnac a en effet été terrassé trois jours après avoir contracté le virus. Il a donc été en contact avec un nombre très restreint de personnes qui ont pu être identifiées et soignées très rapidement. Hier soir en dépit de la gravité de la maladie, la préfecture annonçait que la situation était sous contrôle et que tout risque de contagion était écarté.
Relativement rare en France bien que le nombre des cas constatés soit en augmentation, la méningite à méningocoque de type « C » ne donne pas lieu à une vaccination systématique en dehors des personnes à risques.
La vaccination systématique contre le méningocoque C des nourrissons à partir de 12 mois, des enfants, des adolescents et des adultes jusqu'à 24 ans a toutefois été recommandée par le Haut Conseil de la Santé Publique en juin 2009. Cette recommandation a été approuvée par la Haute Autorité de Santé en octobre et devrait figurer au calendrier vaccinal de 2010.

Disparition, une figure du syndicalisme policier en Midi Pyrénée

Source : La Dépêche de Toulouse
30/12/09

Son sourire va nous manquer. Ses coups de gueule, sa passion également. Jean-Jacques Brossard est mort hier matin emporté en 72 heures par une méningite foudroyante. Le décès subit de ce commandant de police de 49 ans marié et père de deux jeunes filles a laissé sans voix bon nombre de ses collègues à Toulouse et dans l'ensemble de la région.
Secrétaire régional du SNOP, le syndicat des officiers de police, pendant six ans, il a été de tous les combats, militant avec intelligence pour une vraie prise en compte des anciens inspecteurs de police devenus officiers.
Connaisseur avisé de la maison police, de ses enjeux, de ses hommes et de ses femmes, il avait commencé sa carrière à la préfecture de police de Paris, en 1983 au commissariat de Javel puis à la brigade des stups des Hauts-de-Seine. En 1986, il rejoint une division très spécialisée des renseignements généraux avant de redescendre vers son Toulouse natal en 1991.
Élu délégué régional du SNOP en 2001, après avoir occupé le poste d'adjoint pendant six ans, il avait laissé la place en 2006 pour retourner à la police aux frontières où cet officier pilote passionné d'aviation était chef de la brigade aéronautique. À ce titre, et en tant que pilote expérimenté, il poussait à l'utilisation de « son » avion pour réaliser des missions de reconnaissance ou de surveillance. En quelques mois et quelques dossiers discrets, il avait su en démontrer tout l'intérêt. Son décès laisse un grand trou dans la famille des officiers et nous prive d'un interlocuteur de grande qualité.

Un cas de méningite près de BOOS

Source : Paris Normandie
27/12/09

C'est dimanche soir que les services de la Ddass de l'Aveyron ont été alertés pour Un nouveau cas d'infection invasive à méningocoque a été signalé jeudi 24 décembre aux services de la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Ddass) de Seine-Maritime. Il concerne une jeune fille de 18 ans résidant près de Boos. Un traitement antibiotique préventif a été recommandé à son entourage amical et familial proche. L'étude biologique du germe responsable est en cours, seul un traitement préventif précoce par antibiotique est préconisé pour l'instant. Des informations complémentaires seront transmises aux proches sur la nécessité éventuelle d'une vaccination complémentaire selon le germe identifié. La Ddass rappelle que le mode de transmission du méningocoque par la salive limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face-à-face prolongé à moins d'un mètre) dans les dix jours. Ceci porte à 29 le nombre d'infections invasives à méningocoque en Seine-Maritime depuis le 1er janvier 2009.

Un petit enfant de 5 ans meurt d'une méningite foudroyante dans le LOIRET

Source : La République du Centre
21/12/09

Le petit garçon est décédé samedi, à son domicile. Près de 250 personnes entrées en contact avec lui auraient été vaccinées.
Samedi, un petit garçon de 5 ans est décédé à son domicile, sans doute d'une méningite de type « purpura fulminans », une forme extrêmement grave entraînant le décès dans près d'un tiers des cas.
Le personnel du SMUR, une fois sur place, n'a malheureusement rien pu faire pour le garçonnet, dont le corps a été transporté au centre hospitalier régional d'Orléans : il est en effet essentiel d'affiner et de valider le diagnostic initial.
Alertés, les services de la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) ont immédiatement établi une liste des personnes entrées en contact avec le petit garçon.
En tout, ce seraient environ deux cent cinquante personnes qui auraient été vaccinées, de l'entourage immédiat de l'enfant à ses camarades de classe et aux personnes l'ayant côtoyé récemment.

Dans le cas de méningites à méningocoques C, qui représentent environ un tiers de ce type de pathologies, il existe un vaccin, ce qui n'est pas le cas des méningites à méningocoques B, qui représentent quant à elles la majorité des cas rencontrés par les médecins.

RODEZ, un collégien hospitalisé pour une méningite

Source : Midi Libre
15/12/09

C'est dimanche soir que les services de la Ddass de l'Aveyron ont été alertés pour un cas de méningite à méningocoque de groupe "b", dans le bassin de Decazeville.
Il s'agit d'un adolescent de 13 ans, scolarisé au collège de Cransac. Initialement pris en charge au centre hospitalier de Decazeville, il a ensuite été transféré au centre hospitalier universitaire de Purpan à Toulouse. Hier soir, son état de santé était jugé « stationnaire. Et ses jours ne sont pas en danger », précisait-on du côté de la préfecture.
Comme il se doit en pareil cas, les services de la Dddas, en lien avec le médecin de l'Éducation nationale, ont procédé à la prescription de traitement antibiotique de courte durée, auprès des enfants du collège qui ont été ou pu être en contact avec l'adolescent malade.Les membres de sa famille ont également bénéficié du même traitement.
Rappelons que les méningites à ménincogoque – à ne pas confondre avec des méningites virales, souvent bénignes - ne sont pas des affections à prendre à la légère et, en cas de doute, se rendre à l'hôpital. Si un traitement rapide se révèle efficace, il est aussi important de savoir que cette rapidité est primordiale. Ce type d'affection peut en effet se révéler mortel dans 10 % des cas ; 50 % en l'absence totale de traitement.

Une Paloise de 35 ans morte d'une méningite foudroyante

Source : Sud Ouest
13/12/09

Une Paloise de 35 ans qui effectuait le vol Air France Paris-Pau de 21h50, samedi soir, a été retrouvée morte, dimanche matin, à son domicile. Elle est décédée des suites d'une méningite foudroyante.
Le brigade de gendarmerie du transport aérien a été sollicicitée par l'administration sanitaire du département afin de récupérer la liste des passagers de l'avion.
Selon la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, "ce n'est pas une procédure d'alerte mais une mesure de précaution. Le vol est court (une heure) et il y a peu de chance que la maladie ait pu se transmettre."

Un jeune Willémois décède d'une méningite foudroyant

Source : Nord Eclair
12/11/09

Le Willémois de 10 ans, scolarisé au collège Jeanne-d'Arc de Roubaix, a succombé dimanche à une méningite foudroyante. Sa famille et ses camarades les plus proches ont reçu un traitement préventif. L'enfant sera enterré ce matin.

« Le jeune garçon ne se sentait pas bien le samedi. Un médecin a posé un premier diagnostic de grippe, ce qui n'est pas incohérent au vu des symptômes, relate-t-on au service de veille sanitaire de la DDASS (Direction des affaires sanitaires et sociales).
Le dimanche matin, lorsque ses parents l'ont réveillé, il était dans un état grave. Il a été emmené à l'hôpital où il est décédé. » Ce professionnel de santé en profite pour rappeler, en cette période d'épidémie de grippe A, l'importance des diagnostics. « Dans ce cas, il s'agit d'une méningite dite purpura fulminans. Des taches de sang apparaissent sous la peau, c'est un signe de gravité. Elles ne s'estompent pas si on presse un verre sur la peau, on ne peut les confondre avec des boutons. » Mais à la DDASS, on se veut rassurant. Cette forme de méningite, la plupart du temps contractée par des enfants, est certes contagieuse mais bien moins qu'une grippe. Ce qui explique que seuls les membres de la famille et ses camarades les plus proches aient reçu un traitement préventif. « Avant d'administrer ces traitements, nous avons mené une enquête pour déterminer qui avait été en contact avec lui plus d'une heure et à moins d'un mètre. Dans un collège, il n'est pas nécessaire de fermer la classe. Tout ceci répond à un protocole très strict. » Et prescrire de façon trop systématique un traitement préventif reviendrait à renforcer la résistance des méningocoques.

Pour bien expliquer les décisions prises par la DDASS, une réunion d'information a été organisée pour les parents d'élèves que fréquentait le jeune Willémois.
L'enfant sera enterré ce matin à Villeneuve d'Ascq. Des représentants de la municipalité de Willems, là où il résidait et où est scolarisé son petit frère, y assisteront pour manifester leur soutien à cette famille endeuillée.

Méningite à méningocoque : un adolescent hospitalisé à Saint-Brieuc

Source : Ouest France
28/10/09

Ce mardi, un cas d'infection à méningocoque a été diagnostiqué chez un jeune homme de 18 ans qui est actuellement hospitalisé à Saint-Brieuc. L'entourage proche de l'adolescent suit un traitement antibiotique. La préfecture signale que le jeune homme a fréquenté le dancing « La Plantation » à Plouisy dans la nuit de samedi à dimanche. Elle invite par conséquent toutes les personnes qui ont fréquenté cet établissement à cette même date et qui présenteraient, dans les 5 jours à venir, de la fièvre associée à des maux de tête ainsi qu'une raideur dans la nuque ou des taches rougeâtres sur la peau, à consulter un médecin sans délai. Les services préfectoraux estiment « qu'il n'y a aucun risque épidémique dans le département.

Le petit Tony va bien

Source : Aisne Nouvelle
25/10/09

Tony, le petit garçon de 2 ans et demi, atteint d'une méningite début octobre, va beaucoup mieux. Il a réintégré le domicile familial à Chauny.

Le petit garçon, scolarisé à l'école maternelle la Résidence avait été hospitalisé le 30 septembre à Saint-Quentin, avant d'être transféré en hélicoptère dans le service de réanimation pédiatrique du centre hospitalier d'Amiens. Son état était alors critique.
Fort heureusement, après une quinzaine de jours particulièrement éprouvants, ses parents ont été pleinement rassurés.
Tony a vaincu la maladie et est rentré chez lui en forme.
« Il pète le feu », sourit Sandrine Leclère, sa maman. Entouré de l'affection de ses parents et de ses frères et sœurs, le petit garçon peut désormais aller de l'avant.

Petit Tony se bat contre la méningite

Source : L'Info
06/10/09

Dans le quartier on ne parle que de ça. Le petit Tony, 2 ans et demi, atteint d'une méningite est alité depuis mercredi au centre hospitalier d'Amiens. Dimanche, son état était stable.
« Alors, quelles sont les nouvelles ? Comment va-t-il ? » Le visage tendu, Stéphanie Rouillon, une amie de la famille, s'informe régulièrement sur l'état de santé du petit Tony.
Après s'être éclairci d'une lueur d'espoir, le visage de la jeune femme se ferme. « Son état est stationnaire, explique-t-elle en raccrochant le téléphone. Nous pensions qu'il était sur la bonne voie car il a réclamé un biberon de lait. Mais il a toujours de la fièvre. »
Atteint d'une méningite à méningocoque - dont l'issue est fatale pour 5 à 10 % des malades - le petit garçon, scolarisé à l'école maternelle la Résidence a été hospitalisé mercredi à Saint-Quentin, avant d'être transféré en hélicoptère dans le service de réanimation pédiatrique du centre hospitalier d'Amiens. Son état était critique.
« Actuellement, il est sorti de réanimation et a été placé en pneumologie cardiologie, toujours à Amiens, confie sa maman, Sandrine Leclere. Son état est stable, mais il souffre beaucoup. On ne peut pas le toucher car rien que de lui effleurer les bras ça lui fait mal. Et sa fièvre ne baisse pas vraiment. ça fluctue mais il tourne toujours autour de 38,5-39 °C… Tout ça le fatigue énormément. »
Tous les après-midi, Sandrine et son époux se rendent au chevet de leur fils. Quand ils passent la porte de la chambre d'hôpital, leur courageux petit garçon esquisse un sourire avant de replonger dans le sommeil. « Nous essayons de quitter l'hôpital quand il dort, afin qu'il ne s'aperçoive pas de notre départ, expliquent ses parents. Sinon c'est trop difficile, pour nous et pour lui. »
Dans le stress, causé par l'incertitude quant

à la guérison du petit Tony, la famille doit également faire face aux ragots de certaines personnes du voisinage.
« Samedi, des personnes croisées dans la rue m'ont dit qu'il était mort ! », lance sa grand-mère, très émue. Mais non, Tony est bien vivant. Il lutte contre la maladie dans son petit lit d'hôpital.

ALERTE SANITAIRE A L'ECOLE MATERNELLE DE LA RESIDENCE
A l'école maternelle de la Résidence, où le petit Tony est scolarisé, une alerte sanitaire a été déclenchée vendredi.
La Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) a informé au petit matin Delphine Grard, la directrice de l'établissement, qu'un élève de l'école était atteint d'une méningite à méningocoque. « Sa maman m'a également fait part du diagnostic vendredi matin, précise l'enseignante. Il était absent depuis quelques jours mais nous pensions qu'il s'agissait d'une laryngite. »
Aussitôt, Delphine Grard organise en fin de matinée une réunion pour informer les parents d'élèves.
Deux médecins scolaires et une infirmière se rendent dans l'établissement pour dialoguer avec les parents.
Les 45 élèves et le personnel de l'école se sont vus administrer un traitement antibiotique d'une durée de 48 heures. « L'école a vraiment réagi très rapidement », glisse Stéphanie Rouillon, une maman d'élèves. Les parents de l'école primaire, quant à eux, se sont vu remettre un document informatif : « En cas de symptômes, il faut consulter un médecin, explique Renelle. Mais je ne suis pas inquiète. »

Toute l'Association Petit Ange pense fort à Tony.

L'enfant atteint d'une méningite est rentré chez lui

Source : La Voix du Nord
14/09/09

Le petit garçon qui avait été transporté en urgence à l'hôpital Jeanne-de-Flandres, à Lille, le 4 septembre, est rentré chez lui. Atteint d'une méningite, il avait été hospitalisé. Il n'avait pas été nécessaire de fermer l'école Albert-Camus où il était scolarisé

Méningite pour un petit Arquois

Source : La Voix du Nord
05/09/09

Un petit garçon de deux ans et demi, domicilié à Arques (près de Saint-Omer) a été héliporté au CHRU Jeanne-de-Flandre, hier matin, pour une méningite. Ses camarades de classe recevront un traitement préventif.

Il était 10 h 45, hier matin, quand l'hélicoptère du SMUR d'Arras décollait de Saint-Omer en direction du CHRU Jeanne-de-Flandre avec à son bord un petit garçon de deux ans et demi qui souffrait des symptômes d'une méningite. Plus tard dans la journée, ce diagnostic était vérifié par les examens effectués. Hier soir, nous étions sans nouvelles de l'état de santé du garçonnet.

Toutefois, selon le maire d'Arques, Joël Duquenoy, la DDASS avait prévenu tous les parents d'élèves de la classe de l'école Albert-Camus, où le petit garçon avait effectué sa première rentrée la veille. Tous recevront un traitement préventif

Suspicion de méningite à ANGOULEME aprés la mort d'un nourrisson

Source : Charente Libre
24/08/09

La méningite pourrait être la cause du décès d'un enfant de 6 mois survenu vendredi soir à Angoulême.

Des analyses complémentaires sont en cours. Tous les résultats seront connus en début de semaine. L'entourage familial a fait l'objet d'un traitement médicamenteux de prophylaxie.

Le risque de contagion de la méningite ne peut résulter que de contacts de bouche à bouche ou de contacts à une distance d'un mètre pendant une heure environ. Le méningocoque présent dans la gorge se transmet en effet uniquement par les gouttelettes de salive. Très fragile, il ne survit pas dans l'air.

Les symptômes de la méningite associent une forte fièvre, une raideur dans le cou, des vomissements en jet et une difficulté à supporter la lumière. Toute tache survenant sur le corps (purpura) et associée à ces symptômes est un risque de gravité. Si ces symptômes sont observés, il est recommandé de contacter rapidement son médecin traitant ou le SAMU (15).

Décès d'un jeune homme de la méningite

Source : Le Figaro
20/08/09

Un jeune homme de 21 ans admis lundi pour une infection invasive à méningocoque de groupe B est décédé aujourd'hui au Centre hospitalier universitaire de Rouen (Seine-Maritime), a-t-on appris auprès de la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales.

C'est le 22e cas (le cinquième mortel) dans ce département depuis le 1er janvier dernier. La Seine-Maritime est le département français le plus touché par la méningite.

Grenay : un cas de méningite au centre de loisirs

Source : Nord Eclair
22/07/09

Les médecins ont diagnostiqué une méningite chez un enfant de 9 ans fréquentant le centre de loisirs de Grenay. Il a été mis sous traitement, ainsi que huit autres enfants et quatre animateurs.

Un garçon de 9 ans présentait des symptômes de fatigue et de raideur dans la nuque. Le premier médecin qui l'a ausculté a diagnostiqué une méningite. À Lille, ces résultats ont été confirmés et approfondis. Il s'agirait de la méningite C, « la moins contagieuse », selon le maire Christian Champiré qui se fonde sur ce que lui a communiqué la DRASS, direction régionale des affaires sanitaires et sociales.
L'enfant a été mis sous traitement et placé en observation à l'hôpital de Lens. Ses jours ne seraient pas en danger.

Huit de ses camarades, qui avaient séjourné sous la même tente que lui au camping, ainsi que quatre animateurs ont été placés sous traitement préventif, après avoir été examinés par un médecin. Ils n'ont pas été hospitalisés.
Le maire indiquait hier soir que la DRASS avait autorisé que le centre de loisirs de Grenay reste ouvert. Ce centre accueille près de deux cents enfants âgés de 6 à 12 ans. Une note sera placardée à l'entrée du centre de loisirs ce matin. Elle invitera les parents inquiets à rencontrer l'équipe de direction du centre qui répondra à leurs questions. Le centre d'animation des jeunes (CAJ) de Grenay, accueillant des adolescents de 13 à 17 ans, n'est pas concerné par cette affaire.

Un cas de méningite au Havre

Source : Paris Normandie
21/07/09

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué ce week-end chez une femme de 57 ans, domiciliée dans le secteur du Havre. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à son entourage proche. Il est rappelé que le mode de transmission du méningocoque par la salive limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct,étroit et répété avec les sécrétions oro-pharyngées de la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure). Le méningocoque est un germe très fragile, qui ne survit jamais dans l'atmosphère. Il n'y a donc jamais lieu de prendre des mesures particulières de désinfection de l'environnement. L'étude biologique du germe responsable a permis d'identifier un méningocoque de groupe C pour lequel une vaccination complémentaire peut être préconisée aux proches partageant le même lieu de vie. Ceci porte à 18 le nombre de cas d'infections invasive à méningocoque en Seine-Maritime depuis le 1er janvier 2009.

Haute-Savoie : Alerte à la méningite

Source : La Boussole 74
16/07/09

Un jeune homme ayant voyagé entre Paris et Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet dans le train corail Lunéa dans la nuit du 11 au 12 juillet 2009 est actuellement traité dans un hôpital en Haute Savoie pour une infection à méningocoque.

Il s'agit du train 5595, départ de Paris le 11 juillet 2009 à 23h00, arrivée à Saint-Gervais-les-Bains-le-Fayet le 12 juillet 2009 à 9h00.
Il occupait la couchette n° 92 dans la voiture 16.
Par mesure de prévention, les passagers ayant voyagé à partir de Paris dans le même compartiment que ce jeune homme aux couchettes 91, 93, 94, 95 et 96 de la voiture 16, doivent prendre contact avec leur médecin traitant ou avec un médecin sur leur lieu de vacances qui pourra se mettre en relation avec la DDASS de Haute Savoie, pour la prescription d'un traitement antibiotique prophylactique.

Le méningocoque ne survivant pas du tout dans l'environnement, il n'y a aucun risque de contagion, ni pour les passagers ayant utilisé ces couchettes à d'autres dates, ni pour les passagers des autres compartiments de ce train.

Burkina: lancement d'un nouveau vaccin anti-méningite en 2010

Source : Romandie News
12/07/09

OUAGADOUGOU - Le Burkina Faso utilisera en 2010 un nouveau vaccin contre la méningite qui a fait cette année plus de 500 morts dans ce pays ouest-africain, a-t-on annoncé dimanche au ministère de la Santé.
Le Burkina Faso a été choisi comme "pays pilote" pour "introduire ce nouveau vaccin en Afrique de l'ouest" à cause de la "récurrence" des épidémies de méningite, a déclaré à l'AFP le directeur général du Programme élargi de vaccination (PEV) au ministère, le docteur Meté Bonkoungou.
"Grâce au soutien de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), nous allons avoir au premier semestre 2010 une campagne de vaccination contre la souche A de la méningite", a dit M. Bonkoungou.
Le méningocoque de souche A est le germe responsable de 80% des cas de méningite chaque année au Burkina Faso et dans la "plupart des pays de l'Afrique de l'ouest, a-t-on ajouté de même source.
Les bureaux de l'OMS à Ouagadougou ont confirmé l'information sur ce nouveau vaccin, précisant que le produit avait été fabriqué par un laboratoire pharmaceutique indien, sans plus de détails.

Officiellement, 4.052 cas suspects de méningite avec 521 décès ont été enregistrés depuis janvier dans ce pays sahélien classé parmi les trois plus pauvres au monde par le Programme de Nations unies pour le développement (PNUD).
"Avec ce nouveau vaccin, ça ne veut pas dire que nous ne parlerons plus de méningite mais nous allons considérablement limiter les pertes (en vie humaine) parce que ce méningocoque était le plus meurtrier", a ajouté le docteur Bonkoungou.
Dénommé MenA, ce vaccin a une durée d'immunité de 10 ans contre trois pour l'actuel.
"Les cycles des épidémies vont aussi s'espacer de manière très importante a cause de l'immunité plus longue que confère ce nouveau vaccin", a relevé M. Bonkoungou, sans préciser le nombre de personnes qui seront touchées par cette campagne de vaccination.
D'autres pays, notamment le Tchad, le Mali, le Niger et le Nigeria, logés dans la ceinture africaine de la méningite qui s'étend de la Mauritanie (à l'ouest) à l'Éthiopie (à l'est) bénéficieront de cette campagne après le Burkina, a-t-il indiqué.

Une fillette en vacances à Luchon meurt d'une méningite

Source : La Dépêche
11/07/09

Gabrielle, une fillette âgée de deux ans et demi, qui se trouvait avec ses parents en vacances à Luchon depuis une semaine, est morte hier matin d'une méningite à méningocoque, la forme la plus sévère de cette maladie. Le diagnostic a été confirmé hier, en fin de journée, par la préfecture de Haute-Garonne.

C'est au réveil que les parents, domiciliés à la Réunion, en vacances avec leurs deux autres enfants, ont constaté que la petite fille était inanimée. Les pompiers ont été alertés vers 7 h 10 ainsi que le Samu. Des moyens importants ont aussitôt été mobilisés : le médecin de garde, le SMUR de Saint-Gaudens et l'hélicoptère du SMUR pédiatrique de l'hôpital Purpan ont été dépêchés dans la résidence « Le Domaine du pic d'Aran », que les Luchonnais appellent plus communément Résitel, à l'entrée de la commune. Malgré l'intervention des secours, la fillette n'a pu être ranimée.

La suspicion de méningite a donc été rapidement confirmée. L'origine de ce cas reste, en revanche, inconnu. Ce décès, outre le drame qui frappe cette famille, implique, à cause des risques de contagion, un traitement préventif des personnes qui ont approché la fillette. Des antibiotiques ont donc été donnés aux parents ainsi qu'à deux autres personnes, notamment celle qui a pratiqué un bouche-à-bouche.

Risque faible
La méningite à méningocoque fait partie des maladies soumises à déclaration auprès des autorités sanitaires. La DDASS a donc été prévenue pour mener une enquête bactériologique. Une information, sous la forme d'un affichage, doit également être faite dans la résidence, ce qui n'était pas encore le cas hier soir. Plusieurs voisins, interrogés, nous ont d'ailleurs fait par de leur insatisfaction. « J'ai vu les pompiers et le Samu mais personne ne nous a tenus au courant dans la journée. Une animatrice m'a dit que la fillette avait été hospitalisée », indique un retraité. Un couple de randonneurs a, lui, trouvé un mot sur sa porte l'invitant à contacter l'accueil, fermé cependant après 19 heures.

À la mairie, les élus se sont mobilisés pour coordonner les interventions. Par précaution, une désinfection partielle des thermes a été menée. « Mais le risque est nul ».

Un bébé de neuf mois hospitalisé à Saint-Brieuc

Source : l'Info
10/07/09

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué mercredi, chez un petit garçon de neuf mois domicilié à Saint-Brieuc, a indiqué hier, la préfecture des Côtes-d'Armor, dans un communiqué. Il a été hospitalisé au service de réanimation pédiatrique du centre hospitalier de Rennes, où son état de santé nécessite toujours une surveillance rapprochée. «Le traitement antibiotique a débuté le jour du diagnostic pour les sujets proches de l'enfant», poursuit le communiqué. Le méningocoque responsable de ce cas a pu être identifié: «Selon les premiers examens, il s'agit d'un méningocoque de sérotype B.» Il n'y a donc pas lieu de procéder à une vaccination des sujets contacts les plus proches et «il n'y a aucun risque épidémique dans le département des Côtes-d'Armor, à ce jour», précise la préfecture. «La transmission du méningocoque s'effectue exclusivement de personne à personne en contact étroit et répété. Il s'agit d'une bactérie fragile qui ne survit pas dans l'environnement et, la plupart du temps, les personnes contaminées par le méningocoque n'ont aucun symptôme et développent des anticorps. Dans un très petit nombre de cas, la bactérie provoque une méningite ce qui justifie la mise en oeuvre de la prévention préconisée.

Quatre cas de méningite à l'école Françoise-Dolto

Source : Le Progrés Lyon
01/07/09

L'école Françoise-Dolto à Saint-Germain-au-Mont-d'or, dans le Rhône, a fermé ses portes hier soir. Quatre cas de méningite virale, un en maternelle et trois à l'élémentaire, ont contraint la municipalité, avec l'accord de l'Académie, à la mise en vacances anticipée des élèves du groupe scolaire.

Les élus ont décidé cette mesure hier après-midi.

Une élève est hospitalisée.

Une désinfection des locaux va être réalisée ce matin, ce qui permettra, dans quarante-huit heures, l'ouverture du centre aéré pour les vacances.

Françoise Lecordier, adjointe aux affaires sociales de la commune de Saint-Germain-au-Mont-d'Or, explique le choix qui a été fait : « Nous avons pris la décision de fermer l'école par principe de précaution et de sécurité pour éviter la propagation de la méningite virale.

Il ne faut pas céder à la panique. Je rappelle les principes de base : se laver les mains souvent et, si l'on éternue, utiliser de préférence un mouchoir en papier. »

Saintes: un cas de méningite

Source : Le Figaro
29/06/09

Un nourrisson âgé de 3 mois a été admis pour une méningite samedi soir dans le service de pédiatrie du centre hospitalier de Saintes, a indiqué lundi la préfecture de Charente-Maritime, dans un communiqué. "L'état du bébé est stable", a-t-on indiqué à la Préfecture. "Des mesures de prévention (antibio-prophylaxie) ont été réalisés sur l'entourage par le pédiatre de service", ajoute le communiqué.

Le Dr Guy Delage, médecin-inspecteur de la DDASS de Charente-Maritime, a indiqué à l'AFP qu'il n'y avait "pas d'indication de gravité particulière". "C'est une méningite bactérienne de type B et 14 personnes de l'entourage ont été vaccinées par précaution", a-t-il ajouté.

Cas de méningite en Bretagne

Source : Le Télégramme de Brest
26/06/09

La préfecture des Côtes-d'Armor a fait savoir que, mercredi, un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué chez une petite fille de 8 ans, domiciliée sur la commune de Bégard.

L'enfant est scolarisée à l'école publique de Trézelan. Hospitalisée au service de pédiatrie du centre hospitalier de Saint-Brieuc, son état de santé est jugé "satisfaisant".

"Aucun risque épidémique à ce jour"
"Le traitement antibiotique a débuté dès le 24 juin pour les sujets contacts de l'entourage proche, renseignent les services de l'État. Le médecin de l'Éducation nationale s'est rendu dans l'école, le 25 juin, pour déterminer les sujets contacts justifiant d'une antibioprophyllaxie. Il n'y a aucun risque épidémique dans le département des Côtes-d'Armor à ce jour".

Un cas de méningite suspecté en Haute-Marne

Source : Info FR3 Lorraine Champagne Ardennes
23/06/09

Un cas de suspicion de méningite a été détecté dans la commune de Sarrey (52) sur un enfant de 7 ans.
Après un cas au Pailly (52) le 19 juin dernier, un nouveau cas de méningite suspecté en Haute-Marne concernerait un enfant de 7 ans scolarisé à l'école primaire de Chauffour (52).

Des analyses sont en cours pour confirmer l'infection.

Les 12 élèves de la classe et 13 personnes de l'entourage de l'enfant (famille et personnel de l'école), vont recevoir un traitement antibiotique préventif.

Les pharmacies environnantes ont été contactées afin de s'assurer qu'elles disposaient du stock de médicaments nécessaires. Les médecins libéraux ont été informés par les services de la direction des affaires sanitaires et sociales (DDASS) de ce cas suspect.

Les parents des élèves sont actuellement informés par les services de l'Etat des démarches à effectuer.

Un cas de méningite à Le Pailly (52)

Source : Info FR3 Lorraine Champagne Ardennes
20/06/09

Il s'agit d'une enfant, âgée de 5 ans et scolarisée à l'école maternelle de Le Pailly.

Le cas suspect de méningite détecté, hier, dans la commune de Le Pailly, sur une enfant âgée de 5 ans, s'est révélé être un cas de méningite à méningocoques de type B.

Aucun cas de suspicion n'a été depuis signalé. Ce cas de méningite est différent de ceux détectés dans la commune de Fayl-Billot au mois de février dernier.

En application du principe de précaution, les 23 élèves de la classe, ainsi que 32 membres de la famille de l'enfant, et 4 adultes de l'école, soit environ 60 personnes, recevront un traitement antibiotique préventif. Les parents de l'enfant ont d'ores et déjà été traités.

Les pharmacies environnantes ont été contactées afin de s'assurer qu'elles disposaient du stock de médicaments nécessaires.
Les médecins libéraux ont été informés par les services de la direction des affaires sanitaires et sociales (DDASS) de ce cas suspect.
Les parents des élèves sont actuellement informés par les services de l'Etat des démarches à effectuer (note d'information ou contacts téléphoniques).

Il est rappelé que la transmission de la méningite ne peut s'effectuer que par des contacts très fréquents, répétés et rapprochés, ce qui limite fortement le risque d'épidémie.
La méningite se traduit par une fièvre, des maux de tête, une raideur de nuque accompagnée souvent de vomissements et d'une gêne à la lumière.
La fièvre ou une modification du comportement peuvent être les seuls signes chez le nourrisson.
Devant ces signes il faut consulter rapidement un médecin.

Médecins Sans Frontières à Chalon sur Saône

Source : Vivre à Chalon
18/06/09

Une équipe de Médecins Sans Frontières sera présente dans les rues de Chalon sur Saône du mardi 23 juin au samedi 27 juin 2009. Nos médiateurs sensibiliseront les passants aux actions de MSF et leur proposeront d'agir chaque jour à nos côtés en participant à l'opération « 1 euro par semaine ».

Convaincus que cette forme de générosité est la manière la plus efficace de venir en aide aux personnes en situation de détresse, nous appelons à des dons qui s'inscrivent dans la durée. Modestes par leur montant mais cruciaux par leur régularité, ils nous permettent de mettre en place des opérations d'urgence et de poursuivre des programmes d'assistance à plus long terme.

Récemment, Médecins Sans Frontières a répondu à une épidémie majeure de méningite en Afrique de l'Ouest, en mettant en place sa plus grande campagne de vaccination à ce jour. Au total,
plus de 7 millions de personnes ont été vaccinées au Nigeria, au Niger et au Tchad. Sans traitement, la méningite tue la moitié des personnes infectées. Grâce à la vaccination, 9 personnes sur 10 survivent à cette maladie.

En complément de toutes nos interventions d'urgence, des programmes de grande envergure sont aussi au cœur de notre action. Ainsi, nous nous mobilisons pour traiter efficacement les enfants touchés par la malnutrition, responsable de la mort de 3 à 5 millions d'enfants chaque année. Nous utilisons dans nos programmes des aliments thérapeutiques prêts à l'emploi, qui permettent aux mères de soigner elles-mêmes leurs enfants à domicile. Ce traitement innovant permet de soigner les enfants les plus sévèrement malnutris en 40 jours, avec un taux de guérison proche de 90 %.

Par exemple, MSF a lancé un programme contre la malnutrition au Burkina Faso, en septembre 2007 où plus de 23 440 enfants ont déjà été soignés, avec un taux de guérison de 88%. Environ 80% ont été pris en charge à domicile à l'aide d'un aliment thérapeutique prêt à l'emploi, facile à administrer par leur famille.

Aujourd'hui MSF prend en charge plus de 150 000 enfants malnutris dans 22 pays.

Depuis plus de 35 ans, nous intervenons auprès des populations en détresse sans aucune discrimination, en totale indépendance à l'égard de tout pouvoir politique, économique ou religieux. C'est pourquoi nous avons fait le choix de l'indépendance financière : 99 % de nos ressources sont d'origine privée. L'opération « 1 euro par semaine » permet ainsi à tous nos volontaires, qui mènent actuellement 48 projets dans 34 pays, de disposer rapidement et de manière pérenne des moyens qui leur permettent de soigner ceux qui en ont le plus besoin.

Méningite : une jeune femme dans le coma

Source : Le Progrès Lyon
17/06/09

Depuis dimanche, une jeune Berjalienne de 20 ans est plongée dans le coma. Hospitalisée à Lyon, elle souffre d'une méningite à méningocoque. « Il s'agit d'un cas isolé qui ne présente aucun risque épidémique », devait indiquer lundi soir la DDASS de l'Isère. Dès son admission, la jeune femme, plongée dans un coma artificiel, a subi un traitement.

Dès que ce cas a été déclaré aux autoritaires sanitaires du département, des mesures de prévention ont été mises en œuvre auprès des proches de la jeune femme. « Il s'agissait d'identifier les sujets qui ont été en contact direct et prolongé ave cette jeune femme, essentiellement famille et proches », poursuit la DDASS. Concrètement, trois personnes ont été soumises à un traitement préventif, ainsi que le médecin traitant de la patiente. « Etant donné la fragilité du germe en cause, l'extension de cette prévention à une population plus large que celle qui vient d'être définie, ainsi qu'une désinfection des locaux, sont des mesures inutiles et injustifiées », indique la préfecture de l'Isère dans un communiqué de presse.

Provoquant une inflammation des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière, la méningite à méningocoque est une infection grave. Les principaux symptômes sont essentiellement la fièvre, de forts maux de tête, une raideur au niveau de la nuque ainsi que des nausées et des vomissements.

Hier soir, et selon nos informations, la jeune femme était toujours dans un état stationnaire.

Méningite : le témoignage du père de Clément (6 ans)

Source : Nice Matin
12/06/09

Les parents d'élèves de l'Institut Jeanne-de-France ont participé hier à une nouvelle réunion d'information, cette fois à l'initiative de la DDASS des Alpes-Maritimes.
Au lendemain de la révélation d'un « lien possible » entre deux cas de méningite dans un même quartier de Nice à un mois d'intervalle, des questions sont toujours en suspens.

François-Xavier LORRE, le directeur départemental des Affaires sanitaires et sociales, a tenté d'y répondre en réunissant hier après-midi les parents d'élèves de l'Institut Jeanne-de-France.

Le représentant de la DDASS a rappelé que Clément, 6 ans, traité avec succès en avril, ne pouvait avoir transmis le méningocoque de type B à Julie, 18 mois, foudroyée dans la nuit du 19 au 20 mai. Même si le frère aîné de Julie fréquentait la même classe que Clément.

À l'appui de cette thèse, trois éléments principaux : « Le délai d'incubation de ce germe est compris entre deux et dix jours. Sa capacité de survie à l'air libre ne dépasse pas quelques heures. Et l'entourage rapproché de l'écolier a bénéficié d'un traitement préventif, conformément aux recommandations des experts nationaux. »

« Tout près de la mort »

Fabien, 35 ans, est le papa de Clément, l'enfant hospitalisé le 21 avril à L'Archet. Pour la première fois, il témoigne : « C'est arrivé le premier jour des vacances de Pâques, un samedi. Nous étions chez des amis à Colomars. Clément avait mal à la tête, il présentait un peu de fièvre et des vomissements répétés. »

Malade toute la nuit, le petit garçon s'est réveillé extrêmement affaibli. « J'ai d'abord appelé le 15, aucune ambulance n'était disponible », raconte Fabien. « J'ai contacté SOS Médecins. Au bout de trois heures et demie, quelqu'un s'est déplacé pour conclure à une grippe. »

Le lundi soir, Clément était au plus mal. Dans un état de déshydratation avancé, il avait perdu trois kilos. Son père l'a conduit aux urgences pédiatriques de L'Archet où le diagnostic et la prise en charge ont été immédiats. Avec le recul, Fabien se dit qu'il a eu beaucoup de chance : « Clément était en danger de mort. Il est passé tout près. »

Le message de Fabien

À la demande des Affaires sanitaires et sociales, Fabien a communiqué la liste de toutes les personnes ayant été en contact étroit avec Clément durant la période d'incubation. « Dans notre cas, la DDASS a fait son boulot. Mais je comprends les critiques d'une partie des parents. La communication en matière de santé publique a souvent manqué de transparence, que ce soit sur l'amiante, l'hépatite B ou certains cancers professionnels. D'où ce climat de suspicion. »

Fabien n'a qu'un seul reproche à formuler : « Le jour de l'annonce du décès de Julie, la situation n'a pas été correctement anticipée. Des parents qui avaient besoin de rassurer ont cherché partout un antibiotique rapidement épuisé. Il a fallu attendre le lendemain pour que les pharmacies soient livrées. »

Aujourd'hui, Clément se porte bien, à l'exception d'une légère perte d'audition. « Le lien n'est pas formellement établi, nous ne savons pas s'il s'agit d'une séquelle. » Fabien pense souvent à la famille de Julie dont il dit admirer la dignité et le courage. Il veut aussi faire passer ce message : « Nous pouvons tous porter le germe et le transmettre. Chacun doit être vigilant mais il ne servirait à rien de tomber dans la psychose. Le tout-sécurité n'existe pas. On ne sait pas dompter totalement la nature. La solution, ce n'est sûrement pas d'aseptiser les locaux et de surtraiter nos enfants. La vie, c'est de les laisser se défendre contre les agressions potentielles. »

NICE, Méningite : rebondissement à l'Institut Jeanne-de-France

Source : Nice Matin
Auteur : Franck LECLERC
11/06/09

Les parents d'élèves avaient exprimé leur inquiétude lors d'une première réunion d'information, le 25 mai dernier.
Trois semaines après la mort de Julie, 18 mois, les experts admettent la possibilité d'un « lien indirect » avec le cas précédent. Les parents sont appelés à la vigilance. Difficile à comprendre. Jusqu'à ces dernières heures, les spécialistes des maladies infectieuses excluaient toute corrélation entre la mort de Julie, 18 mois, foudroyée dans la nuit du 19 au 20 mai par une méningite à méningocoque B, et le cas d'un enfant de 6 ans traité avec succès un mois auparavant. Coïncidence troublante : ce garçonnet était scolarisé dans la même classe que le frère de Julie, à l'Institut Jeanne-de-France, un établissement privé de la rue Paul-Déroulède, en bordure du quartier des Musiciens.
Devant des parents d'élèves paniqués, le professeur Daniel Benchimol, adjoint au maire en charge de la Santé, avait dû expliquer que des analyses seraient demandées pour comparer les deux souches, « mais uniquement par acquit de conscience. »

Le résultat vient de tomber. Selon le communiqué diffusé hier par la préfecture des Alpes-Maritimes, les cultures réalisées par le centre national de référence montrent que « les souches bactériennes isolées ont des caractéristiques similaires. » Autrement dit, l'existence d'un « lien indirect » entre les deux cas est « possible ».

La DDASS réunit les parents aujourd'hui

« Nous avions fini par ne plus trop y penser, j'ai le souffle coupé », a réagi hier une mère d'élève, sidérée par ce rebondissement qui laisse planer le spectre d'une nouvelle menace sur les enfants du quartier.
Pour tenter d'apaiser l'angoisse des parents, François-Xavier LORRE, le directeur départemental des Affaires sanitaires et sociales (DDASS), a pris l'initiative de les réunir aujourd'hui, à 17 h, à l'école. « Je souhaite apporter quelques explications supplémentaires car je reconnais que la situation est complexe. Les experts de l'Institut national de veille sanitaire et de la Direction générale de la Santé sont formels : le délai d'incubation étant compris entre 2 et 10 jours, l'enfant diagnostiqué en avril ne pouvait pas, un mois plus tard, transmettre le germe à la fillette. Et le traitement préventif de l'entourage immédiat était suffisant pour empêcher tout risque de propagation. »

« Nous agissons dans l'intérêt des enfants »

La même analyse prévaut aujourd'hui : « Nous n'allons pas prescrire d'antibiothérapie à toute la population de l'école. C'est sans doute difficile à entendre mais nous agissons dans l'intérêt des enfants. Parce qu'un antibiotique, ce n'est jamais anodin. Nous savons tous qu'il perd de son efficacité au fil du temps. Plus on l'étend et plus le germe résiste. »
Pas question, en revanche, de dissuader d'obtenir ce traitement aux parents qui en feraient la demande : « Il n'y aura aucune opposition de la part des médecins. »

« Un nouveau cas n'est pas exclu »

Faute de corrélation immédiate, les scientifiques n'ont qu'une hypothèse, la présence d'un ou de plusieurs porteur(s) sain(s) dans l'environnement de l'école. « Le germe est présent chez 10 à 15 % d'entre nous, souvent de façon temporaire », rappelle le directeur de la DDASS. « On peut donc imaginer qu'il ait pu circuler entre les deux épisodes. Pour les mêmes raisons, un nouveau cas n'est pas exclu. Mais plus le temps passe, plus ce risque faiblit. »

Appel à la vigilance

Cet après-midi, certains parents qui ont beaucoup reproché à la DDASS de n'avoir pas assez communiqué seront probablement assez remontés. « Je vais assumer », assure François-Xavier LORRE qui rappellera les principales mesures de vigilance. Une poussée de fièvre, des maux de tête, une raideur de la nuque, des vomissements ou une gêne à la lumière sont autant de symptômes qui doivent faire réagir dans l'urgence. « Dans ce contexte, un comprimé de paracétamol n'est pas suffisant. Il faut consulter sans attendre, c'est la raison pour laquelle nous voulons sensibiliser tous les médecins généralistes et pédiatres du quartier », conclut le représentant des Affaires sanitaires et sociales.

Vent de psychose autour des cas de méningite

Source : Sud Ouest
Auteur : Blandine Philippon
09/06/09

La rumeur s'avère parfois plus contagieuse que l'infection la plus virulente. Un vent de psychose a soufflé hier sur le lycée de l'Oratoire où deux adolescents ont ressenti des symptômes évoquant la méningite. Plusieurs fratries étant disséminées entre Saint-Paul et l'Oratoire, la possibilité d'une contamination n'était pas exclue.

Il s'avère finalement que l'un des lycéens souffrait en fait d'une angine et que la migraine de son camarade (dont la petite soeur fait partie des trois cas avérés de méningite à l'école Saint-Paul) n'a pas résisté à l'aspirine.

Confusion, somatisation... La préfecture, qui continue de surveiller attentivement la situation après avoir décidé a fermeture de Saint-Paul jusqu'à jeudi, redoute que la peur ne s'empare des parents. « Face à ce qui ressemble à de la psychose, nos analyses doivent rester pragmatiques. Aucune des pathologies signalées depuis les trois méningites diagnostiquées la semaine dernière, ne relèvent de la méningite et l'école Saint-Paul rouvrira ses portes jeudi, comme prévu », assurait hier soir le directeur de cabinet du préfet, Michel Laborie.

En attendant, les parents d'élèves n'ont pas d'autre choix que de jongler avec les problèmes de garde des enfants.

« C'est la galère »

Cécile élève seule sa fille de trois ans et demi, inscrite en classe de petite/moyenne section, dans l'établissement de la rue Voltaire. « J'ai la chance d'avoir mes parents à Lectoure. Ils sont à la retraite et donc disponibles pour garder ma fille. Je travaille, je n'avais pas d'autre solution. »

Pour d'autres parents, la situation est loin d'être aussi confortable. Ce couple de fonctionnaires dont les enfants scolarisés à Saint-Paul ont respectivement 11 et 8 ans, a dû puiser dans le « fonds » des « jours enfant malade ».

Une solution qui exigeait tout de même un certificat médical du médecin et l'approbation du chef de service.

« Comme nous voulions garder quelques jours ''sous le coude'' au cas où nos enfants tomberaient réellement malades d'ici la fin de l'année, ils ont passé les journées d'hier et d'aujourd'hui, seuls à la maison. Ils sont suffisamment grands, mais nous quittons quand même la maison plus tard le matin et le travail plus tôt le soir ».

Du haut de ses 7 ans, Chloé en revanche, est encore trop petite pour rester seule à la maison. « Tous les soirs, c'est la galère. Nous travaillons tous les deux, alors ma femme fait la tournée des copines pour voir laquelle peut garder Chloé le lendemain. Jusqu'à présent, nous avons toujours trouvé une solution, mais c'était souvent in extremis », confie Franck.

L'école rouvrira ses portes jeudi matin, après avoir été entièrement désinfectée.

AUCH 3e cas de méningite : l'école Saint-Paul est fermée

Source : La Dépêche
06/06/09

Les autorités sanitaires ont pris hier après-midi la décision de fermer l'école Saint-Paul jusqu'à mercredi après le diagnostic d'un nouveau cas de méningite virale.
Un troisième cas de méningite virale vient d'être diagnostiqué chez un enfant fréquentant la maternelle Saint-Joseph, à Auch. Pour l'instant, la préfecture parle d'une «suspiscion de troisième cas», toutes les analyses n'ayant pas encore abouti.

Bien que cette forme de méningite de type viral soit bénigne, les autorités sanitaires qui n'envisageaient qu'un renforceme nt de mesures préventives d'hygiènes après la découverte d'un deuxième cas mardi ont préféré prendre la décision de fermer l'école jusqu'à sa complète désinfection. Le premier cas a été détecté dimanche après-midi. La fermeture de l'établissement du 4 au 11 juin a aussi pour but de «casser» la transmission du virus d'enfant à enfant et d'éviter ainsi le déclenchement d'une épidémie. Les deux dernières épidémies de méningites virales en France remontent à 2000 et 1997.

La méningite est une inflammation des méninges, une mince membrane qui recouvre le cerveau et la moelle épinière. Cette inflammation a pour conséquence d'augmenter le volume de liquide céphalo-rachidien ce qui provoque notamment d'importants maux de tête. Elle peut être causée par des virus -forme bénigne- ou par des bactéries. Beaucoup plus rares que les formes virales, les méningites bactériennes, dites à méningocoque ou à pneumocoque sont gravissimes.

Dans le cas de l'école Saint-Paul, le seul risque est celui d'une propagation du virus qui se transmet très facilement d'humain à humain. Dans la très grande majorité des cas, les responsables de la maladie sont des «entérovirus» présents dans les intestins et dans les selles. Hormis les médicaments que l'on peut donner aux malades pour soulager les symptômes, il n'existe pas de traitement spécifique des méningites virales dont les signes disparaissent tout seuls au bout de quelques jours. Le délai d'incubation du virus étant de trois jours, d'autres cas pourraient apparaître d'ici la fin de la semaine. «En cas de doute, il est toujours conseillé de prendre contact avec son médecin traitant ou avec le centre 15» précise la préfecture.

Situation sous contrôle et communication verrouillée

Comme au troisième temps de la valse, la découverte d'un troisième cas de méningite parmi les élèves de l'école maternelle Saint-Paul a entraîné une volte-face des autorités sanitaires qui ont décidé de fermer l'établissement pour cinq jours. Quelques heures plus tôt, la précecture avait informé de la découverte d'un deuxième cas, mardi. «L'examen de ce deuxième cas et les résultats disponibles des analyses effectuées sur le premier cas permettent d'écarter aujourd'hui l'origine bactérienne de ces méningites (méningite à méningocoque), et orientent vers une origine virale» disait le communiqué. Plus loin, il était précisé que les méningites virales ne revêtant pas les mêmes critères de gravité et étant d'évolution bénignes, le dispositif de prévention relevait essentiellement de pratiques d'hygiène renforcées. La découverte d'un troisième cas change la donne en ce qu'il préfigure une possible épidémie. S'il n'y a pas d'affolement apparent, la communication est néanmoins verrouillée et ne passe plus que par un seul canal préfectoral. Objectif: éviter de déclencher l'affolement général. Pas question donc de parler «en direct» à un médecin de la Ddass ou à un fonctionnaire de l'Education nationale. A la sortie de l'école, hier après-midi, une responsable de l'établissement privé est sortie pour prier les journalistes, poliment mais de manière très explicite, de ne pas parler aux parents d'élèves... Elle-même ne s'exprime pas et renvoit vers la préfecture «qui a toutes les informations». Dans la cour, les parents rassemblés sont informés de la situation. On leur remet un courrier de la médecine scolaire dans lequel le caractère bénin des deux premiers cas est confirmé. «Nos enfants sont plus inquiets que nous» dit un père qui prend la chose avec philosophie. Leur papier à la main, les parents repartent un à un. Les enfants, eux, ont gagné quelques jour de vacances en plus.

Saint-Paul : un deuxième cas de méningite détecté

Source : Sud Ouest
05/06/09

AUCH. Après le diagnostic de méningite porté dimanche, une suspicion de deuxième cas est apparue hier. Les deux fillettes infectées partagent la même classe de maternelle
Après le cas de méningite diagnostiqué dimanche dernier sur une enfant de l'école maternelle Saint-Paul à Auch, c'est une deuxième petite fille, scolarisée elle aussi à Saint-Paul qui a été hospitalisée mardi. Les cultures exigeant environ cinq jours, la méningite n'est pas encore avérée pour cette deuxième enfant, mais les résultats des analyses effectuées sur le premier cas ont permis d'écarter l'origine bactérienne et orientent vers une origine virale.

Cas de méningite dans une école maternelle à AUCH (GERS)

Source : Sud Ouest
03/06/09

Encore un cas de méningite à méningocoque, cela se passe cette fois à Auch dans le Gers. Un cas a été diagnostiqué ce week-end sur une petite fille scolarisée dans une école maternelle de la ville. Selon le quotidien régional Sud-Ouest "le dispositif de prévention de l'apparition de cas secondaires a immédiatement été mis en place" et toutes les personnes ayant été en contact avec l'enfant ont reçu un traitement préventif. Ont été concernés 35 enfants, la maîtresse et 8 assistantes maternelles

Selon les derniières nouvelles l'état de santé de cette petite fille serait satisfaisant.

Rappelons que la méningite se traduit généralement par les symptômes suivants : fièvre, forts maux de tête, courbatures, raideur de la nuque, nausées, irritabilité , perte d'appétit, difficulté à supporter la lumière, éruption de tâches violacées sur le peau ou bien encore pleurs aigus ou gémissements inhabituels de l'enfant (notament quand on le prend dans les bras. (on parle alors d'hyperesthésie).

En cas de doute, il est impératif de contacter les urgences !

A Bournezeau, un enfant de l'école hospitalisé pour une méningite

Source : Ouest France
28/05/09

Un enfant de 7 ans, scolarisé à l'école publique de la Courte échelle de Bournezeau, a été hospitalisé ce matin pour une méningite. Treize personnes, dont de nombreux élèves, qui avaient été en contact avec lui ont été pris en charge et traités. Un médecin conseiller de l'inspection académique s'est déplacé en fin de journée à l'école, qui compte 180 enfants, pour informer les familles. Selon la préfecture, l'état de l'enfant était jugé satisfaisant en fin de journée. A priori, il ne s'agirait pas d'un type de méningite contagieux.

Villefranche-sur-Saône : une patiente décède des suites d'une méningite

Source : Le Progrés.fr
27/05/09

Une femme de 57 ans est décédée, aujourd'hui, au Centre hospitalier de Villefranche-sur-Saône, d'une infection invasive à méningocoque. Employée au sein de l'établissement, elle y avait été admise dimanche 24 mai dans un état grave.
Les personnes ayant été en contact proche et prolongé avec la patiente les jours précédents l'apparition de la maladie ont reçu un traitement antibiotique préventif.
D'autre part, demain, la vaccination, disponible pour ce type particulier de méningocoque, sera proposée à titre de précaution à ses collègues de travail.

Après le décès à Nice, de Julie, 18 mois, c'est la colère

Source : Nice Matin
24/05/09

Le décès brutal de Julie, 18 mois,, à Nice, des suites d'une méningite bactérienne foudroyante, a provoqué une vive émotion parmi les parents d'élèves de l'Institut Jeanne-de-France, où est scolarisé son frère aîné.

Les hôpitaux niçois dont le service pédiatrique de L'Archet II, ont reçu de nombreux appels de familles angoissées pour connaître la conduite à tenir. Une inquiétude légitime et compréhensible. Car ce décès tragique survient un mois après l'apparition, dans cette école privée catholique, située en centre-ville à Nice, d'un premier cas de méningite à méningocoque B. Scolarisé dans la même classe que le frère aîné de la petite Julie, ce garçonnet de 6 ans, aujourd'jui bien portant, a développé cette maladie, le 21 avril, pendant les vacances de printemps. Et c'est avec colère et effroi que certains parents d'élèves ont appris, hier, ce premier cas de méningite en même temps que la mort de la fillette de 18 mois (voir encadré).

Une question se pose. Survenus à un mois d'intervalle, ces deux cas seraient-ils liés ? Hier matin, la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) s'est voulue rassurante et ferme. « Après consultation du médecin référent de l'Institut de veille sanitaire, aucun lien de cause à effet n'est à établir entre ces deux épisodes. Sur un plan médical, le délai séparant ces deux cas est incompatible avec le délai de transmission, explique François Xavier LORRE, directeur adjoint de la DDASS. Toutefois, nous avons demandé des examens approfondis des deux souches de la bactérie. » Verdict d'ici à quinze jours.

Maladie infectieuse strictement humaine, pouvant entraîner la mort dans 10 % des cas, la méningite à méningocoque est peu contagieuse.

« Elle se transmet par la toux, éternuement, salive, baiser sur la bouche. Des contacts directs, à moins d'un mètre de distance, qui doivent être répétés et prolongés. D'où la nécessité de repérer les "personnes contacts" et de leur prescrire un traitement antibiotique préventif afin de couper la chaîne de transmission de la bactérie. C'est ce que nous avons fait dans les deux cas. »

Locaux désinfectés et cellule psychologique

Les « personnes contacts » sont, avant tout, l'entourage proche et immédiat (famille et amis). « Toutes ont reçu un traitement antibioprophylaxie, assure François-Xavier LORRE. Comme ont été traitées les personnes pour lesquelles il y avait un doute. Mais, entre assurer la sécurité et le fait de donner à tout le monde des antibiotiques à titre préventif, il y a un pas. Germe fragile, le méningocoque ne résiste pas à l'air libre. »

De son côté, la municipalité lance un appel aux parents. « Tout enfant ayant fréquenté le jeudi 14 mai, la Maison des Parents et des Enfants de la rue Galléan à Nice, et non encore recensé par la direction de la santé publique de la ville, doit être examiné immédiatement par un médecin ou, à défaut, être présenté aux urgences de l'hôpital de L'Archet. » Face à l'inquiétude légitime des familles, la DDASS a procédé hier à la désinfection des locaux scolaires de l'Institut Jeanne-de-France. Tout comme sera mise en place, lundi matin, dès la reprise des classes, une cellule de soutien psychologique pour accueillir les parents et répondre à leurs interrogations.

Une fillette de trois ans est décédée brutalement, dans la nuit de mardi à mercredi, à Nice, d'une méningite bactérienne foudroyante

Source : Nice Matin
Photo : Franck FERNANDES
23/05/09

La petite Julie semblait souffrir d'une affection banale lorsque son état s'est soudainement aggravé dans la nuit, trop rapidement pour que quoi que ce soit puisse être tenté pour la sauver.

Un premier cas en Avril

Ce décès tragique intervient un mois après qu'un autre enfant, âgé de six ans, a lui aussi contracté une méningite de ce type, dans le même quartier du centre-ville de Nice.

Pour ce garçonnet, tout s'est bien terminé et la maladie a pu être enrayée rapidement. Son entourage familial et les enfants de la classe de CP qu'il fréquente à l'institut Jeanne-de-France, à Nice ont été traités préventivement, selon le protocole habituel en pareille circonstance (voir par ailleurs).

Mais l'inquiétude est montée d'un cran, avant-hier, chez les parents d'élèves, en apprenant ce nouveau cas, mortel de surcroît.

Car si l'enfant décédée n'était pas scolarisée dans le même établissement, son frère aîné y est élève de cours préparatoire. En outre, la petite fille fréquentait régulièrement, avec son frère et les camarades de ce dernier, le square Déroulède situé à côté de l'Institut et qui est le lieu de rendez-vous des mamans et de leurs enfants à la sortie des cours.

Deux cas à un mois d'intervalle, peut-il s'agir d'un hasard ou d'une bactérie résistante ?

« La bactérie de la méningite à méningocoque B a une durée de survie très limitée en milieu extérieur, explique le Dr Hervé HAAS, chef du service des urgences pédiatriques de l'hôpital L'Archet 2 de Nice. Il est donc pratiquement impossible qu'il s'agisse de la même bactérie qui aurait survécu si longtemps. En revanche, il peut s'agir d'une contamination via un porteur sain, sur lequel le traitement préventif n'a pas été opérant. »

Pourquoi alors le premier petit malade a-t-il rapidement guéri alors que la petite fille n'a pas survécu à l'atteinte bactérienne ? Difficile de répondre à cette question, chaque organisme réagissant avec ses capacités de défense.

Traitement préventif

On sait que combiné avec un autre virus, le méningocoque peut devenir d'une redoutable agressivité.

Dès la triste nouvelle apprise, plusieurs familles d'enfants scolarisés à Jeanne-de-France se sont rendues à l'hôpital pour demander un traitement préventif pour leurs enfants. Plusieurs, en fonction de leur proximité avec la fillette décédée, se sont vu administrer des antibiotiques.

L'école Jeanne-de-France était fermée hier et le restera jusqu'à lundi pour le long pont de l'Ascension. Contactées, la directrice de l'établissement et la responsable de l'association des parents d'élèves ont toutes deux rappelé que la petite fille décédée n'était pas scolarisée à Jeanne-de-France et déclaré faire entièrement confiance aux autorités sanitaires, bien sûr alertées, pour prendre les mesures qui s'avéreraient nécessaires la semaine prochaine.

Cas de méningite foudroyante en Picardie

Source : Top Actu Santé
13/05/09

Quatre personnes ont été tuées par la méningite ces derniers mois en Picardie, dont deux le week-end passé. Sur les quatre cas, deux ont été causés par une méningite foudroyante.

Deux cas mortels de méningite en un week-end :

Le préfet de la Somme a annoncé dimanche la mort d'un étudiant français de 21 ans au CHU d'Amiens, où il a été admis jeudi soir. Il a succombé à une méningite de type B. Un traitement antibiotique prophylactique à des membres de sa famille, des amis et camarades de classe ainsi qu'à un professeur de sa faculté.

La méningite a fait une deuxième victime ce week-end. Il s'agit d'un bébé de 9 mois qui est décédé au centre hospitalier de Laon de l'Aisne, portant à quatre le nombre de personnes tuées par la méningite en Picardie cette année.

En février dernier, une lycéenne de 19 ans, scolarisée au lycée Boucher-de-Perthes à Abbeville dans la Somme, avait succombé à une méningite à méningocoque foudroyante à Rouen. La Somme a enregistré 17 cas de méningite en 2008, sans issue fatale.

AISNE : Un nourrisson de 9 mois décède d'une méningite

Source : Le Parisien
09/05/09

Un nourrisson âgé de neuf mois, dont le sexe n'a pas été précisé, est décédé samedi matin d'une méningite dans l'Aisne, a-t-on appris auprès de la préfecture.

«La Direction départementale de l'action sanitaire et sociale (DDASS) a recherché les personnes qui ont été en contact avec l'enfant.

Il n'y avait que les deux parents, l'enfant n'était pas en crèche, ni en garderie», a indiqué la préfecture, qui précise que les parents ont été pris en charge par leur médecin traitant.

La souche du virus n'était pas encore connue samedi soir.L'enfant est décédé au centre hospitalier de Laon.

Un second cas de méningite décelé

Source :
08/05/09

Un cas de méningite a été décelé dans le canton de Neuchâtel: un jeune homme de 18 ans présentant les symptômes de la maladie a été hospitalisé mercredi dernier à l'Hôpital de Pourtalès, à Neuchâtel.
Les analyses de laboratoire ont confirmé vendredi qu'il s'agissait bien de méningocoque. Vendredi, un nouveau cas suspect a été annoncé au médecin cantonal.

Dès qu'il a été informé de la suspicion de diagnostic pour le jeune homme, le service cantonal de la santé publique a pris des mesures prophylactiques au niveau de l'entourage et des contacts professionnels, a communiqué vendredi la chancellerie cantonale. La source de l'infection n'est pas connue. Cette bactérie peut être hébergée par des porteurs sains.

Quant au deuxième cas, il concerne une adolescente de 17 ans hospitalisée depuis jeudi soir au service de pédiatrie de l'hôpital neuchâtelois pour une suspicion d'infection à méningocoque. L'intéressée avait eu des contacts au cours d'une fête avec le jeune homme hospitalisé et a été dirigée vers son médecin qui l'a fait hospitaliser. Des mesures de prophylaxie sont en cours, notamment au niveau scolaire. Les camarades de classe, qui ont également participé à la fête, ont été informés et ont reçu un traitement préventif.

Le risque est le plus élevé pour les contacts proches qui touchent, embrassent ou échangent des aliments avec la personne malade. Des mesures de plus grande ampleur comme une vaccination ne sont actuellement pas recommandées. La maladie peut débuter par des maux de tête, des vomissements, de la fièvre et des taches sur le corps. Si une personne présente ces symptômes, il est recommandé de consulter au plus vite son médecin ou les services d'urgence.

On dénombre chaque année en Suisse 70 cas de maladie invasive à méningocoque, soit près d'un cas pour 100.000 habitants. Ces infections touchent de préférence les enfants de moins de cinq ans, les adolescents et les jeunes adultes.

MONTCEAUX (AIN) : Un cas de méningite détecté dans une crèche

Source : Le Progrès
25/04/09

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué dimanche à Il s'agissait d'un cas de méningite à méningocoques de type B, la plus bénigne. Après diagnostic, tout danger de propagation a été écarté, dans le strict respect du protocole mis en place par la DDASS en pareille situation. Jeudi, 35 enfants ayant fréquenté la crèche intercommunale de la communauté de communes « Montmerle Trois Rivières », à Montceaux, dans l'Ain, se sont vu administrer un traitement médicamenteux, pour parer à toute éventualité.

La suspicion de méningite avait été signalée mardi, avec l'hospitalisation d'un enfant de dix-sept mois. La veille, le petit garçon avait quitté la crèche dans un état fiévreux. Dès la détection des symptômes, un travail de recherche du type de méningite, d'identification du méningocoque, aura permis la mise en place du traitement préventif le plus adapté. Une prise d'antibiotiques suffisait, administrée aux 35 enfants ayant fréquenté la « Visiocrèche » au même moment que ce petit garçon, les 15 et 20 avril, mais aussi à sept adultes, les proches du petit malade et le personnel de la crèche.

Hier, l'enfant était « hors de danger », a fait savoir la préfecture de l'Ain. Mercredi et jeudi, le protocole d'information auprès des parents avait été respecté à la lettre, consistant à informer sans inquiéter.

Avec l'aide du médecin référent, toute l'intervention a été supervisée par le médecin inspecteur de la DDASS.

Au final, c'est le soulagement qui prédominait hier

AFRIQUE: Migrants et méningite, une menace mobile

Source : IRIN
22/04/09

Dans le nord du Niger, une zone de transit populaire pour les migrants subsahariens qui se rendent dans le nord de l'Afrique et au-delà, les travailleurs de la santé ont fait état d'une augmentation du nombre de migrants admis à l'hôpital public régional pour des cas de méningite.

Pendant la semaine du 6 avril, une infirmière de l'hôpital a déclaré à IRIN, sous couvert de l'anonymat, que quatre migrants avaient été hospitalisés après avoir contracté la méningite. « Ils sont tous partis ; l'un d'entre eux est parti sans même avoir vu le médecin », a expliqué l'infirmière, qui travaille au contrôle des maladies infectieuses.

Mais la question des migrants qui ne sont pas soignés ou ne cherchent pas à l'être est encore plus problématique, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). « Le manque de soins de santé adaptés [prodigués aux migrants] constituera également un risque pour les communautés qui entrent en contact avec les migrants, dans les zones de transit ou dans les pays de destination », a déclaré à IRIN Daniel Lopez-Acuña, directeur des programmes d'action sanitaire en situation de crise de l'OMS.

Selon Abba Mallam Boukar, gouverneur d'Agadez, la recrudescence de la méningite est imputable au nombre croissant de migrants qui traversent le Niger. « Ces migrants arrivent avec leurs maladies. La méningite se propage dans les zones densément peuplées, ce qui n'est pas le cas, ici [région d'Agadez], où il y a un habitant par kilomètre carré ».

Selon le recensement effectué par le gouvernement en 2005, moins de 350 000 personnes vivent en effet dans les 15 communes d'Agadez, qui s'étendent sur plus de 670 000 kilomètres carrés.

Mais quelle qu'en soit la source, l'exposition à la maladie peut être dangereuse pour tous, selon M. Lopez-Acuña. « Avec les épidémies de maladies contagieuses, on ne peut pas faire de distinction entre ceux qui méritent d'être soignés et les autres ; c'est un risque de santé publique pour tous ».

En outre, a-t-il ajouté, la crise financière mondiale risque de contraindre les gouvernements des pays pauvres à réduire leurs budgets de santé, à l'heure où de plus en plus de personnes migrent en quête d'un moyen de subsistance. « L'effet aggravant de la crise économique sur les questions de santé pourra se traduire par des risques accrus, en particulier pour des groupes de population vulnérables, apatrides et souvent stigmatisés ».

EPIDEMIE

Au Nigeria voisin, quelques 40 000 cas d'infection avaient été signalés, au 12 avril ; selon les estimations de Médecins sans frontières, six millions de personnes ont besoin d'être vaccinées contre la méningite au Nigeria, et deux millions au Niger.

Cette année, en Afrique subsaharienne, l'épidémie de méningite s'est propagée plus tôt et plus rapidement qu'à la même période, l'année dernière, selon l'OMS. Au Niger, près de 10 000 personnes avaient contracté la maladie au 12 avril, et près de 400 y avaient succombé, contre 91 décès sur 1 338 cas d'infection, à la même période, l'année dernière.

Au Niger, un tiers des cas de méningite ont été signalés dans le département de Zinder (sud), limitrophe du Nigeria. Dans le nord d'Agadez, moins densément peuplé, moins de 150 cas et 12 décès ont été signalés. Abari Ezeï, des autorités sanitaires régionales d'Agadez, a indiqué à IRIN que près de 140 000 personnes avaient été vaccinées.

D'après Agack Algaset, médecin à la clinique privée Santé Horizon, dans la ville d'Agadez, les migrants préfèrent aller se faire soigner à l'hôpital régional, où la consultation coûte trois dollars – les cliniques privées facturent quatre dollars - et où les frais d'hospitalisation s'élèvent à cinq dollars par jour. Pourtant, l'hospitalisation et le traitement sont gratuits pour tout patient à qui l'on a diagnostiqué le VIH, une tuberculose ou une méningite, quelle que soit sa nationalité.

Ignorant qu'il pouvait être soigné gratuitement, un migrant sans papier, qui s'est présenté sous le nom d'Ojuku et s'est dit originaire du Nigeria, a raconté à IRIN, depuis Agadez, qu'il avait eu recours à des remèdes traditionnels. « Quand je suis tombé malade, la semaine dernière, j'ai acheté des pommes de terre, que j'ai coupées en petits morceaux, et que j'ai mangées avec un café serré pour me soigner. Imaginez si j'étais à l'hôpital. Comment est-ce que je paierais ? ».

Un garçon de 5 ans atteint de méningite

Source : Paris Normandie
14/04/09

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été diagnostiqué dimanche à Lillebonne. L'école fréquentée par l'enfant malade été rouverte hier matin.
«Nous avions rouvert la halte-garderie de Bolbec un mercredi après-midi alors qu'elle était fermée et un médecin de la Protection maternelle et infantile (PMI) s'était déplacé. Dès que c'est possible, nous le faisons. Ce lundi à Pâques à Lillebonne, nous en avions la possibilité. Donc nous l'avons fait. » Le docteur Nicole BOHIC, médecin-inspecteur à la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Ddass) de la Seine-Maritime, a fait rassembler hier matin 35 enfants dans une école de Lillebonne, l'établissement fréquenté par un garçon âgé de 5 ans hospitalisé dimanche pour un cas d'infection invasive à méningocoque.
« Avec les enseignants et les parents du malade, nous avons étudié tout son emploi du temps durant les dix jours qui ont précédé le diagnostic. Nous en avons tiré une liste d'élèves avec lesquels le garçon a été en contact direct. Et nous avons contacté les parents de ces enfants pour qu'ils se rendent à l'école où un traitement antibiotique préventif leur a été prescrit par deux médecins de l'Education nationale », explique le Dr BOHIC. Les 25 élèves de la classe du garçon malade, six enfants qui partageaient avec lui des activités extrascolaires et quatre autres qu'il a rencontrés lors d'une fête d'anniversaire étaient tous présents au rendez-vous fixé par la Ddass. Le Dr BHIC rappelle que le mode de transmission du méningocoque par la salive limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la salive de la personne malade.
L'étude du germe responsable est en cours. « Des informations complémentaires seront communiquées aux proches du garçon sur la nécessité éventuelle d'une vaccination supplémentaire, selon le germe identifié. »

Seine-Maritime: un bébé de 27 mois décède d'une méningite

Source :
02/04/09

Un petit garçon de deux ans demeurant dans la région de Bolbec (Seine-Maritime) est décédé mercredi des suites d'une infection invasive à méningocoque, a indiqué jeudi la préfecture de Seine-maritime.

C'est le neuvième cas -le quatrième mortel- en Seine-Maritime depuis le 1er janvier. En 2008, 49 cas de méningite dont cinq mortels avaient touché ce département où l'incidence est trois fois plus importante que la moyenne nationale.

En 2007, 36 cas dont cinq mortels avaient été recensés. Lors d'un déplacement en février dernier à Dieppe (Seine-Maritime), la ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait annoncé l'extension de la campagne de vaccination lancée en 2006 dans trois cantons du nord du département et à quatre cantons de la Somme.

GAMACHES (80) : La méningite mobilise les parents

Source : Le Courrier Picard
10/03/09

La première réunion concernant la campagne de vaccination contre le méningocoque B 14 dans les cantons d'Ault, Gamaches, Friville-Escarbotin et Saint-Valery a été très suivie.

On sent une préoccupation des familles et je trouve qu'il y a une mobilisation satisfaisante. Elles ont posé des questions qui manifestaient à la fois leur intérêt pour la protection contre le méningocoque et à la fois leur intérêt pour s'informer des risques de cette vaccination qui va concerner les cantons d'Ault, Gamaches, Friville-Escarbotin et Saint-Valery-sur-Somme. »

Le directeur départemental des affaires sanitaires et sociales de la Somme, David HERLICOVIEZ, est intervenu hier lors de la première réunion d'information sur la campagne de vaccination contre le méningocoque B14 (lire ci-contre). Celle-ci a été organisée à Gamaches. Devant un public principalement familial et très attentif, le professeur Jean-Luc Schmit, chef du service d'infectiologie au CHU d'Amiens, et le Dr Jean le Tribroche, médecin inspecteur de santé publique à la DDASS, ont répondu, eux aussi, aux nombreuses questions des personnes présentes. A l'instar de Yann Leharanger, 43 ans, père de deux garçons âgés de 4 ans et demi et de 14 ans. « Maxime, le plus vieux va être vacciné au collège de Gamaches. Et ensuite, il faudra, pour le plus petit, aller à Eu », précisera-t-il. Il indiquera notamment : « Le problème, c'est que nous avons peu de recul. C'est une bonne chose, ces réunions, elles permettent d'éviter une psychose ainsi que des idées reçues. »

13 000 enfants à vacciner
Car si les parents avaient fait le déplacement pour connaître les modalités de la campagne de vaccination, nombreuses ont été les questions portant sur les risques. Comme le soulignera le professeur SCHMIT, la relation de cause à effet entre le vaccin de l'hépatite B et la déclaration d'une sclérose en plaques n'est aucunement validée scientifiquement. Les trois intervenants ont rappelé que d'ici Pâques, puis courant juin, 13 000 enfants ou adolescents allaient être vaccinés. Ainsi, si les jeunes qui effectuent leur scolarité au collège ou au-delà le seront dans leurs établissements, les enfants devront être vaccinés à l'institut consulaire de la ville d'Eu. Et en présence d'au moins un parent ou d'un proche. Pour éviter tout traumatisme. Car la vaccination qui se fait en intramusculaire pourrait provoquer des maux de tête, voire des nausées. Mais rien de dramatique, insisteront les praticiens.

Pour cette campagne, les vaccinations seront effectuées par une équipe mobile organisée par le CHU d'Amiens sous le contrôle de la DDASS de la Somme.

Auteur : Didier DEBRIL

La méningite frappe deux fois

Source : Paris Normandie
10/03/09

Par deux fois ce week-end les autorités sanitaires ont constaté des cas d'infections invasives à méningocoques, dans la région du Havre et de Fécamp.
Le premier cas, un garçon d'un an demeurant dans le canton de Fécamp, a été provoqué par un méningocoque du groupe C. Un traitement antibiotique préventif a été prescrit à l'entourage familial et précisons que l'enfant ne fréquentait pas de collectivité. Par ailleurs, il a été suggéré à l'entourage familial une vaccination complémentaire. On ignorait hier l'état de santé de l'enfant.
Un autre cas a été signalé sur un adolescent de 14 ans au Havre. Un traitement antibiotique a été prescrit à sa famille et à son entourage proche, sans qu'il ne soit nécessaire de l'étendre à l'établissement scolaire. Le germe n'a pas encore été identifié, son étude est en cours. Ces deux cas portent à sept le nombre de personnes atteintes par une infection invasive à méningocoque depuis le début de l'année en Seine-Maritime.
Et il faut remarquer que depuis quelques mois plus aucun cas n'a été signalé dans les cantons de Dieppe, auparavant affectés par une hyperendémie, et qu'empiriquement on pourrait croire que les cas se « déplacent » sur les agglomérations de Rouen et du Havre.
Pour le docteur Bruno Vion, de la direction départementale de l'action sanitaire et sociale de Seine-Maritime, « il faut davantage de recul pour dire si nous avons un excès de cas sur ces zones. Nous étudions chaque cas au sein de la cellule épidémiologique et en lien avec l'institut de veille sanitaire. Le nombre de cas est étudié en lien avec des seuils d'alerte et ceux-ci ne sont pas atteints, tant au Havre qu'à Rouen. Sur les six cantons de Dieppe, il y avait beaucoup de cas pour un bassin de population représentant 7 % des personnes demeurant dans le département. Le méningocoque responsable des infections était le B14P1.7,16 et la campagne de vaccination massive qui va bientôt s'achever l'a ciblé particulièrement. » D'où le recul du nombre d'infections ? Le temps dira si la bataille a été gagnée.

Cinq cas de méningites en Haute-Marne, où a lieu une campagne de vaccination

Source : AFP
02/03/09

CHAUMONT - Cinq cas de méningite de type C se sont déclarés entre le 2 et le 23 février chez des enfants à Fayl Billot, une commune haut-marnaise de 1.600 habitants où a été lancée une campagne de vaccination, a-t-on appris lundi auprès de la préfecture à Chaumont.

Agés entre 7 et 10 ans, les cinq enfants touchés par cette infection invasive à méningocoques ont été hospitalisés au CHU de Dijon "où ils vont bien", a précisé un médecin de la direction régionale des Affaires sanitaires et sociales (DRASS) à Reims.

L'épidémie s'est déclarée le 2 février à l'école primaire de la commune et a touché par la suite des élèves du collège, a précisé ce médecin, enindiquant que quatre "suspicions de cas de méningite" avaient également été recensés.

Les 700 élèves du groupe scolaire actuellement en congés ont été invités à se faire vacciner dans un centre de vaccination ouvert dans la salle des fêtes.

Lundi, 495 d'entre eux, de la maternelle au lycée professionnel, l'avaient fait, a indiqué la DRASS.

En 2007, 721 cas d'infections invasives à méningocoques, qui se manifestent sous forme de méningite ou de méningococcémie (septicémie à méningocoques), avaient été notifiés en France, soit une incidence de 1,3 par 100.000, comparable à celle connue depuis 2004, selon des statistiques du ministère de la Santé.

Deux cas de méningite

Source : Sud Ouest
23/02/09

Deux cas de méningite, une infection à méningocoque B, ont été signalés cette fin de semaine aux autorités sanitaires des Landes. Le symptôme principal est une très forte fièvre accompagnée de maux de tête voire de vomissements.

Les malades sont deux habitantes du sud du département, une petite fille de 4 ans et une jeune femme de 22 ans. Elles ont été hospitalisées mais leur état de santé n'inspire aucune inquiétude. Aucun contact direct n'a été identifié entre elles.

Il s'agit là des sixième et septième cas recensés dans le département des Landes depuis décembre dernier. Tous ont été signalés dans un triangle Dax-Soustons-Pouillon et concernent des enfants, des adolescents et de jeunes adultes. Sept cas survenus dans un laps de temps aussi court, ce n'est pas, selon la Ddass, une épidémie mais c'est néanmoins une proportion supérieure au pic hivernal classiquement admis.

Les personnes en contact direct et répété avec les deux malades (environ 90) ont bénéficié d'un traitement antibiotique. Il n'a été procédé à aucune désinfection de bâtiments ou de fermeture de locaux.

Auteur : Jean François RENAUT

Somme Méningite : 10 000 jeunes pourraient être vaccinés

Source : Le Courrier Picard
11/02/09

Près de dix mille jeunes habitants du Vimeu seraient concernés par une campagne de vaccination contre la méningite à méningocoque de type B : 14 : P1-7, 16.

Quelques jours après les obsèques à Dargnies (Picardie Maritime) d'une lycéenne de 19 ans infectée par un méningocoque de type B : 14 : P1-7, 16, des chefs d'établissements scolaires, des élus et des professionnels de la santé se sont engagés à se mobiliser. Deux réunions ont été animées mardi au lycée du Vimeu par une équipe de spécialistes conduite par David Herlicoviez.

Directeur départemental des affaires sanitaires et sociales (Ddass), il a précisé les points suivants : « C'est en fin d'année 2008 que l'Institut de veille sanitaire (InVS) a attiré l'attention de la direction générale de la Santé sur le fait que trois cantons de la Somme étaient confrontés à un excès de cas d'infection invasive à méningocoques et en particulier d'infection invasive à cette famille de méningocoques qu'on appelle B : 14 : P1-7, 16. » Le directeur général de la Santé a alors demandé l'avis des experts nationaux en santé publique pour que son ministre de tutelle, Roselyne Bachelot, puisse éventuellement décider d'une campagne des vaccination des jeunes dans les cantons exposés.

Briser rapidement la chaîne de contamination
« Nous souhaitons aller vite pour essayer de briser la chaîne de contamination le plus rapidement possible et d'autre part pour tenir compte du calendrier des enfants et des adolescents et en particulier des vacances scolaires. Le vaccin dont on dispose nécessite plusieurs injections ; nous souhaitons que la première ait lieu avant les vacances de Pâques et la seconde avant les vacances d'été », a précisé David Herlicoviez. Non sans rappeler que 17 décès ont été provoqués en 2008 dans la Somme, dont six à cause du type B : 14 : P1-7, 16.

André Niau, proviseur du lycée du Vimeu, est tout aussi convaincu qu'il est urgent d'agir : « La venue de l'équipe de médecins et de responsables de la DDASS aujourd'hui a permis d'obtenir un rendez-vous. Ils vont revenir pour informer les personnels de l'établissement. En particulier les professeurs de façon à ce qu'ils puissent répondre aux questions concernant cette maladie. »

Et, pour le second point : « Il devrait y avoir un plan de vaccinations. Tous les élèves volontaires, ou alors autorisés par leurs parents pour les mineurs, vont pouvoir être vaccinés. Ce qui va rassurer, j'en suis certain, toute la population et je pense qu'il y a une très forte demande à ce niveau-là. ».

HERVÉ LEFLOND

SOMME : Une lycéenne de 19 ans succombe à une méningite foudroyante

Source : Le Monde
04/02/09

Une lycéenne de 19 ans, originaire de la Somme, est décédée d'une méningite à méningocoque foudroyante dimanche à Rouen, où elle avait été transférée après avoir été hospitalisée à Abbeville (Somme), a-t-on appris mercredi auprès de la Ddass.

L'état de santé de la jeune femme, scolarisée au lycée Boucher-de-Perthes à Abbeville, s'était brusquement dégradé dimanche.

La Ddass (Direction départementale des affaires sanitaires et sociales) a prescrit un traitement antibiotique prophylactique à des membres de sa famille, des amis et camarades de classe ainsi qu'à plusieurs personnels médicaux - au total une quarantaine de personnes -, a précisé à l'AFP Christian Merle, directeur-adjoint de la Ddass de la Somme. "Aucun cas secondaire n'a été enregistré pour l'instant", a-t-il souligné.

Des analyses sont en cours pour déterminer si la souche du méningocoque (groupe B) correspond à celle qui sévit actuellement depuis quelques années en Seine-Maritime et si cette souche présente une incidence anormale en Picardie maritime.
"On a des soupçons. En fonction des résultats, attendus sous 8-10 jours, on lancera une campagne de vaccination comme cela s'est fait récemment sur Dieppe", a ajouté Christian Merle.

La Somme a enregistré 17 cas de méningite en 2008, sans issue fatale.

La méningite - qui se manifeste par de la fièvre, des maux de tête, des vomissements - est une maladie rare qui existe sous différentes formes. Elle peut être virale, et dans ce cas généralement bénigne, ou bactérienne - à pneumocoques ou méningocoques -.

Plusieurs vaccins sont disponibles en France.

Cas de méningite à Saint Brieuc

Source : Le Télégramme
04/02/2009

Un cas d'infection à méningocoque a été diagnostiqué, vendredi dernier, chez un lycéen de 17 ans. L'élève, scolarisé au lycée Jean-Moulin de Saint-Brieuc, a été transporté au centre hospitalier de Rennes. Le jour même, un traitement antibiotique a été proposé à tous ceux qui ont été en contact avec le lycéen. Selon la préfecture, «le méningocoque responsable de ce cas est du sérogroupe B.Il n'y a donc pas de vaccination à envisager pour les personnes ayant été en contact avec le malade. Il n'y a aucun risque épidémique dans les Côtes-d'Armor à ce jour».

La méningite frappe au Havre et à Rouen

Source : Paris Normandie
04/02/2009

Deux cas d'infection à méningocoque ont été diagnostiqués le mardi 3 février, l'un dans le canton de Valmont, le second dans l'Agglo de Rouen.
La méningite semble se déplacer. Concentrée essentiellement sur la zone de Dieppe, elle a frappé à deux reprises ce mardi. La Direction départementale des affaires sanitaires et socialdes de Seine-Maritime a signalé deux nouveaux cas : l'un dans le canton de Valmont chez un jeune homme de 19 ans et l'autre dans l'Agglo de Rouen, chez un jeune homme de 17 ans.
A chaque fois, un traitement antibiotique préventif a été prescrit à l'entourage familial des deux garçons.

La DDASS rappelle que le mode de transmission du méningocoque par la salive limite le risque de contamination aux personnes ayant été en contact direct, étroit et répété avec la personne malade (dans un face à face à moins d'un mètre pendant plus d'une heure) dans les 10 jours avant son hospitalisation. Le méningocoque est un germe très fragile qui ne survit jamais dans l'environnement. Il n'y a donc pas lieu de prendre des mesures de désinfection ou de fermeture de locaux.

Un cas de méningite dans une école maternelle

Source : La Provence
03/02/2009

Un cas de méningite à méningocoques (de type B) a été diagnostiqué dimanche chez une fillette de quatre ans scolarisée à l'école maternelle "Le Petit Prince" à Arles. La petite fille a été transportée à l'hôpital Nord de Marseille où son état évoluait favorablement ce matin. Les services de l'Education nationale ont procédé hier à l'information des familles dont les enfants fréquentent cette école maternelle du quartier de Griffeuille.

Par mesure préventive, un traitement d'antibiotiques a été prescrit aux enfants et aux adultes qui auraient pu être en contact direct avec l'enfant dans les 15 jours précédant l'apparition des symptômes. Les proches de l'enfant, qui a fêté ses quatre ans le 23 janvier dernier, ont également été contactés.

Une Une fillette est décédée d'une infection invasive à méningocoques à Gonfreville-l'Orcher.

Source : France Soir
16/01/2009

Une fillette âgée de 4 ans est décédée d'une infection invasive à méningocoques dans le canton de Gonfreville-l'Orcher en Seine-Maritime. La préfecture a annoncé qu'une campagne de vaccination est en train d'être réalisée dans l'ensemble du département. L'étude biologique du germe en cause est en cours et dans l'immédiat, seul un traitement antibiotique préventif a été prescrit à l'entourage proche de l'enfant. Hier, deux médecins étaient présents dans l'école où la petite fille était scolarisée afin de mettre en place la prophylaxie (processus ayant pour but de prévenir l'apparition d'une maladie) et répondre aux questions des parents. Ce cas est le premier enregistré en 2009 dans le département de la Seine-Maritime. L'an passé, le nombre de cas de méningite s'est élevé à 48 dont cinq mortels. La Seine-Maritime, avec les Alpes-de-Haute-Provence et la Haute-Vienne, est un des départements les plus touchés de l'Hexagone. La semaine dernière, une petite fille âgée de deux ans et demi et scolarisée à Challans (Vendée) et un adolescent domicilié à Hérouville-Saint-Clair (Calvados) sont morts des suites d'une infection invasive à méningocoques.

Un lycéen de 16 ans meurt d'une méningite à Hérouville

Source : Ouest France
09/01/2009

Agé de 16 ans, un adolescent, domicilié à Hérouville Saint-Clair (Calvados) est décédé cette nuit d'une infection invasive à méningocoque. Il était scolarisé au lycée Allende à Hérouville- Saint-Clair. Le méningocoque est un germe qui se transmet de personne à personne par les gouttelettes de salive. Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie néanmoins la mise en œuvre d'un traitement antibiotique pour les personnes ayant eu des contacts proches et prolongés avec la personne atteinte. La DDASS en concertation avec l'Education nationale a mis en place la prévention par traitement antibiotique des personnes ayant pu être en contact avec le défunt.

Une enfant de 2 ans et demi de Challans meurt d'une méningite

Une enfant de 2 ans et demi, originaire de la région de Challans, est décédée au CHU de Nantes suite à une méningite à méningocoque. Selon la préfecture de Vendée, une enquête menée par les autorités sanitaires autour de ce cas est encours « afin de permettre d'identifier et de prendre en charge toutes les personnes qui ont été en contact étroit et répété avec la fillette ». Elles sont invitées à contacter leur médecin traitant afin qu'un traitement préventif soit prescrit. Toujours d'après la préfecture, au niveau de l'école fréquentée par l'enfant, toutes les mesures ont été prises , et une permanence d'information est tenue, ce soir, à l'attention des parents d'élèves de l'école Notre-Dame de Challans, en présence de l'inspecteur de l'Éducation nationale et du médecin scolaire.

Deux cas de méningite dans le Gers

Source : Sud Ouest
06/01/2009

Deux cas de méningite ont été diagnostiqués ce week-end. Un nourrisson a été hospitalisé samedi au centre hospitalier d'Auch. Des mesures préventives ont été prises dans son entourage familial et le bébé se portait bien hier soir. Plus problématique, le diagnostic confirmé d'une méningite chez une adolescente de 17 ans, admise dimanche à l'hôpital Auscitain. La jeune fille a participé à une soirée le 31 décembre à Lasseube-Propre. Plusieurs dizaines de personnes ont pu se trouver en contact avec elle au cours de ce réveillon.

Selon la préfecture, l'information a circulé parmi les adolescents auxquels il a été préconisé de consulter leur médecin traitant. Il convient que tous reçoivent un traitement préventif qui consiste en la prise de comprimés d'un antibiotique durant deux jours. Ceux qui étaient à ce réveillon et qui n'ont pas été prévenus, sont donc invités à se rapprocher de leur docteur pour suivre le traitement préventif approprié.

Il n'y a pas pour autant de mesure d'éviction scolaire à envisager à titre de prévention, cette mesure ne s'appliquant qu'à la personne malade dans le cas d'une méningite. Des informations complémentaires peuvent être données par la DDASS en appelant le 05 62 61 55 42.

ARCHIVES 2017
   ARCHIVES 2008

Méningite. Un cas décelé dans la région de LOUDEAC

Source : Le télégramme
24/12/2008

Un cas d'infection à méningocoque a été diagnostiqué, mercredi, chez une adolescente de 16 ans.
Cette jeune fille a fréquenté un dancing dans la nuit du 19 au 20 décembre, le « Rancard », à Saint-Hervé, près de Loudéac. Elle est actuellement hospitalisée au centre hospitalier de Pontivy (56). Selon la préfecture des Côtes-d'Armor, « l'état de la malade est stable et ne présente aucun caractère de gravité ». Un traitement antibiotique a été engagé dès le 24 décembre pour les sujets contacts de l'entourage proche. Il est demandé à toute personne qui aurait fréquenté cette discothèque durant la nuit du 19 au 20 décembre, et qui présenterait dans les cinq jours à venir de la fièvre associée à des maux de tête et une raideur de la nuque ou des tâches rougeâtres sur la peau, de consulter un médecin sans délai. Il n'y a aucun risque épidémique dans le département des Côtes-d'Armor à ce jour.

La méningite frappe à Echirolles

Source : La rédaction Grenews
23/12/2008

Un cas de méningite à méningocoque de type B chez un enfant de 6 ans, domicilié sur la commune d'Echirolles a été signalé le 23 décembre par le centre hospitalier universitaire de Grenoble. Il s'agit d'un cas isolé.

L'information a été diffusée mardi 23 par la Préfecture de l'Isère. Dans un communiqué préfectoral, il est précisé que "cet enfant ne fréquente pas de collectivités autres que l'école, qui a été informée.
Bien que la survenue de cas secondaires reste exceptionnelle, des mesures de prévention sont recommandées par les autorités sanitaires.
Ces mesures de prévention ont été actuellement mises en oeuvre pour toutes les personnes qui ont été en contact direct et prolongé avec cet enfant.
Toutes ces personnes, ainsi que leur médecin traitant, ont été jointes directement par les services de la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales de l'Isère.
Etant donné la fragilité du germe en cause, l'extension de cette prévention à une population plus large que celle qui vient d'être définie, ainsi qu'une désinfection des locaux, sont des mesures inutiles et injustifiées".

Plus d'informations à lire dans l'édition de mercredi 24 décembre du Dauphiné libéré.

AUCHY LES MINES. Un adolescent mort d'une méningite

Source : 24 heure
20/12/2008

Hier, un adolescent de 13 ans originaire d'Auchy-les-Mines, près de Béthune, et licencié au club de football de Vermelles, est mort d'une méningite foudroyante.

Il était scolarisé au collège Notre-Dame à La Bassée.
La direction départementale des Affaires sanitaires et sociales a mis en place une cellule de veille sanitaire qui a contacté les personnes qui ont été en relation prolongée avec l'adolescent. Ces personnes se verront prescrire un traitement antibiotique. La préfecture le qualifie de « lourd » et de « très puissant ». C'est pour cette raison qu'elle veut le « limiter aux seules personnes qui en ont besoin ».
La préfecture assure que le protocole mis en place « a fait preuve de son efficacité depuis très longtemps » et que « toutes les personnes qui auront besoin de consulter un médecin seront prévenues ».

Méningite. Une petite fille scolarisée à MORLAIX hospitalisée

Source : Télégramme de l'Ouest
17/12/2008

Samedi dernier, une élève de moyenne section de l'école Corentin-Caër, à Morlaix, a été hospitalisée. Une méningite à méningocoque a été diagnostiquée.
Une note d'information de la DDASS (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales) a été adressée aux parents des élèves et au personnel de l'école, note qui « préconise la prescription d'un antibiotique pour les personnes dormant sous le même toit que la personne malade ou ayant été en contact direct très proche (moins d'un mètre) de la personne malade, dans les dix jours précédents. Tous les élèves des petite, moyenne et grande sections de l'école et douze enfants ayant été en contact avec la petite malade à la garderie doivent consulter leur médecin traitant qui prescrira, par mesure de prévention, un traitement antibiotique de deux jours. Les autres classes (primaires) ne sont pas concernées. S'agissant d'un germe fragile dans le milieu extérieur, aucune mesure de prévention supplémentaire n'est nécessaire dans l'établissement, ni fermeture, ni désinfection des locaux ».

La méningite frappe une fillette âgée d'un mois

Alors que les campagnes de vaccination continuent autour de Dieppe, un nouveau cas d'infection invasive à méningocoque a été recensé dans l'agglomération rouennaise dimanche.

Cette fois-ci la maladie a frappé un nourrisson âgé d'un mois seulement. Il a été hospitalisé et soigné. Un traitement préventif à base d'antibiotique a été prescrit à l'entourage familial. En effet l'étude du germe responsable a permis d'identifier un méningocoque de groupe B, susceptible d'être traité avec un tel traitement.
Etant donné son jeune âge, l'enfant ne fréquentait pas de collectivités et le traitement préventif a pu se limiter à la cellule familiale.
Rappelons que c'est surtout à Dieppe et dans ses alentours que les services de santé ont noté une hyperendémie de méningite, à tel point qu'un plan massif de vaccination a été mis en place. A partir du 15 décembre, les enfants âgés de deux mois à un an vont pouvoir être vaccinés dans six cantons. Une étude a été lancée pour déterminer s'il fallait élargit la campagne de vaccination.

Un Dionysien frappé d'une méningite à méningocoque

Source : CLICANOO.COM
02/12/2008

Un homme d'une quarantaine d'années a été hospitalisé dimanche pour une méningite à méningocoque B. Une maladie extrêmement rare qui refait surface à la Réunion deux mois après le cas d'une jeune Bénédictine. L'homme est sorti de réanimation hier alors que tous ses proches ont été mis sous traitement.

Nuque raide, maux de tête, gêne à la lumière, vomissements, fièvre, voire des troubles du comportement… un quadragénaire résidant à Saint-Denis a développé dans la nuit de samedi à dimanche des symptômes caractéristiques d'une méningite à méningocoque. Une infection grave causée par une bactérie qui provoque une inflammation des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Conduit en urgence au centre hospitalier régional (CHR) de Saint-Denis, il est sorti hier du service de réanimation mais reste en observation. “Les nouvelles sont rassurantes. Son état s'est amélioré”, a indiqué le Dr Christian Lassalle, médecin général de santé publique. Dans 10 % des cas, la maladie est fatale. Prévenue par l'hôpital, la cellule de veille sanitaire (CVS) a aussitôt déclenché la procédure visant à circonscrire le cas. Ainsi, la famille et les amis proches du malade ont reçu un traitement en préventif. Au total, 14 personnes se sont vues administrer un antibiotique (rifampicine) pendant deux jours. Travaillant dans une entreprise ayant peu de personnel et n'étant pas en contact étroit et prolongé avec ses collègues, ces deniers ne sont pas concernés par une prophylaxie. Les analyses réalisées à l'hôpital ont permis de déterminer qu'il s'agissait d'une infection invasive à méningocoque B.

20 % de la population porteuse saine du germe

Le sérogroupe le plus représenté (54 % des cas), mais le seul à ne pas bénéficier de vaccin. Voilà pourquoi l'entourage a reçu un antibactérien plutôt qu'un vaccin. Des médicaments qui devraient permettre d'éradiquer le germe (Neisseria meningitidis) du nasopharynx. Même si elle se transmet par le biais de sécrétions (toux, postillons…), la maladie est très faiblement contagieuse. “Le méningocoque est une bactérie strictement humaine qui ne survit pas dans le milieu extérieur. Dans la majorité des cas, cette contamination n'entraîne qu'une simple colonisation du nez et de la gorge, rarement une complication plus grave”, tient à rassurer la préfecture dans un communiqué. Comme l'explique le Dr Lassalle, “les méningocoques colonisent la gorge de tout le monde mais ils ne donnent que très rarement des méningites”. Environ 20 % de la population serait ainsi porteuse saine de ce germe. “Depuis que je suis à la Réunion, je n'ai jamais vu de cas secondaire”, précise le Dr Lassalle. Il y a tout juste deux mois, une Bénédictine âgée de 20 ans avait également contracté une méningite à méningocoque B. “Il est sûr à 100 % qu'il n'y ait aucun lien entre les deux cas”, stipule le médecin général de santé publique. Il s'agit du deuxième cas depuis le début de l'année. En métropole, cette maladie concerne environ 1 habitant sur 100 000 selon l'institut national de veille sanitaire (InVS). Une incidence encore plus faible à la Réunion (voir graphique) qui “peut être due aux conditions de colonisation du microbe”, suggère le Dr Lassalle

Un cas de méningite sur un enfant de 10 ans à RAUCOULES

Source : Actualité/Santé

Un cas d'infection invasive à méningocoque a été déclaré à la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales de la Haute-Loire le 28 novembre 2008, dans l'après-midi, sur la commune de Raucoules.
Il s'agit d'un cas isolé survenu chez un enfant de 10 ans, hospitalisée au centre hospitalier universitaire de Saint-Etienne dans le service de réanimation pédiatrique.
D'après les informations communiquées par ce service, la situation de l'enfant est stabilisée.

Les services sanitaires sont en cours d'investigation afin d'identifier la liste des contacts avec l'enfant. Les Services de santé scolaire se sont rendus sur place dans l'école fréquentée par l'enfant, afin d'informer les familles et leur conseiller de se rapprocher de leur médecin traitant pour la mise en place d'un traitement préventif pour leurs enfants.
Les pharmacies environnantes ont été informées afin de disposer des stocks de médicaments préventifs suffisants.

Les services de la DDASS tiennent à rappeler que les seules personnes exposées sont celles qui ont eu des contacts directs, rapprochés, répétés avec le malade et que le traitement préventif est efficace, lorsqu'il est appliqué dans un délai court.

Méningite à Villefontaine, une information aux parents

Source : La Rédaction du DL
15/11/2008

Vendredi, une petite fille de 7 ans a contracté une méningite à méningocoque. Hospitalisée à Bron, elle était hier dans un état satisfaisant. Le service de santé scolaire devrait, aujourd'hui, se rendre au groupe scolaire des Fougères, où la fillette est scolarisée, pour expliquer la marche à suivre aux parents inquiets. Mais aussi les rassurer. « Il y a très peu de risques que les enfants développent la maladie », rappelle Jean Salvayre, de la DDASS Isère. Sept enfants, dans l'immédiat entourage de la fillette, sont suivis.

Méningite mortelle en Seine-Saint-Denis

Source : AFP
07/11/2008

Un jeune homme de 18 ans est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi d'une méningite à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et un de ses amis qui avait été traité préventivement, victime d'un malaise hier, a été placé en observation, a-t-on appris auprès de la préfecture du département.

Le jeune homme de 18 ans, hospitalisé mardi à l'hôpital Delafontaine de Saint-Denis, est décédé à la suite d'une "infection invasive à méningocoques", a-t-on précisé.